J’ai passé la soirée d’hier à me laisser voyager au cœur
de l’aventure de l’alchimiste, créant le décor selon mon imagination et
imprimant en arrière plan, quelques idées qui résonnaient en mon cœur. Je
pensais écouter les deux dernières parties mais j’ai arrêté avant tant elles
sont riches d’enseignements. J’ai lu ce livre il y a près de 15 ans et je suis
épatée déjà d’avoir mémorisé l’histoire et les points marquants sont les mêmes
qui m’avaient alors interpelés. J’ai replongé dans mon passé où mon rêve d’adolescente
était de parcourir les routes de France à la recherche du sens de la vie, la
vraie. Pas celle enseignée à l'école ni celle des églises bien
qu’il m’arrivait souvent de parler avec des « croyants ». Non, celle que la rencontre avec l'autre permet de comprendre et surtout de se connaitre. J’ai vécu
des moments inoubliables à cette période de ma vie et même si je ne suis plus à
bourlinguer, la quête de sens reste d’actualité. Je me rends compte que je
savais écouter mon cœur et me fier à ses appels, très tôt dans ma vie. Un matin,
je me trouvais sur une route de Normandie, le soleil se levait et un immense
sentiment de liberté m’envahissait.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
vendredi 24 mai 2013
jeudi 23 mai 2013
Journée équilibrée, enfin ! "L'alchimiste" de Paulo Coelho, livre audio
Réveillée
relativement tôt, j’ai commencé par me connecter à la terre en appelant ses
énergies à me soutenir dans ma volonté d’ancrage. J’ai appelé ma force à se
manifester afin d’être dans la voie du
juste milieu en toute choses. Demandé fermement aux énergies
complémentaires qui circulent en moi, de s’unir pour créer une dynamique d’élan
joyeux et puissant dans la capacité de m’aimer sans conditions et d’accepter
tout ce que je suis, ainsi que tout ce qui est. La lutte intérieure qui se crée
par le fait de vouloir, n’amène que le désordre et l’intention d’unité reste à
mes yeux le juste équilibre entre désir et acceptation. N’étant sûr de rien à
part de ce qui se vit en moi, n’en faisant pas une vérité immuable mais celle
de l’instant présent qui est en perpétuel mouvement, j’appelle mon cœur, mon
moi christique à maintenir ma personnalité humaine dans ce lieu sécurisé du
point zéro.
Entre force et douceur, ombre et lumière, dans la neutralité face à
mon environnement, revenant en mon centre quand le mouvement se déchaîne. Je
veux connaître les secrets de mon cœur, de mon âme, réunir tout ce que je suis
à chaque instant, retrouver la mémoire de mon être essentiel, libérant les faux
mois sans aucune nostalgie, laissant à la lumière purificatrice, le travail de
nettoyage intérieur. Libérant ce qui est obsolète ce qui reste coincé dans la
dualité, ne doutant plus d’être et d’affirmer ce que je suis. Accueillant les
énergies unificatrices et les laissant œuvrer à la reconstruction de l’unité
perdue, Je suis UN, je suis ce que je suis.
mercredi 22 mai 2013
"La Famille" par Michael Brown
Voici le
texte dont je parlais dans le message précédent, qui parle de la famille et de
ce qu’elle représente, la « fonction miroir » de chacun. Il est
vrai que celle-ci constitue le terrain où nous forgeons notre personnalité et
notre futur. Comprendre ses rouages et arriver à se libérer du passé, de son
enfance, est très utile, et même nécessaire, pour toute personne qui veut
changer sa vie, en modifiant son regard sur elle-même et sur le monde. Notre âme
peut nous aider dans cette libération mais c’est à notre part humaine d’agir. Connaître
ses origines divines permet de se détacher du monde mais c’est ici qu’est notre
expérience. Le sens de cette vie n’est pas d’élever notre esprit vers le monde
divin mais d’amener celui-ci jusque dans notre chair, notre quotidien. Je le
dis une fois de plus afin de m’en souvenir. Lâcher le monde du mental, celui
des rêves et réussir à se sentir bien dans son corps, au quotidien, est un
parcours initiatique. Un réapprentissage qui passe par l’écoute de ses
émotions, des messages des corps, reliés aux chakras du bas. Cela demande de la
patience mais au final, quand on se donne le temps, ça vaut la peine.
La Famille
Par
Michael Brown
« S’accepter entièrement pour se réaliser pleinement ». Vidéo interview de Geneviève Young par Lilou
Ce
matin, je me suis recouchée après un premier réveil à 5h. Couchée à minuit, ça
faisait un peu juste. Mon corps physique est en plein bouleversement. Entre le
sevrage des médicamentes, les règles et les énergies déployées par les
éruptions solaires, ça déménage à l’intérieur. Le coup de fil de ma sœur, hier
soir, a été amical et pour une fois, il n’y a pas eu de friction. La relation
avec elle n’est pas toujours facile à cause de notre enfance commune et le fait
qu’elle ait reporté sur moi, à l’époque, toute sa colère, son incompréhension
face au comportement de mon père, fausse souvent nos rapports actuels. Sa
culpabilité et ma difficulté à me faire respecter compliquent sérieusement
notre vie d’adulte. La façon dont je suis grandement affectée par la critique,
vient de cette période de ma vie, dans la relation avec ma sœur. Enfant, je lui
pardonnais, du moins je n’avais pas d’agressivité par ce que je sentais qu’elle
se vengeait, qu’elle libérait sa charge émotionnelle de cette façon. Tout comme
je "pardonnais" aussi le comportement de mon père que je sentais venir aussi d’un
besoin de vengeance. Ce n’est que bien plus tard que j’ai su qu’il avait
lui-même été abusé et ce que mon ressenti d'enfant, était bien réel.
Là,
le côté positif de cette expérience, m’apparaît évident. Non seulement ce
trauma et la façon de ma famille de se comporter à mon égard, m’ont poussés à
chercher un sens à cette vie et donc à le trouver, à reconnaître mes propres
origines divines mais en plus, tout ce que je ressentais enfant, me montre que
j’ai la capacité innée, à "lire" en l’autre, à me mettre à sa place et
ainsi à pouvoir pardonner facilement. Le problème c’est que j’ai encore du mal
à me pardonner à moi-même.
mardi 21 mai 2013
Le pouvoir du rire
On dit
que le rire est le propre de l’homme. On dirait bien que les animaux soient aussi de la fête! Pour moi, c’est essentiel et j’ai besoin
de rire quotidiennement. C’est un mouvement du cœur, une expression de l’enfant
intérieur qui a le pouvoir de guérir et de dédramatiser comme aucune autre
technique ne peut le faire. Voici un film qui a été réalisé avec des comédiens
dont un déclencheur de rires, contrairement à la vidéo que j’avais publié il y
a quelques temps, où le fou rire avait été déclenché naturellement par une personne, dans le métro. C’est transmis par le site Epanews. Ce qui est remarquable,
c’est qu’il suffit d’une seule personne pour déclencher automatiquement un fou
rire général.
Dès qu’on ose se lâcher, ça provoque un genre de relaxation dans
tous le corps et notamment au niveau de l’œsophage. Je recommande cette thérapie
à tous ceux qui ont des problèmes de déprime, évidemment mais aussi avec la
nourriture.
Dans une situation telle que dans ce film où les gens sont pris par
les soucis de leur travail, par la pression, on imagine que chacun envoie
balader tout ce qui lui donnait une allure grave laissant son enfant intérieur
s’exprimer et il est quasiment impossible de ne pas se laisser
contaminer !
"Restaurer les énergies masculines et féminines dans le corps", Paméla Kribbe transmet la terre.
Voici un
des deux derniers messages reçu par Paméla Kribbe. J’ l’ai lu dès qu’il a été
mis sur le site mais je dois dire qu’il m’a semblé trop abstrait. La relecture de ce message m'a fait du bien et un sentiment de paix a remplacé l’irritation excessive
qui ne m’a pas quittée depuis ce midi. J'ai fait l'exercice proposé à la fin du texte. J'ai senti des larmes monter mais elles ne sont pas sorties. J’ai bien vu la carapace de l’énergie
masculine en moi se désagréger mais tout l’abdomen est resté enfermé. La femme
que j’ai visualisée n’avait pas de bassin. Il y avait un genre de brume à la
place ! Je sens que je vais devoir faire plusieurs fois cet exercice avant
d’arriver à voir deux êtres entiers, intègres.
Parle-moi de l’unité.
L'unité se crée naturellement avec l'extérieur quand elle se manifeste premièrement en toi. C’est quand tous tes corps sont alignés sur un
même objectif, quand ils sont "d’accord". Quand il y a cohérence entre tes
pensées, tes sentiments, tes émotions et tes actes. Tu es un être énergétique
avant toute chose. La santé en tous tes corps résulte de la libre circulation
de l’énergie d’amour lumière, l’énergie de vie, entre eux et avec l’extérieur. La
lumière, c’est une énergie, de l’information. Tu as besoin de faire circuler
librement ces deux énergies afin que ton essence véritable puisse s’exprimer à
travers tout ce que tu es. Tu peux appeler l’unité par la "prière",
l’intention, sans forcer, sans chercher à tout prix à obtenir cet accord.
Plus
tu accueilles tes émotions sans les juger et plus celles-ci peuvent t’éclairer.
En laissant faire ou en laissant dire ton mental, tu peux entendre les messages
de ta personnalité humaine tout comme ceux de ton âme ou de ta présence divine,
de ton enfant intérieur et de ton inconscient.
Dans un
premier temps, il s’agit donc de laisser s’exprimer tout ce qui est en toi, en
te rappelant que ce sont des messages et non ton identité et que le jugement
est une forme de rejet, de contrôle.
Quand tu juges, tu peux savoir que c’est ton mental qui
interprète les choses au travers de sa vision dualiste, en termes de bien ou de
mal. Ce positionnement créé la division intérieure, coupant ton mental de la
lumière de ton être.
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