jeudi 23 mai 2013

Journée équilibrée, enfin ! "L'alchimiste" de Paulo Coelho, livre audio




Réveillée relativement tôt, j’ai commencé par me connecter à la terre en appelant ses énergies à me soutenir dans ma volonté d’ancrage. J’ai appelé ma force à se manifester afin d’être dans la voie du  juste milieu en toute choses. Demandé fermement aux énergies complémentaires qui circulent en moi, de s’unir pour créer une dynamique d’élan joyeux et puissant dans la capacité de m’aimer sans conditions et d’accepter tout ce que je suis, ainsi que tout ce qui est. La lutte intérieure qui se crée par le fait de vouloir, n’amène que le désordre et l’intention d’unité reste à mes yeux le juste équilibre entre désir et acceptation. N’étant sûr de rien à part de ce qui se vit en moi, n’en faisant pas une vérité immuable mais celle de l’instant présent qui est en perpétuel mouvement, j’appelle mon cœur, mon moi christique à maintenir ma personnalité humaine dans ce lieu sécurisé du point zéro. 
Entre force et douceur, ombre et lumière, dans la neutralité face à mon environnement, revenant en mon centre quand le mouvement se déchaîne. Je veux connaître les secrets de mon cœur, de mon âme, réunir tout ce que je suis à chaque instant, retrouver la mémoire de mon être essentiel, libérant les faux mois sans aucune nostalgie, laissant à la lumière purificatrice, le travail de nettoyage intérieur. Libérant ce qui est obsolète ce qui reste coincé dans la dualité, ne doutant plus d’être et d’affirmer ce que je suis. Accueillant les énergies unificatrices et les laissant œuvrer à la reconstruction de l’unité perdue, Je suis UN, je suis ce que je suis. 

mercredi 22 mai 2013

"La Famille" par Michael Brown



 
Carl Brenders
Voici le texte dont je parlais dans le message précédent, qui parle de la famille et de ce qu’elle représente, la « fonction miroir » de chacun. Il est vrai que celle-ci constitue le terrain où nous forgeons notre personnalité et notre futur. Comprendre ses rouages et arriver à se libérer du passé, de son enfance, est très utile, et même nécessaire, pour toute personne qui veut changer sa vie, en modifiant son regard sur elle-même et sur le monde. Notre âme peut nous aider dans cette libération mais c’est à notre part humaine d’agir. Connaître ses origines divines permet de se détacher du monde mais c’est ici qu’est notre expérience. Le sens de cette vie n’est pas d’élever notre esprit vers le monde divin mais d’amener celui-ci jusque dans notre chair, notre quotidien. Je le dis une fois de plus afin de m’en souvenir. Lâcher le monde du mental, celui des rêves et réussir à se sentir bien dans son corps, au quotidien, est un parcours initiatique. Un réapprentissage qui passe par l’écoute de ses émotions, des messages des corps, reliés aux chakras du bas. Cela demande de la patience mais au final, quand on se donne le temps, ça vaut la peine.

La Famille
Par Michael Brown

« S’accepter entièrement pour se réaliser pleinement ». Vidéo interview de Geneviève Young par Lilou






Ce matin, je me suis recouchée après un premier réveil à 5h. Couchée à minuit, ça faisait un peu juste. Mon corps physique est en plein bouleversement. Entre le sevrage des médicamentes, les règles et les énergies déployées par les éruptions solaires, ça déménage à l’intérieur. Le coup de fil de ma sœur, hier soir, a été amical et pour une fois, il n’y a pas eu de friction. La relation avec elle n’est pas toujours facile à cause de notre enfance commune et le fait qu’elle ait reporté sur moi, à l’époque, toute sa colère, son incompréhension face au comportement de mon père, fausse souvent nos rapports actuels. Sa culpabilité et ma difficulté à me faire respecter compliquent sérieusement notre vie d’adulte. La façon dont je suis grandement affectée par la critique, vient de cette période de ma vie, dans la relation avec ma sœur. Enfant, je lui pardonnais, du moins je n’avais pas d’agressivité par ce que je sentais qu’elle se vengeait, qu’elle libérait sa charge émotionnelle de cette façon. Tout comme je "pardonnais" aussi le comportement de mon père que je sentais venir aussi d’un besoin de vengeance. Ce n’est que bien plus tard que j’ai su qu’il avait lui-même été abusé et ce que mon ressenti d'enfant, était bien réel. 
Là, le côté positif de cette expérience, m’apparaît évident. Non seulement ce trauma et la façon de ma famille de se comporter à mon égard, m’ont poussés à chercher un sens à cette vie et donc à le trouver, à reconnaître mes propres origines divines mais en plus, tout ce que je ressentais enfant, me montre que j’ai la capacité innée, à "lire" en l’autre, à me mettre à sa place et ainsi à pouvoir pardonner facilement. Le problème c’est que j’ai encore du mal à me pardonner à moi-même.  

mardi 21 mai 2013

Le pouvoir du rire




On dit que le rire est le propre de l’homme. On dirait bien que les animaux soient aussi de la fête! Pour moi, c’est essentiel et j’ai besoin de rire quotidiennement. C’est un mouvement du cœur, une expression de l’enfant intérieur qui a le pouvoir de guérir et de dédramatiser comme aucune autre technique ne peut le faire. Voici un film qui a été réalisé avec des comédiens dont un déclencheur de rires, contrairement à la vidéo que j’avais publié il y a quelques temps, où le fou rire avait été déclenché naturellement par une personne, dans le métro. C’est transmis par le site Epanews. Ce qui est remarquable, c’est qu’il suffit d’une seule personne pour déclencher automatiquement un fou rire général. 
Dès qu’on ose se lâcher, ça provoque un genre de relaxation dans tous le corps et notamment au niveau de l’œsophage. Je recommande cette thérapie à tous ceux qui ont des problèmes de déprime, évidemment mais aussi avec la nourriture. 
Dans une situation telle que dans ce film où les gens sont pris par les soucis de leur travail, par la pression, on imagine que chacun envoie balader tout ce qui lui donnait une allure grave laissant son enfant intérieur s’exprimer et il est quasiment impossible de ne pas se laisser contaminer !

"Restaurer les énergies masculines et féminines dans le corps", Paméla Kribbe transmet la terre.



 
Arvind Kolapkar
Voici un des deux derniers messages reçu par Paméla Kribbe. J’ l’ai lu dès qu’il a été mis sur le site mais je dois dire qu’il m’a semblé trop abstrait. La relecture de ce message m'a fait du bien et un sentiment de paix a remplacé l’irritation excessive qui ne m’a pas quittée depuis ce midi. J'ai fait l'exercice proposé à la fin du texte. J'ai senti des larmes monter mais elles ne sont pas sorties. J’ai bien vu la carapace de l’énergie masculine en moi se désagréger mais tout l’abdomen est resté enfermé. La femme que j’ai visualisée n’avait pas de bassin. Il y avait un genre de brume à la place ! Je sens que je vais devoir faire plusieurs fois cet exercice avant d’arriver à voir deux êtres entiers, intègres.

Parle-moi de l’unité.




 L'unité se crée naturellement avec l'extérieur quand elle se manifeste premièrement en toi. C’est quand tous tes corps sont alignés sur un même objectif, quand ils sont "d’accord". Quand il y a cohérence entre tes pensées, tes sentiments, tes émotions et tes actes. Tu es un être énergétique avant toute chose. La santé en tous tes corps résulte de la libre circulation de l’énergie d’amour lumière, l’énergie de vie, entre eux et avec l’extérieur. La lumière, c’est une énergie, de l’information. Tu as besoin de faire circuler librement ces deux énergies afin que ton essence véritable puisse s’exprimer à travers tout ce que tu es. Tu peux appeler l’unité par la "prière", l’intention, sans forcer, sans chercher à tout prix à obtenir cet accord. 
Plus tu accueilles tes émotions sans les juger et plus celles-ci peuvent t’éclairer. En laissant faire ou en laissant dire ton mental, tu peux entendre les messages de ta personnalité humaine tout comme ceux de ton âme ou de ta présence divine, de ton enfant intérieur et de ton inconscient.
Dans un premier temps, il s’agit donc de laisser s’exprimer tout ce qui est en toi, en te rappelant que ce sont des messages et non ton identité et que le jugement est une forme de rejet, de contrôle. 
Quand tu juges, tu peux savoir que c’est ton mental qui interprète les choses au travers de sa vision dualiste, en termes de bien ou de mal. Ce positionnement créé la division intérieure, coupant ton mental de la lumière de ton être.

lundi 20 mai 2013

Lâcher prise, pas si facile..."Cessez d'être gentil, soyez vrai", Thomas d'Ansembourg (livre audio)




J’ai bien du mal à m’aligner, ce matin. Levée à 4h30, en colère d’avoir été réveillée par les miaulements de mon chat, j’ai ouvert l’ordi et à la lecture du mail de Daniel Miron, mon cœur s’est ouvert et la gratitude a commencé à s’écouler, s’amplifiant à mesure que je lisais. J’ai tout de suite mis le message en ligne. Mon cœur n’a cessé de s’ouvrir tandis que je remerciais, laissant les mots exprimer tout l’amour de mon être. Je suis allée prendre des photos des roses dont je surveille l’éclosion. La rosée du matin leur faisant un écrin de lumière magnifique, j’ai mis deux des plus belles avec le message des êtres de lumière.
J’ai pris l’habitude de voir des émotions lourdes sortir quand j’accueille l’amour divin sans restriction, appelant l’unité à se réaliser. Il est logique et même "normal" que l’ombre surgisse quand on souhaite unifier tout ce que nous sommes, tout ce qui est enfoui et bien caché depuis des années, pour ne pas dire des siècles. L’erreur serait de croire que le divin rejette notre demande de fusion. On peut se dire que le fait d’appeler l’amour divin à s’écouler en soi, créé un déversement bienfaisant, réchauffant l’intérieur. Cette attente semble légitime mais comme l’objectif est de trouver l’équilibre, l’harmonie, tout ce qui est en nous doit s’exprimer afin d’être neutralisé. Pour que l’amour nous remplisse, il faut que ce qui ne l’est pas, se dissipe. Pour ce faire, il faut qu’il soit vu afin d’être entouré d’amour. Cet acte, le fait de laisser s’exprimer, la colère, la tristesse, sans jugement, sans peur et sans culpabilité, est celui-là même qui permet la guérison. L’alchimie qui se crée par l’acceptation, ne peut se réaliser si nous bloquons le processus en nous coupant de ce qui est désagréable. Je ne dis pas non plus qu’il faille souffrir pour guérir. C’est notre difficulté à accepter sans limite, ce qui s’en vient qui crée une résistance, un conflit intérieur qui s’exprime alors par la douleur.

Je sais que ça n’est pas facile mais je constate aussi que lorsque je m’abandonne à ces émotions en les laissant être, il s’ensuit un bien-être et une paix qui ne sont pas le fruit du mental, le résultat d’une victoire acquise par la lutte mais par l’acceptation.
La joie qui découle du sentiment d’avoir raison, d’avoir gagné, nous place en position fragile puisque celle-ci n’étant pas du pur amour, contient sont opposé. Au jeu de gagnant, perdant, il ne peut y avoir de joie durable. L’abandon libère la joie naturellement. C’est difficile à concevoir pour le mental habitué à mériter.