dimanche 5 mai 2013

Sortir de l’inhibition pour vivre libre et guérir…Article rédigé par Jean-Jacques Crèvecoeur.


"On a faim!"


Voici un article que je viens de lire, qui est en résonance avec ce que je crois et ce que j'expérimente, dont je tiens à vous en faire part. Il est rédigé par Jean Jacques Crèvecœur. je suis abonnée à sa lettre d 'info que je n'ai pas toujours le temps ou l'envie de lire bien que sa façon d’appréhender la vie et  la maladie corresponde à la mienne. Je fais de plus en plus confiance à mon instinct et applique ma foi en l'humain divin capable de tout, en toutes circonstances et limite la quantité d'infos extérieures afin de mieux sentir ce qui vient de l'intérieur, qui constitue ma propre vérité, celle qui me permet d'avancer, selon ce que je suis, particulièrement. La dépendance aux lectures de messages d'êtres de lumière, qui ne sont pas incarnés, amène à "planer" dans des dimensions qui éloigne de la réalité terrestre et c'est une forme de fuite, de déni de l'incarnation et un renoncement à son pouvoir, sa souveraineté. Nier son humanité, c'est aussi nier le divin en soi. La manifestation de l'âme s'en trouve donc limité puisque le jeu de l'incarnation c'est avant tout d'exprimer qui on est, en totalité.

"Sortir de l'inhibition pour vivre libre et guérir"
Dans le numéro précédent, je concluais ma chronique en écrivant : « Notre éducation nous apprend à nous soumettre sans rien dire, à ne choisir systématiquement que l’inhibition de l’action comme réaction, alors qu’il faudrait réagir plus activement pour prendre soin de nos besoins ! » Vu comme cela, ça peut paraître choquant et exagéré d’affirmer une telle chose. En théorie, l’éducation n’a-t-elle pas pour objectif de faire grandir, d’affranchir, de favoriser l’autonomie ? En théorie, oui. Mais dans la pratique, le système est organisé pour nous apprendre à nous soumettre. Dans la famille, à la garderie, à l’école, à l’église, dans la société civile, à l’armée, dans l’entreprise, à l’hôpital, nous avons appris à être le bébé sage, l’enfant obéissant, l’élève modèle, le croyant fidèle, le bon citoyen, le soldat discipliné, le collaborateur exemplaire, le patient soumis…

« Judge not » Bob Marley et « le citronnier » vidéo de Maritzabel Claros-Ferrer




Voici ce sur quoi je suis tombée ce matin, en me baladant sur la presse galactique et sur le site de Monique Mathieu. En général, les clefs de sagesse que je pioche au "hasard", donnent le ton de la journée, me préparent à ce qui va suivre. Espérons que je sois capable de ne pas me laisser envahir par la négativité en étant dans l’acceptation de ce qui est. Et de ne pas anticiper mentalement, en me disant : aïe, qu’est-ce qui va me tomber dessus ? Ce qui suit est publié aujourd'hui dans la presse galactique

"Vous plaindre de quoi que ce soit vous maintient en état de refuser de recevoir ce que vous avez demandé. Vous justifier à propos de quoi que ce soit vous maintient en état de refuser de laisser entrer cela même que vous avez demandé. Blâmer quelqu’un vous maintient en état de refuser de laisser entrer ce que vous avez demandé. Vous sentir coupable, vous sentir en colère – peu importe comment vous appelez ça – c’est un refus, il n’est pas conscient. Vous demandez ; vous ne pouvez vous empêcher de demander. L’Univers produit ; il doit produire. Une grande question se pose donc les amis : pourquoi ne le laissez-vous pas entrer ?
Abraham,
Traduction AD
Page d’origine :
http://www.abraham-hicks.com/lawofattractionsource/index.php

Flashback


Margaret Walty


Encore une nuit longue est très active dont il me reste quelques souvenirs. Cette fois-ci, j’ai assisté en spectatrice, au film d’une vie passée où j’étais sur un énorme bateau en fer, pendant une tempête très violente. Dans ce chaos, ça courrait de partout. Je revois la dernière image de ce qui a dû être mon avant passage de l’autre côté  du voile, ma mort. Je ne l’ai pas vue concrètement mais tout indiquait que c’était la fin de cette vie-là. Je comprends mieux ma relation étrange à l’eau. Comme une détestation mêlée à un genre d’admiration, de respect. Je pensais que ce regard venait du fait que mon frère était décédé mystérieusement puisque les pompiers avaient retrouvé son corps flottant dans la rade de St Malo six jours après sa disparition inexpliquée. Il m’a fallu beaucoup de temps pour faire le deuil. Je dirais même que ça date du début de l’année alors que cet événement traumatisant est arrivé en 1986. Je n’avais pas compris pourquoi j’avais été le témoin le plus proche de cette catastrophe et restais engluée dans la culpabilité, le regret de ne pas avoir eu le temps de connaître mon frère. En effet, je suis partie très tôt de la maison familiale demandant à être émancipée à seize ans. Déjà, dès le départ de mon père en Afrique au moment du divorce, je fuguais régulièrement et vivais ma vie de recherche existentielle au travers de l’usage de toutes sortes de drogues et de relations amoureuses d’un soir. Je n’avais donc pas eu l’occasion de connaître ce frère qui était le seul membre de ma famille qui ne m’agressait pas. Maintenant, je me dis que tout est lié et même si j’ai toujours eu la sensation que cet événement m’avait poussée plus loin dans mon questionnement à propos de la vie, de la mort, de l’intérêt et la pertinence de cette existence, il me manquait beaucoup d'éléments pour en comprendre la profondeur.
Je n’ai plus aucun doute à propos de ma foi en l’humain divin, au fait que nous soyons multidimensionnels et je prends enfin au sérieux toutes les visons et les inspirations que j’ai...Jusqu’au prochain moment où le doute reviendra puisque la progression n’est pas linéaire. Cependant, à chaque fois, la certitude prends de plus en plus d’ampleur.
Tant que j’attendais des "preuves" flagrantes de la réalité de ce que je recevais, je m’enfermais dans un état précaire oscillant entre doute et certitude. Depuis que je m’accorde un regard bienveillant et que la confiance en soi grandit, depuis que je dis oui à tout ce qui me vient sans tenir compte de la conscience collective, des croyances populaires, ma foi grandit et les expériences intemporelles et dimensionnelles se multiplient constituant des éléments qui confirment ma foi.

samedi 4 mai 2013

L’extase à portée de cœur...vidéo d'éveil




Malgré un soleil radieux qui donne envie de sortir, j’écoute le besoin de repos de mon corps physique. Le processus de guérison implique que chaque corps soit nettoyé, purifié de toute énergie de discorde et il est naturel que cela crée des désagréments au niveau du corps physique. Comme je l’ai dit dans le texte publié ce matin, interpréter ce que l’on vit au travers de la foi en l’humain divin, active le pouvoir d’auto-guérison. Un ajustement énergétique créé des symptômes qui pourraient faire peur mais si on considère que c’est un processus normal et que tout ceci est le signe d’une guérison certaine, on active la guérison. Le fait d’aller m’allonger constitue un soutien à mon corps physique, un lâcher prise qui amplifie la confiance en l’humain divin que je suis. Cette confiance créé la détente et la paix intérieur qui sont des activateurs de guérison.
Voici encore une vidéo transmise par Epanews, qui résume bien tout ce que j’ai écrit et vécu ces derniers jours.

« Envoyez votre lumière en unité avec tous les autres Vous »
Oribel Divine

Quand l'amour et la liberté s'associent...vidéo "Un lion nommé Christian"




J’avais prévu d’aller chercher des graines et de faire un tour au marché pour y trouver des nouvelles fringues mais en ouvrant ma boîte mail, je suis tombée sur ce film diffusé par Epanews. Evidemment, beaucoup de critiques pourraient être faites mais je ne regarde que l’essentiel, l’amour inconditionnel qui peut exister entre tous. La puissance de l’amour qui peut tout. Symboliquement c’est fort. Cette fusion entre l’humain et l’animal qui plus est l’animal sauvage symbolise, l’unité possible malgré les différences extrêmes. L’union entre notre lumière et nos ombres. La lumière étant notre conscience et les ombres, tout ce qui nous est inconnu, étranger mais qui est aussi une part essentielle de qui nous sommes. La notion de liberté est aussi très importante. 
L’amour inconditionnel et la liberté sont éternellement associés. L’amour inconditionnel, c’est être soi-même et la liberté c’est retrouver cette connaissance en lâchant les illusions du monde.

Réaliser l'unité, c'est simplement en prendre conscience.




Les premières pensées au réveil étaient plutôt tristes sans aucune raison apparente. Je me suis interrogée et je me dis que le fait d’avoir écouté les histoires de Pierre Bellemare, hier soir avait peut-être éveillé cette sensation. C’est un homme qui raconte des « faits divers » avec un tel enthousiasme qu’on se sent plongé dans la scène qu’il sait rendre vivante. Après tout, entendre des histoires souvent douloureuses de personnes inconnues peut provoquer un genre de tristesse devant la folie meurtrière. De plus, je ne suis pas habituée à faire entrer en moi ce genre d'histoire puisque je n'ai jamais lu les journaux et que je n'ai plus de téloche depuis maintenant trois ans. Heureusement, il y avait aussi des histoires extraordinaires ce qui m’a permis de faire la balance. 

Puis, j’ai continué de chercher ce qui avait pu amener ses pensées sombres, enfin cet espèce de nostalgie ambiante. C’est venu d’un coup à ma mémoire, une phrase que j’ai lue dans le message de Jeshua qui parle des relations. 
Il explique que bien souvent les relations entre humains d’amour ou d’amitié, font ressurgir des peurs imprimées au niveau de l’âme, telles que la peur du rejet, de l’abandon...Ces sentiments douloureux que l’on attribue à la relation que l’on vit présentement, sont en fait la réminiscence de la sensation de déchirure vécue lors de la naissance cosmique. Ce sont des choses que j’avais déjà lues et auxquels je crois profondément mais cette fois-ci, il semble que je les vive. Comme si c'était l'heure de regarder ces peines en face.
Saisissant ces pensées, je me suis adressée à la part la plus amoureuse et la plus lumineuse de ma personne, à la source père mère qui vit en moi, afin qu’elle guérisse mon âme.

vendredi 3 mai 2013

Pouvoir et autorité




Ce matin, j’ai un peu de mal à émerger. La nuit a été courte. Le voisin d’en haut, encore lui, a fait pas mal de bruit vers 1h du mat et j’ai eu du mal à m’endormir. Le chat qui était là me dérangeait. J’ai même poussé une gueulante à l’adresse de cet homme dont le comportement ne m’irrite pas par "hasard". Voilà mon "arme", ma défense, le cri. Pas très spirituel comme façon d’être mais bon, je ne vais pas me mentir ni me la jouer "parfaite". Il est évident que j’ai à guérir ma conception du pouvoir, de l’autorité, la façon de s’imposer...Tout ceci est intimement lié à l’argent et le fait que j’aie tout juste de quoi vivre n’est pas non plus le fruit du hasard. 
Les messages de Jeshua me touchent particulièrement en général et en particulier concernant les passages qui parlent d’abus de pouvoir. Que ce soit à la période Atlante où je reconnais avoir un certain mépris inconscient pour la masse dans ce qu’elle a de plus barbare, l’effet de meute, comme les supporters, les lynchages de toute sorte...ou encore la période où les femmes utilisaient les hommes pour leur unique qualité de reproducteur. 
Je n’ai pas de souvenir précis mais je reconnais avoir des comportements autoritaires de leader et une façon d’être plutôt radicale. Bien que je porte ça en moi, j’essaie de ne pas l’activer et le travail spirituel, la motivation de recherche de neutralité s’en trouve amplifiée par ce ressenti. C’est plutôt de l’ordre de la mémoire ancestrale. J’ai contacté un personnage que j’ai incarné, qui était un chef cuistot plutôt abusif dans son rôle et dont le comportement a suscité beaucoup de culpabilité qu’il a heureusement avoué sur son lit de mort auprès d’un curé. Certainement qu'en faisant cela, il a limité l'impact de celle-ci dans mon présent. Il est clair que je n’aurais pu avoir accès à cet aspect de qui je suis si je n’avais pas revisité la notion de bien et de mal.