Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
dimanche 5 mai 2013
« Judge not » Bob Marley et « le citronnier » vidéo de Maritzabel Claros-Ferrer
Voici ce sur quoi je suis tombée ce matin, en me baladant sur la presse galactique et sur le site de Monique Mathieu. En général, les clefs de sagesse que je pioche au "hasard", donnent le ton de la journée, me préparent à ce qui va suivre. Espérons que je sois capable de ne pas me laisser envahir par la négativité en étant dans l’acceptation de ce qui est. Et de ne pas anticiper mentalement, en me disant : aïe, qu’est-ce qui va me tomber dessus ? Ce qui suit est publié aujourd'hui dans la presse galactique
"Vous plaindre de quoi que ce soit vous maintient en état de refuser de recevoir ce que vous avez demandé. Vous justifier à propos de quoi que ce soit vous maintient en état de refuser de laisser entrer cela même que vous avez demandé. Blâmer quelqu’un vous maintient en état de refuser de laisser entrer ce que vous avez demandé. Vous sentir coupable, vous sentir en colère – peu importe comment vous appelez ça – c’est un refus, il n’est pas conscient. Vous demandez ; vous ne pouvez vous empêcher de demander. L’Univers produit ; il doit produire. Une grande question se pose donc les amis : pourquoi ne le laissez-vous pas entrer ?
Abraham,
Traduction AD
Page d’origine : http://www.abraham-hicks.com/lawofattractionsource/index.php
Flashback
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Margaret Walty |
Encore
une nuit longue est très active dont il me reste quelques souvenirs. Cette fois-ci,
j’ai assisté en spectatrice, au film d’une vie passée où j’étais sur un énorme
bateau en fer, pendant une tempête très violente. Dans ce chaos, ça courrait de
partout. Je revois la dernière image de ce qui a dû être mon avant passage de l’autre
côté du voile, ma mort. Je ne l’ai pas vue concrètement mais tout
indiquait que c’était la fin de cette vie-là. Je comprends mieux ma relation
étrange à l’eau. Comme une détestation mêlée à un genre d’admiration, de
respect. Je pensais que ce regard venait du fait que mon frère était décédé
mystérieusement puisque les pompiers avaient retrouvé son corps flottant dans la rade de
St Malo six jours après sa disparition inexpliquée. Il m’a fallu beaucoup de
temps pour faire le deuil. Je dirais même que ça date du début de l’année alors
que cet événement traumatisant est arrivé en 1986. Je n’avais pas compris
pourquoi j’avais été le témoin le plus proche de cette catastrophe et restais
engluée dans la culpabilité, le regret de ne pas avoir eu le temps de connaître
mon frère. En effet, je suis partie très tôt de la maison familiale demandant à
être émancipée à seize ans. Déjà, dès le départ de mon père en Afrique au
moment du divorce, je fuguais régulièrement et vivais ma vie de recherche
existentielle au travers de l’usage de toutes sortes de drogues et de relations
amoureuses d’un soir. Je n’avais donc pas eu l’occasion de connaître ce frère
qui était le seul membre de ma famille qui ne m’agressait pas. Maintenant, je
me dis que tout est lié et même si j’ai toujours eu la sensation que cet
événement m’avait poussée plus loin dans mon questionnement à propos de la vie,
de la mort, de l’intérêt et la pertinence de cette existence, il me manquait
beaucoup d'éléments pour en comprendre la profondeur.
Je n’ai
plus aucun doute à propos de ma foi en l’humain divin, au fait que nous soyons
multidimensionnels et je prends enfin au sérieux toutes les visons et les
inspirations que j’ai...Jusqu’au prochain moment où le doute reviendra puisque
la progression n’est pas linéaire. Cependant, à chaque fois, la certitude
prends de plus en plus d’ampleur.
Tant que
j’attendais des "preuves" flagrantes de la réalité de ce que je
recevais, je m’enfermais dans un état précaire oscillant entre doute et
certitude. Depuis que je m’accorde un regard bienveillant et que la confiance
en soi grandit, depuis que je dis oui à tout ce qui me vient sans tenir compte
de la conscience collective, des croyances populaires, ma foi grandit et les
expériences intemporelles et dimensionnelles se multiplient constituant des
éléments qui confirment ma foi.
samedi 4 mai 2013
L’extase à portée de cœur...vidéo d'éveil
Malgré
un soleil radieux qui donne envie de sortir, j’écoute le besoin de repos de mon
corps physique. Le processus de guérison implique que chaque corps soit nettoyé,
purifié de toute énergie de discorde et il est naturel que cela crée des
désagréments au niveau du corps physique. Comme je l’ai dit dans le texte
publié ce matin, interpréter ce que l’on vit au travers de la foi en l’humain
divin, active le pouvoir d’auto-guérison. Un ajustement énergétique créé des
symptômes qui pourraient faire peur mais si on considère que c’est un processus
normal et que tout ceci est le signe d’une guérison certaine, on active la
guérison. Le fait d’aller m’allonger constitue un soutien à mon corps physique,
un lâcher prise qui amplifie la confiance en l’humain divin que je suis. Cette
confiance créé la détente et la paix intérieur qui sont des activateurs de
guérison.
Voici
encore une vidéo transmise par Epanews, qui résume bien tout ce que j’ai écrit
et vécu ces derniers jours.
« Envoyez
votre lumière en unité avec tous les autres Vous »
Oribel
Divine
Quand l'amour et la liberté s'associent...vidéo "Un lion nommé Christian"
J’avais
prévu d’aller chercher des graines et de faire un tour au marché pour y trouver
des nouvelles fringues mais en ouvrant ma boîte mail, je suis tombée sur ce
film diffusé par Epanews. Evidemment, beaucoup de critiques pourraient être
faites mais je ne regarde que l’essentiel, l’amour inconditionnel qui peut
exister entre tous. La puissance de l’amour qui peut tout. Symboliquement c’est
fort. Cette fusion entre l’humain et l’animal qui plus est l’animal sauvage
symbolise, l’unité possible malgré les différences extrêmes. L’union entre
notre lumière et nos ombres. La lumière étant notre conscience et les ombres,
tout ce qui nous est inconnu, étranger mais qui est aussi une part essentielle
de qui nous sommes. La notion de liberté est aussi très importante.
L’amour
inconditionnel et la liberté sont éternellement associés. L’amour
inconditionnel, c’est être soi-même et la liberté c’est retrouver cette
connaissance en lâchant les illusions du monde.
Réaliser l'unité, c'est simplement en prendre conscience.
Les premières
pensées au réveil étaient plutôt tristes sans aucune raison apparente. Je me
suis interrogée et je me dis que le fait d’avoir écouté les histoires de Pierre
Bellemare, hier soir avait peut-être éveillé cette sensation. C’est un homme qui
raconte des « faits divers » avec un tel enthousiasme qu’on se sent
plongé dans la scène qu’il sait rendre vivante. Après tout, entendre des
histoires souvent douloureuses de personnes inconnues peut provoquer un genre
de tristesse devant la folie meurtrière. De plus, je ne suis pas habituée à faire entrer en moi ce genre d'histoire puisque je n'ai jamais lu les journaux et que je n'ai plus de téloche depuis maintenant trois ans. Heureusement, il y avait aussi des histoires
extraordinaires ce qui m’a permis de faire la balance.
Puis, j’ai continué de
chercher ce qui avait pu amener ses pensées sombres, enfin cet espèce de
nostalgie ambiante. C’est venu d’un coup à ma mémoire, une phrase que j’ai lue
dans le message de Jeshua qui parle des relations.
Il explique que bien souvent
les relations entre humains d’amour ou d’amitié, font ressurgir des peurs
imprimées au niveau de l’âme, telles que la peur du rejet, de l’abandon...Ces
sentiments douloureux que l’on attribue à la relation que l’on vit présentement,
sont en fait la réminiscence de la sensation de déchirure vécue lors de la
naissance cosmique. Ce sont des choses que j’avais déjà lues et auxquels je crois profondément mais cette
fois-ci, il semble que je les vive. Comme si c'était l'heure de regarder ces peines en face.
Saisissant ces pensées, je me suis adressée
à la part la plus amoureuse et la plus lumineuse de ma personne, à la source
père mère qui vit en moi, afin qu’elle guérisse mon âme.
vendredi 3 mai 2013
Pouvoir et autorité
Ce
matin, j’ai un peu de mal à émerger. La nuit a été courte. Le voisin d’en haut,
encore lui, a fait pas mal de bruit vers 1h du mat et j’ai eu du mal à
m’endormir. Le chat qui était là me dérangeait. J’ai même poussé une gueulante
à l’adresse de cet homme dont le comportement ne m’irrite pas par "hasard". Voilà mon "arme", ma défense, le cri. Pas très spirituel comme façon
d’être mais bon, je ne vais pas me mentir ni me la jouer "parfaite". Il
est évident que j’ai à guérir ma conception du pouvoir, de l’autorité, la
façon de s’imposer...Tout ceci est intimement lié à l’argent et le fait que
j’aie tout juste de quoi vivre n’est pas non plus le fruit du hasard.
Les
messages de Jeshua me touchent particulièrement en général et en particulier concernant
les passages qui parlent d’abus de pouvoir. Que ce soit à la période Atlante où
je reconnais avoir un certain mépris inconscient pour la masse dans ce qu’elle
a de plus barbare, l’effet de meute, comme les supporters, les lynchages de
toute sorte...ou encore la période où les femmes utilisaient les hommes pour
leur unique qualité de reproducteur.
Je n’ai pas de souvenir précis mais je reconnais
avoir des comportements autoritaires de leader et une façon d’être plutôt
radicale. Bien que je porte ça en moi, j’essaie de ne pas l’activer et le
travail spirituel, la motivation de recherche de neutralité s’en trouve
amplifiée par ce ressenti. C’est plutôt de l’ordre de la mémoire ancestrale.
J’ai contacté un personnage que j’ai incarné, qui était un chef cuistot plutôt
abusif dans son rôle et dont le comportement a suscité beaucoup de culpabilité
qu’il a heureusement avoué sur son lit de mort auprès d’un curé. Certainement qu'en faisant cela, il a limité l'impact de celle-ci dans mon présent. Il est clair
que je n’aurais pu avoir accès à cet aspect de qui je suis si je n’avais pas
revisité la notion de bien et de mal.
jeudi 2 mai 2013
Dans mon monde, je suis tout, je peux tout
Puisque
le monde existe à travers mon regard, puisque ce que je vois dépends de ce que
je crois, chaque jour, je crée le scénario qui me rapproche de ma vérité, de
celle que je veux vivre.
Je
libère peu à peu les comportements contraires à l’amour divin.
J’active
ma réalité selon mes nouvelles règles du jeu. L’amour sans conditions, la
liberté d’être pour tous, l’acceptation de ce qui est, le pardon, façonnent de
jour en jour ce monde d’abord rêvé. En apprenant à choisir la voix intérieure à
qui je laisse le micro et le devant de la scène, je peux chanter la plus belle
chanson d’amour et de joie qui soit.
Je ne
suis pas obligée d’écouter le critique intérieur qui se manifeste si souvent. D’ailleurs,
en lui disant "la ferme" chaque fois qu’il s’exprime, il finit par se taire. J’ai
remarqué que c’est quand je commence à avoir peur du regard extérieur qu’il se
fait entendre. C’est un genre de défense de l’ego, une façon de nier cette
peur, de ne pas la regarder en face. Mais si je la reconnais, je m’attendris
envers moi-même. Je me rends compte de cette faiblesse et du coup, je considère
cet aspect de moi comme un enfant. C’est tout simplement cette part enfantine,
cet enfant intérieur qui réagit.
Mais en même temps, cet aspect de qui je suis
possède toutes les qualités qui me font apprécier la vie. La joie, la
créativité, la capacité de s’émerveiller, d’aller vers l’autre facilement, en
égal...Sans lui, ma vie serait des plus sinistres, chiante, répétitive.
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