samedi 4 mai 2013

Quand l'amour et la liberté s'associent...vidéo "Un lion nommé Christian"




J’avais prévu d’aller chercher des graines et de faire un tour au marché pour y trouver des nouvelles fringues mais en ouvrant ma boîte mail, je suis tombée sur ce film diffusé par Epanews. Evidemment, beaucoup de critiques pourraient être faites mais je ne regarde que l’essentiel, l’amour inconditionnel qui peut exister entre tous. La puissance de l’amour qui peut tout. Symboliquement c’est fort. Cette fusion entre l’humain et l’animal qui plus est l’animal sauvage symbolise, l’unité possible malgré les différences extrêmes. L’union entre notre lumière et nos ombres. La lumière étant notre conscience et les ombres, tout ce qui nous est inconnu, étranger mais qui est aussi une part essentielle de qui nous sommes. La notion de liberté est aussi très importante. 
L’amour inconditionnel et la liberté sont éternellement associés. L’amour inconditionnel, c’est être soi-même et la liberté c’est retrouver cette connaissance en lâchant les illusions du monde.

Réaliser l'unité, c'est simplement en prendre conscience.




Les premières pensées au réveil étaient plutôt tristes sans aucune raison apparente. Je me suis interrogée et je me dis que le fait d’avoir écouté les histoires de Pierre Bellemare, hier soir avait peut-être éveillé cette sensation. C’est un homme qui raconte des « faits divers » avec un tel enthousiasme qu’on se sent plongé dans la scène qu’il sait rendre vivante. Après tout, entendre des histoires souvent douloureuses de personnes inconnues peut provoquer un genre de tristesse devant la folie meurtrière. De plus, je ne suis pas habituée à faire entrer en moi ce genre d'histoire puisque je n'ai jamais lu les journaux et que je n'ai plus de téloche depuis maintenant trois ans. Heureusement, il y avait aussi des histoires extraordinaires ce qui m’a permis de faire la balance. 

Puis, j’ai continué de chercher ce qui avait pu amener ses pensées sombres, enfin cet espèce de nostalgie ambiante. C’est venu d’un coup à ma mémoire, une phrase que j’ai lue dans le message de Jeshua qui parle des relations. 
Il explique que bien souvent les relations entre humains d’amour ou d’amitié, font ressurgir des peurs imprimées au niveau de l’âme, telles que la peur du rejet, de l’abandon...Ces sentiments douloureux que l’on attribue à la relation que l’on vit présentement, sont en fait la réminiscence de la sensation de déchirure vécue lors de la naissance cosmique. Ce sont des choses que j’avais déjà lues et auxquels je crois profondément mais cette fois-ci, il semble que je les vive. Comme si c'était l'heure de regarder ces peines en face.
Saisissant ces pensées, je me suis adressée à la part la plus amoureuse et la plus lumineuse de ma personne, à la source père mère qui vit en moi, afin qu’elle guérisse mon âme.

vendredi 3 mai 2013

Pouvoir et autorité




Ce matin, j’ai un peu de mal à émerger. La nuit a été courte. Le voisin d’en haut, encore lui, a fait pas mal de bruit vers 1h du mat et j’ai eu du mal à m’endormir. Le chat qui était là me dérangeait. J’ai même poussé une gueulante à l’adresse de cet homme dont le comportement ne m’irrite pas par "hasard". Voilà mon "arme", ma défense, le cri. Pas très spirituel comme façon d’être mais bon, je ne vais pas me mentir ni me la jouer "parfaite". Il est évident que j’ai à guérir ma conception du pouvoir, de l’autorité, la façon de s’imposer...Tout ceci est intimement lié à l’argent et le fait que j’aie tout juste de quoi vivre n’est pas non plus le fruit du hasard. 
Les messages de Jeshua me touchent particulièrement en général et en particulier concernant les passages qui parlent d’abus de pouvoir. Que ce soit à la période Atlante où je reconnais avoir un certain mépris inconscient pour la masse dans ce qu’elle a de plus barbare, l’effet de meute, comme les supporters, les lynchages de toute sorte...ou encore la période où les femmes utilisaient les hommes pour leur unique qualité de reproducteur. 
Je n’ai pas de souvenir précis mais je reconnais avoir des comportements autoritaires de leader et une façon d’être plutôt radicale. Bien que je porte ça en moi, j’essaie de ne pas l’activer et le travail spirituel, la motivation de recherche de neutralité s’en trouve amplifiée par ce ressenti. C’est plutôt de l’ordre de la mémoire ancestrale. J’ai contacté un personnage que j’ai incarné, qui était un chef cuistot plutôt abusif dans son rôle et dont le comportement a suscité beaucoup de culpabilité qu’il a heureusement avoué sur son lit de mort auprès d’un curé. Certainement qu'en faisant cela, il a limité l'impact de celle-ci dans mon présent. Il est clair que je n’aurais pu avoir accès à cet aspect de qui je suis si je n’avais pas revisité la notion de bien et de mal.

jeudi 2 mai 2013

Dans mon monde, je suis tout, je peux tout




Puisque le monde existe à travers mon regard, puisque ce que je vois dépends de ce que je crois, chaque jour, je crée le scénario qui me rapproche de ma vérité, de celle que je veux vivre.
Je libère peu à peu les comportements contraires à l’amour divin.
J’active ma réalité selon mes nouvelles règles du jeu. L’amour sans conditions, la liberté d’être pour tous, l’acceptation de ce qui est, le pardon, façonnent de jour en jour ce monde d’abord rêvé. En apprenant à choisir la voix intérieure à qui je laisse le micro et le devant de la scène, je peux chanter la plus belle chanson d’amour et de joie qui soit.

Je ne suis pas obligée d’écouter le critique intérieur qui se manifeste si souvent. D’ailleurs, en lui disant "la ferme" chaque fois qu’il s’exprime, il finit par se taire. J’ai remarqué que c’est quand je commence à avoir peur du regard extérieur qu’il se fait entendre. C’est un genre de défense de l’ego, une façon de nier cette peur, de ne pas la regarder en face. Mais si je la reconnais, je m’attendris envers moi-même. Je me rends compte de cette faiblesse et du coup, je considère cet aspect de moi comme un enfant. C’est tout simplement cette part enfantine, cet enfant intérieur qui réagit. 
Mais en même temps, cet aspect de qui je suis possède toutes les qualités qui me font apprécier la vie. La joie, la créativité, la capacité de s’émerveiller, d’aller vers l’autre facilement, en égal...Sans lui, ma vie serait des plus sinistres, chiante, répétitive.

Tout est bien





S’abandonner au mouvement intérieur de la vie, revient à faire totalement confiance à ce qui est, à se laisser porter par la vie elle-même. Il est important, voire essentiel de se faire confiance, de se laisser aller à écouter ce qui est vrai en soi. Selon ce que je crois, ce qui est vrai ce sont nos ressentis, notre intuition, ce qui nous fait vibrer. C’est un peu abstrait mais quand on se libère du jugement envers soi et les autres, il s’ensuit une ouverture de cœur et de conscience qui permettent de porter un regard neutre sur tout. Libérer l’habitude systématique de classer, d’étiqueter, de porter un jugement de valeur sur son existence et sur les événements passés et présents, amène à se sentir libre, puissant et heureux. Dès que l’on définit les choses et soi-même en terme de bien et de mal, on est prisonnier du mental. La culpabilité, le doute, l’auto-critique, nous maintiennent dans une fréquence vibratoire qui nous plonge dans la noirceur, nous privant de notre propre lumière, ou plutôt nous empêchant de voir cette lumière intérieure.
Notre mental est un scénariste qui passe son temps à se faire des films, à anticiper, à imaginer des choses qui si nous leur accordons foi, de l’importance, finiront par se réaliser selon la loi d’attraction et de résonance.
Il y a donc deux solutions majeures, deux postures pour sortir de son emprise, enfin il y en a plus que ça mais ce qui m’intéresse, c’est de faire les choses de façon fluide, sans forcer, facilement. Elles sont complémentaires et leur association accélère le processus de libération.

Dédramatiser avec l’humour, vidéo Coluche, Chevalier et Laspalés




J’ai continué de faire le tour du site en français des vidéos que j’ai publiées ce matin. Mon enthousiasme a été un peu refroidi par la mauvaise qualité de la traduction et par quelques mots comme « morale ». Il y a cependant des bonnes idées et les explications concernant les énergies tiennent à peu près la route. Pas évident de vouloir participer à l’élaboration d’une nouvelle société sans tomber dans des travers ou des vieux schémas. D’un autre côté, il va bien falloir que ça change aussi au niveau collectif. Je pense que chaque génération a son rôle à jouer dans l’évolution et je me situe plus dans celle qui révolutionne le mode de pensée individuel, les vieilles façons d’être et la recherche d’auto-guérison.
Enfin, ce qui est « positif c’est que ça me ramène en mon centre, ma vérité, celle que je veux vivre.

mercredi 1 mai 2013

"Tout sera révélé petit à petit" message reçu par Monique Mathieu et 2 vidéos "Matrice" par Veno




J’ai remarqué qu’avant d’avoir accès à de nouvelles données, un processus physique se mettait en place. Des "douleurs" ressenties au niveau du crâne et du cœur se manifestent. Comme si quelque chose "s’ouvrait", "s’élargissait", se "décoinçait". Les explications à propos des implants, données par Veno, me confortent dans cette croyance que des phénomènes physiques ouvrent la conscience afin de préparer à recevoir plus de compréhension, de lumière et d’amour. Le pardon étant l’expression même de l’amour inconditionnel et comme celui-ci s’avère être ce qui déprogramme, selon Veno, je continue donc de publier les vidéos que l’on trouve librement sur You Tube.(en fin de message)
En parallèle, comme pour appuyer mes propos concernant la réincarnation et la plongée dans mes vies antérieures tout comme ce que je vis actuellement, et pour montrer comment l’ensemble est cohérent selon ce que je ressens et crois, je post ici, un des derniers textes de Monique Mathieu qui canalise des êtres « extraterrestres ».
Ce journal étant mon coin de confidence au jour le jour, il est donc logique que ce que j’y écris soit l’info brute telle que je la reçois et que celle-ci soit à peine digérée. C’est une mise à plat, un vidage mental, de l’âme, de l’inconscient, de plusieurs dimensions de ce que je suis. L’ensemble ne peut donc pas résonner en chacun de la même façon ni constituer une "vérité universelle".