mardi 9 avril 2013

Le renouveau du printemps




Je viens de regarder la deuxième partie de la vidéo que j’ai mise en ligne tout à l’heure, enfin, le lien et comme elle me semble encore prise dans le jeu de la dualité, je ne mets pas le lien. L’appel à se connecter, à créer une communauté, à réunir...me semble être encore à côté de la plaque. Les groupements comportent toujours des risques. Puisque chacun possède un cœur et une conscience lui permettant d’accéder à sa propre vérité, et que nous sommes essentiellement constitués d’énergies, le "rassemblement" devrait tout naturellement se faire au niveau du cœur et de la conscience. On se rejoint par notre conscience, quand on réalise que nous sommes UN. Mais cette expérience ne peut se vivre qu’à l’intérieur de soi-même et la seule chose qui me semble avoir une "utilité", c’est de témoigner, de rendre compte de ce que l’on vit. Tout comme le fait d’informer de ce qui est dans le monde pour enrichir sa compréhension et non pour prendre parti, se situer par rapport au monde mais plus, pour mieux être en soi-même, en son propre centre. 
Par résonance énergétique, la réunification intérieure amène la réunification avec les autres. Il n’y a donc pas à vouloir mais à être et rencontrer.

Vouloir ou accepter? Film d'animation, "Les 5 légendes" et Revelations – Part 1 of 2 -


Vladimir Kalinin


Rien de tel qu’une, longue nuit de repos pour avoir la frite ! Depuis quelques jours, le réveil était moyen. Comme l’impression de ne pas être parvenue à un accord pendant mes rencontres nocturnes. Avec qui ? Aucune idée mais la sensation de résister, de manquer d’éléments de compréhension pour accueillir quelque chose de nouveau. Qu’il me fallait libérer quelques vieux schémas. Le fait de recommencer à me lever la nuit pour pisser m’indique que des libérations s’effectuent au niveau des mémoires cellulaires. Les oppositions et résistances étant moins fortes la nuit puisque le mental est au repos, il semble qu’un lâcher prise puisse être réalisé plus facilement. Je me suis levée deux fois, très tôt ce matin comme pour évacuer des blocages en me recouchant et m’endormant de suite comme pour reprendre la conversation en cours. Tout ceci est évidemment de l’ordre du ressenti profond et comme je m’y fie de plus en plus, ça me donne le "culot" de le dire. De toute façon, je n’ai rien à gagner si ce n’est que de rassurer ceux qui vivent des choses similaires.

lundi 8 avril 2013

Se laisser porter par ses envies, sans culpabilité et vidéos d’humour, Abraham

Pensée du jardin


"J’ai appliqué la loi du moindre effort tout l’après midi, après quelques heures passées au jardin. Comme je n’ai plus de télé depuis maintenant trois ans, j’ai perdu l’habitude des divertissements. Trop de temps à lire les messages, à "penser" présence divine, lois universelles...
J’ai complètement zappé la séance de connexion divine de Monique Lapointe. En même temps, je me dis que ça ne m’est plus utile comme je "sais" le faire moi-même et le fait que 70 personnes aient lu ce texte me montre que j’ai bien fait de mettre cette invitation qui aura servi à quelqu’un. Et même si une seule personne y a participé, ça valait la peine de diffuser l’info.
J’étais au jardin entre midi et deux, totalement connectée à la terre mère, dans mon petit monde, mon petit coin de terre avec la chienne, les chats et le soleil éclatant, digne d’un beau jour de printemps. J’ai de quoi m’occuper, l’herbe a bien profité de la pluie et de la douceur.
Ma méditation quotidienne s’est terminée en sommeil avec un rêve qui m’a montré que je n’étais pas encore au point avec l’énergie masculine, l’autorité...

dimanche 7 avril 2013

« La loi du moindre effort »





J’avoue que j’improvise totalement sur ce thème puisque je l'intègre pas à pas mais tout ce que j’écris vient du cœur, enfin j'écris de façon spontanée. C’est peut-être les énergies des 4 accords toltèques que j’ai commencé à écouter hier. Je n’ai retenu que ce qui suit.
« Nous avons perdu la joie de l’enfant de trois ans qui est tout simplement. »

J’insiste beaucoup sur l’amour inconditionnel, la transparence, l’authenticité, ce n’est pas par hasard ni pour être à la mode, dans le mouvement « New âge ».

Plus je vis dans ces énergies et plus je me dévoile à moi-même, sans effort. 
Le seul truc que je fais, c’est de me dire tout est bien, tout est parfait. 
Seule ma vision limitée m’empêche de le voir mais ma présence divine qui s’installe chaque jour un peu plus, me le souffle, me l’inspire, me le montre.

samedi 6 avril 2013

L’amour inconditionnel de soi amène l’équilibre cœur/ego et "Vous êtes les enseignants de la société" de Jeshua reçu par Paméla Kribbe



Tomasz Alen Kopera

Le temps glacial m’a maintenue enfermée pour me protéger du vent. Cet hiver qui se prolonge me pousse à croire que nous avons tous besoin d’introspection afin d’être en mesure de finir de libérer les vieux schémas de trois D. Ceux qui concernent les définitions que nous avons des maîtres, des enseignants, les notions de supériorité, d’infériorité. Ce n’est que lorsqu’on intègre l’acceptation totale de soi qu’on est en mesure d’en faire de même avec toute vie et à moins de réaliser cela, l’élévation planétaire semble difficile à réaliser. Il n’est plus l’heure de savoir qui a tort, qui a raison mais de se tourner vers son cœur et de le laisser nous enseigner en particulier, l’amour inconditionnel qui est la seule voie qui permet la manifestation du divin en soi. Je vois que le film que j’ai posté hier, « conversation avec dieu », n’a pas eu le succès que j’escomptais. Pourtant, bien qu’il montre un homme qui enseigne dans des églises, l’idée majeure est celle que l’amour est la porte du divin en soi. Il montre aussi que le dépouillement permet de revenir à l'essentiel, l'amour inconditionnel.

Freine ! Prends conscience de tes priorités et de la valeur de tout ton être. Tony Melendez, vidéo



Jnek
Il va falloir que j’intègre vraiment la notion de priorité dans ma vie. J’avais prévu d’aller en ville pour poster la facture Internet puis à la clinique pour voir Aicha, une voisine, faire quelques courses, acheter des pieds de tomates et des graines de haricots secs qui bien qu’ils provoquent des flatulences, sont un délice. D’ailleurs là encore, ça n’est qu’une question de croyance populaire parce que ceux que je fais pousser sont si tendres qu’ils sont tout à fait digestes. De plus, les flatulences, selon Lise Bourbeau, sont le signe d’une inquiétude provoquée par la peur de manquer de quelque chose. Comme l’heure tourne et que je commençais à devoir courir pour sortir avant la fermeture des magasins, je me suis posée deux minutes pour réfléchir et revoir mon programme.
Ce qui me poussait à courir, c’était la nécessité de poster la facture pour ne pas risquer d’être coupée d’Internet. Je me suis dit que la peur motivait cet élan et que je devais réviser mes priorités, en mettant l’amour de soi en avant.
Qu’est-ce que mon corps physique dit de la situation ? Il est mon plus fidèle allié, le véhicule de mon âme, l’enveloppe sacrée qui supporte mes tâtonnements avec un amour inconditionnel exemplaire. En chacune de ces cellules vibre l’éternité, l’étincelle divine, il est le monde intérieur dont je suis le locataire...

L’ouverture du cœur élargi la vision, la compréhension




Comme chaque fois que je passe par des moments de lâcher prise et que j’y arrive, il en résulte toujours une ouverture de cœur et de conscience, j’ai une patate d’enfer, ce matin ! Je laisse les mots venir naturellement et celui –ci « enfer » est posé pour exprimer le caractère puéril de l’interprétation que la majorité des gens s’en fait. Il n’y a d’enfer que l’état d’esprit dans lequel on se situe quand on se critique, quand on se juge, que l’on ferme son cœur à l’immense amour inconditionnel dont la puissance est infinie. L’enfer, c’est la matérialisation des peurs, des énergies lourdes que tant d’êtres humains aiment à nourrir. Je ne blâme personne puisque j’ai passé les trois quarts de ma vie à porter des énergies négatives, de basses vibrations et ayant quelques éclairs de lucidité provoqués par le bien-être physique induit par les drogues qui amène une forme d’ouverture de cœur. Bien que celle-ci soit artificielle, elle m’a permise de trouver un équilibre souffrance/plaisir pour maintenir mon envie de rester sur terre.
L’ignorance de ce que nous sommes, nous plonge dans une obscurité telle qu’il devient difficile de discerner la clarté dans ce que nous vivons. L’expérience et le vécu revisité, le recul que nous prenons, nous permettent d’y voir que l’amour possède des vertus extraordinaires et que même nos ombres ont constitué un chemin qui nous a amené à ouvrir notre cœur et en même temps notre conscience.