This morning I lève...extrait d’un sketch d’Elie
Seimoun. Je
traduis : ce matin je me lève...J’ai souvent des phrases de sketchs qui me
viennent en tête et que j’utilise dans la vie courante, au supermarché, à la
boulangerie, bref, je ne retiens rien et ne craint pas de passer pour dingue.
C’est un bon moyen de se sentir libre et ça permet de capter les gens sur la
même longueur d’ondes, celle du "souris à la vie, tout ça n’est qu’un jeu
autant en faire une fête !" Les expressions des enfants font aussi
partie de mon vocabulaire. Elles sont tellement vraies et comme chacun les a
prononcées, ça parle directement à l’enfant intérieur. "C’est celui qui
dit qui y’ est !" est ma préférée, elle est si vraie.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
samedi 16 mars 2013
vendredi 15 mars 2013
Thrive et commentaires
J’ai
bien fait de passer deux heures au jardin, de contact avec la réalité de la
nature, avec l’énergie de la vie, de la terre mère. Je me suis chargée
d’énergie positive comme pour être capable de regarder le film "Thrive" que l’on
trouve sur de nombreux sites d’éveil et que je n’avais pas voulu voir jusqu’à
aujourd’hui. Il y a quelques temps, bien que je croie aux conspirations, aux
Illuminatis...je ne voulais pas "regarder la vérité en face" pour ne pas
être déstabilisée et perdre l’espoir en l’humain, en moi, par la même occasion.
J’ai suffisamment vu la capacité de l’homme et de la femme, a générer de la
souffrance. Comme on dit, j’ai ma dose. Je n’étais pas non plus en paix avec
mes propres ombres et craignais d’être submergée. Mais plus j’accueille tout ce que
je suis et plus je peux regarder ce qui est, de façon neutre.
Lâcher prise et une vidéo: "Comment se nourrir sainement pour pas cher"
Bientôt
midi et la matinée qui est passée à une vitesse folle s’est vue remplie de
reconnaissance et de gratitude pour cette vie. Pour l’abondance en toutes
choses, pour ce chemin qui devient facile et fluide à mesure que je laisse tout
ce que je suis s’exprimer sans retenue, que je prends tout ce qui vient comme
un jeu qui me permet d’aller plus en profondeur dans le "je" et d’y
reconnaître une multitude de trésors cachés.
Et même s’il m’arrive de sentir de
la peine je l’accueille pour ce qu’elle est, sans même chercher à savoir d’où
elle a émergé. J’apprends à faire confiance à tout ce qui vit en moi, me disant
que si c’est là, c’est que c’est légitime.
La magie de l’amour, révélée par la tendresse des âmes sœurs.
| Savoir être deux |
Depuis
quinze jours peut-être, je ne sais plus tant le temps est déboussolé, je
communique avec deux personnes en qui j’ai reconnue un fort lien d'âmes. Des sœurs de cœur, ma famille d'âme.
Bien que je
ressente autant d’amour pour ces deux belles personnes, et que chacune soit un miroir de ce que je suis, l’une d’entre elle m’ouvre
le cœur à la tendresse, et permet à l'enfant intérieur de s'exprimer pleinement, chaque jour, dans la transparence totale et réciproque. Nous échangeons à partir du cœur, comme
des enfants, ne nous cachant rien et même si je dévoile beaucoup ici, avec cet
ange humain, c’est mon cœur qui se livre tout entier. J’apprends la vraie
communication, le sens profond de l’amitié, de la confidence, de la confiance.
jeudi 14 mars 2013
"Une envie de rien" et un documentaire sur la terre creuse, Agharta
![]() |
| Islande, Ben Hall, Rex Features |
Pouah !
Je ne sais pas vous mais ici, le temps est fou ! La soleil, la tramontane,
la neige...Ce qui est rassurant, c’est que je ne suis pas obligée d’être dehors
et malgré qu’il n’y ait pas de chauffage, mon corps s’est habitué à la
température. Encore une fois, quand j’ai la patate le matin, en général, l’après
midi est éprouvante sans que ce soit pour autant angoissant, comme ça pouvait l'être il y a peu.
C’est
comme si on vivait les quatre saisons dans la semaine, comme si les aiguilles
de la montre s’affolaient. Ce qui est le plus surprenant, c’est que je suis
immobile comme scotchée. Je n’arrive à rien faire. Et je ne culpabilise pas! C'est une bonne chose parce que les ravages de a culpabilité sont immenses et innombrables.
Difficile de prévoir quoi
que ce soit ça change si brutalement.
Heureusement
que j’ai profité du soleil pour aller au jardin. J’ai bêché malgré le poids de
la terre comme pour avoir l’impression de faire quelque chose de la journée.
Ces
derniers jours je ressens comme le besoin d’être le plus calme possible.
Pour honorer ce jour nouveau, quelques chansons interprétées par des musiciens de rue autour du monde
Je viens de m’éclater à jouer avec eux, la magie
d’Internet, l’inter-reliance du cœur et de l’âme, via le réseau.
Le vent
qui souffle violemment dehors, m’invite à rester au chaud. Une pensée d’amour
pour ceux dont le ciel et les étoiles bercent les nuits. Que le cœur des
passants, s’ouvre à leur contact et que leur main libère quelques miettes de
leur confort quotidien. Vivement l’unité du cœur de l’humain qui amène à
reconnaître en chacun la lumière du divin, Tous UN, Tous Égaux, amen !
Don’t
worry
mercredi 13 mars 2013
La neutralité n’est pas synonyme de silence.
Et même
si j’apprécie ses moments de repli sur soi, d’intériorisation, j’ai aussi une
langue, des mains un cœur pour échanger avec le monde extérieur.
Une
tendance à laisser penser que pour ne pas nourrir la dualité, il faille s’abstenir
de dire ce qui déplait, est une mode largement diffusée dans les sites "d'éveil".
Mais se taire n’est-ce pas aussi cautionner la misère, le
mensonge, le secret ?
Dénoncer
l’injustice est un acte nécessaire si on veut changer la société.
Le fait
d’être individualisé nous donne l’opportunité de dire notre point de vue.
De même
qu’à l’échelle de l’individu, savoir dire Non c’est faire preuve d’amour pour
soi même, de respect, tout autant que vis-à-vis de l’autre.
Dire ce qui n’est
pas amour dans notre société, est devenu une nécessité.
Derrière
le silence, bien souvent se cache la peur d’oser être soi-même et de
prendre le risque de déplaire. Attendre l’amour de l’extérieur amène à se
renier et à perdre sa propre saveur. Seul l’amour pour soi-même guérit toute
blessure et libère de tout. L’amour inconditionnel amène à voir ses
imperfections et ainsi à ne pas se sentir au dessus de quiconque.
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