samedi 9 mars 2013

La beauté est partout vive la terre, vive l’incarnation, vidéo "le temps d'un regard"



Mon copain Le Chêne

 Plus ma foi au divin grandit et plus elle amplifie l’amour pour cette vie, pour ce que je suis dans la chair. Le fait de savoir que celui-ci est conscient et autonome me fait envisager les choses sous un angle nouveau. Prendre soin de lui comme un ami qui a invité ma conscience à l’habiter. Non seulement je m’en désidentifie mais je peux avoir de la compassion et un amour spécial qui n’est plus du narcissisme. 
Je peux m’autoriser à aimer cette enveloppe, comme mon premier ami sur terre. 
Une conscience reliée aux éléments, à la terre mère, qui me connaît depuis l’enfance et m’accompagne fidèlement dans cette incarnation. Toutes ces cellules qui se sont harmonisées pour que je puisse loger ma conscience, se transforment selon les pensées que mon mental et mon inconscient contiennent. 
A mesure que l’idée de l’amour inconditionnel prends racine, qu’il se développe en moi et rayonne, elles s’activent joyeusement à se régénérer. 

Chacun peut être éclairé par lui-même, c’est le but de toutes nos vies, que de trouver cette vérité !




J’ai été scotchée, hier soir par une conversation mise en ligne sur un site dont je ne dirais pas le nom pour ne pas nourrir ce genre d’énergie. Il s’agit d’un canal qui prétend recevoir des messages d’un être de lumière. J’avais marqué la page parce que j’avais bien rigolé en lisant quelques messages. Puis hier, j’ai eu la sensation d’un affreux déballage d’énergie très négative comme si j’étais dans une cours d’école où des gamins se bagarraient. Je ne cherche même pas à savoir si ce qui est dit est vrai ou faux, j’ai fini par me poser les questions essentielles plutôt que de tourner en rond et de nourrir ma propre confusion.
A quoi ça me sert de savoir ce qui se passe au niveau du Vatican, de la façon dont les forces de l’ombre sont contenues, voire punies ? 
A quoi ça me sert de savoir qu’il y aurait une justice divine d’autant que nos mots humains sont si galvaudés que leur sens ne peux pas être le même qu’a des niveaux de conscience plus élevés...
A semer le trouble en moi et surtout à attendre la lumière de l’extérieur.
A quoi bon savoir ce qui se passe autour de soi si je ne sais pas ce qui se passe en moi?

vendredi 8 mars 2013

Persévérance et petits résultats





Ce matin, le problème de connexion Internet n’est toujours pas résolu. Bien que j’essaie de ne pas trop m’en soucier, ça me gonfle. Ce qui m’énerve c’est que je continue de me critiquer d’avoir laissé trainer ce problème depuis si longtemps, de ne pas oser me défendre...
Une petite séance d’EFT va calmer ça. Le technicien n’est pas encore venu et je commence à me demander. Inutile d’amplifier le problème en y pensant. 
Le mieux c’est que je fasse comme si de rien n’était. J’ai commencé un ménage de printemps tout à fait raccord avec le ménage intérieur. Tiens le portable grésille dans les enceintes de l’ordi, il va sonner.

Bon, il suffisait de ne pas attendre pour que le gars se manifeste. J’avoue que j’ai demandé à mon âme de m’envoyer quelqu’un d’humain, qui soit simple et honnête. 
Comme je sais que mon inconscient n’est pas tout à fait mis à jour concernant le masculin, ça risque d’attirer quelqu’un qui reflète une image obsolète de l’homme. Apparemment, à la voix, il semble que j’aie affaire à quelqu’un de simple et directe qui sera là dans une demi-heure. 

jeudi 7 mars 2013

Connaissance et responsabilisation



 
La petite phrase que je me répète depuis que j’ai entrepris d’aborder le thème de la sexualité, demande à être développée. "J’ai l’énergie de la solution"
J’ai longtemps cherché pourquoi j’avais eu à subir ces dix ans d’inceste dont je me serais passée. 
J’en ai voulu à ma mère plus qu’à mon père parce que dès l’enfance, j’avais compris qu’il était malade, malheureux et complètement irresponsable. Ma mère qui est d’une lucidité foudroyante et fortement imprégnée de la notion de sacrifice et de devoir a dû supporter mes souffrances que je lui envoyais en pleine figure. 
Je vivais en plus de la colère et de l’agressivité envers elle, une énorme culpabilité face à mon comportement que je savais injuste. 
Alors je m’en prenais à mon propre corps, lui faisant subir les pires agressions.
Entre la drogue, l’anorexie, la brutalité dans les gestes, le fait d’accepter de faire des boulots de chien et les tentatives de suicide, j’ai tout fais pour lui faire payer mon malheur.

Plaisir et sexualité, des thèmes à revisiter





Je ne sais pas si c’est parce que la pluie s’est calmée mais la lumière revient dedans et dehors. Enfin, j’entrevois des pistes. Derrière la prise de cachets, il y a la notion de plaisir. Comme je ne veux pas de relation de couple basée sur les rapports de force, la manipulation, la séduction, j’ai mis aussi la sexualité de côté. Les endorphines ayant un effet « plaisir », les médocs compensent ce manque de vie sexuelle. 

Quand j’étais ado, je n’avais pas trop de tabou même si j’avais besoin de produits, d’alcool ou de pétards pour me désinhiber. Je ne considérais pas la sexualité comme quelque chose de mal au contraire, ça faisais partie de ma devise de l’époque, sexe drogue et rock n’roll. 

Bien que je n’en sois plus trop là, (j'aime toujours le rock et ne renie pas mon désir théoriquement) j’ai occulté un peu vite la sexualité. 
Les dix ans passés chez les Mormons n’ont pas arrangé les choses:)

mercredi 6 mars 2013

Ambiance, ambiance!





 Ce matin, comme le voisin m'a dit hier, selon la météo, il continue de pleuvoir. 
La rivière monte de plus en plus et ce qui était un chant devient un flot assourdissant, grave qui exprime toute sa puissance. 
L’eau représentant la source, la mère qui donne généreusement, c’est comme si les énergies de l’univers arrivaient à saturer la terre qui comme à l’image du monde intérieur, est submergée par tout ce qu’elle reçoit. Notre difficulté à gérer nos émotions et nos pensées négatives semblent l’affecter grandement.

La connexion ne fonctionne toujours pas et malgré que j’aie retiré trois parasites avec un programme anti malwares, et l’appel à l’amour, à ma présence divine...rien ne semble vouloir retrouver son ordre habituel.
Je fini par me dire que tout ce que je crois c’est du délire.

mardi 5 mars 2013

A la limite de l'explosion!


Erta Ale, Éthiopie

Comme toujours, quand j’exprime une pensée, une croyance, quelque chose qui me vient d’un coup, sans que j’y réfléchisse avant, la plupart du temps, le matin, au saut du lit, je me retrouve à expérimenter sur le terrain ce que j’ai dit.
Non que mon dieu intérieur me punisse pour avoir ouvert ma bouche ou qu’il veuille me mettre à l’épreuve pour voir si je suis sincère. (C’est marrant quand je parle d’autorité en lien avec le divin, j’utilise des mots masculins...l’homme en moi n’a pas encore tout à fait trouvé sa juste place !)
C’est mon âme qui m’invite à "travailler" sur une croyance bien précise qui a besoin d’être libérée.
En ce moment, elle me pousse à être attentive à chacun de mes gestes, chacune de mes pensées, chacun de mes mots afin que je puisse voir concrètement où j’en suis concernant le sujet abordé le matin.