samedi 23 février 2013

L'amour et la lumière sont en toutes choses



Sculpture de Marie Thérèse Klein

 Ce matin et depuis deux jours, je constate qu’il me suffit de me dire le soir que je veux dormir au minimum 6 heures, pour qu’effectivement, ce soit le cas. On dirait que je commence à trouver ma puissance intérieure par le verbe, en conscience. C’est un petit détail qui a son importance et me pousse à continuer le nettoyage de l’inconscient par l’amour inconditionnel. 
L’acceptation de tout ce que je suis et la reconnaissance de l’ombre pour ce qu’elle est en réalité, une forme de lumière que la peur et l’ignorance poussent à qualifier de "mauvaise".
L’humain en général rejette ce qu’il ne peut ou ne veut comprendre mais le désir de connaissance exige de bousculer notre petit confort intérieur bien précaire que de nouvelles idées balayent d’un seul coup. L'inconnu fait peur! Et on a vite fait de nier ou de diaboliser ce qu'on ne peut concevoir, comprendre. Des exemples fourmillent et la liste est bien trop longue pour l'écrire ici. La peur de l'étranger, de la différence, des extra-terrestres...

vendredi 22 février 2013

L’ego protecteur – un cadeau ou un ennemi? de Carmelle Amara


Steve Robinson*

 Voici un texte que j'ai lu récemment, écrit par une personne que j’apprécie particulièrement pour sa sincérité dans le propos et sa vision amoureuse de tout ce que nous sommes. Elle aborde la question du féminin sacré, qui est un peu un mystère pour moi, mais que j’étudie à vrai dire, avec peu d’enthousiasme. Ceci est certainement le résultat de ma difficulté à accepter mes côtés "faibles" ou trop sensibles.

Avant le texte, voici quelques mots intéressants d’Emmanuel Dagher, que je viens de lire sur Facebook TransLight :

« Certaines des personnes les plus fortes sont également celles qui sont les plus sensibles. Être sensible, ce n'est pas être faible mais c'est plutôt avoir une conscience claire de ce que l'on est, de l'environnement & du but de la vie.
♥ Emmanuel -

Traduction http://www.facebook.com/TransLight
Par Marinette Lépine

Accepter TOUT ce que je suis et TOUT ce qui est



Voilà mon nouvel objectif. Enfin nouveau, si on peut dire :)
J’ai adopté ce principe depuis la fin de l’année dernière puisqu’il me semble logique, qu’aimer inconditionnellement (la longueur du mot semble porter toute la difficulté à le vivre !) c'est le genre d’amour que j'ai toujours cherché, l’amour total, ce lui qui englobe et reconnait en toute chose, la main de Dieu, de la source divine, de la vie.
Ce qui revient à dire « accepter tout ce que j’aime en moi et tout ce que je déteste aussi ». Voilà qui semble impossible à vivre spontanément, sincèrement et pourtant peu à peu je l’intègre et j’en ressens une paix géniale. Quelque chose d’inconnu jusqu’alors. Ce n’est pas permanent puisque pour aimer tout ce que je suis, il faut que je le vois premièrement, que je reconnaisse ce que j’ai rejeté, mis de côté, caché sous le tapis volant qui m’amenait toujours plus haut dans le pays du rêve, de l’illusion.
Et comme je l'ai caché c'est que j'ai jugé que c'était laid, que sa ne correspondait pas à mon idée du divin, de la perfection. Le voir me fait froid dans le dos, me déplait.
S’aimer sans conditions, c’est tout accepter de soi et arrêter de vouloir se changer. 

Elle a fini par se dire qu’on ne l’y reprendrait plus


Google images
En cherchant le moment où j’ai bifurqué, dans ma vie, où j’ai pris une direction opposée au mouvement de la vie, je constate que ça remonte au jour où j’ai vécu une déception amoureuse. Qui était en fait la matérialisation de mes croyances inconscientes.
Une trahison qui a définitivement changé ma vision idéale de l’amour. Devant cette grande douleur, j’ai cherché à mourir et c’est à ce moment, que j’ai commencé à nourrir l’énergie de la division et de la destruction. C’est pour cette raison que quand je suis tombée sur les opiacés qui ont su taire toute émotion en moi, que j’ai choisi de vivre de cette façon là. Coupée de tout ressenti pour être capable de survivre dans ce monde.

jeudi 21 février 2013

La qualité d’amour appelée dignité, Archange Gabriel par Marlène Swetlishoff


Chêne de Tronjoly, France, âgé de 1700 ans!!!

J’allais éteindre l’ordinateur et puis j’ai ouvert ce document qui était sur mon bureau, « par hasard ». J’ai bien fait, je ne regrette pas et je le copie-colle même ici pour Evelyne, entre autres et pour tout ceux qui comme moi, arrivent encore à douter ! Je l’ai trouvé sur la presse galactique, il y a peu.

Heureusement que je peux lire ce genre de message qui est un soutien inestimable dans les moments de doute de soi.

J’aimerais vous entretenir de la qualité d’amour appelée dignité…

Laisser passer le conflit intérieur, normal et lâcher les "pourquoi, comment" Vidéo "L'amour est énergie"



google images

De retour de chez le toubib, j’ai eu l’agréable surprise de trouver un mail d’une âmie qui m’a réconforté et m’a même fait rire et dédramatiser.
J’ai trouvé le moyen d’être limite à l’heure pour le rendez vous avec le toubib. J'ai pu voir que j’étais loin d’avoir réglé le problème de la culpabilité. Il va falloir en faire des séances d’EFT avant que ce foutu saboteur intérieur continue de saper mon envie sincère de m’aimer. Je vis un conflit interne dû à ce désir d’accepter tout ce qui en moi me déplait.  et la sale manie de m’insulter qui refait surface depuis ces quelques jours où la culpabilité s’est montrée dans toute sa splendeur. 

Nos erreurs sont la voix et le chemin, d’un simple apprenti-sage


Arielle et Gilbert, blog passion photo78.com

Encore une fois, l’épisode malheureux de ces derniers jours, revient sur le tapis mais sous un autre aspect, une nouvelle perspective. Voir « ah ! Le choc, le choc, le choc ». (Ce titre est une phrase extraite d’un sketch de Garnier et Santou, deux jeunes humoristes qui parodiaient deux copines pas très fines en train de discuter. Dont vous pourrez voir la vidéo en bas de cette page.)
  J’ai avancé dans ma recherche de compréhension à ce sujet. Et j’en, suis venue à me dire plusieurs choses. Comme je ne crois pas au hasard, et que j’ai été littéralement accusée de "viol", dans cette histoire, il est aisé de comprendre à quel point ça a pu m’affecter...
 Cependant comme j’étais à travailler sur la culpabilité, notamment celle d’avoir pu faire moi-même subir ce que j’ai vécu enfant, et bien que cette idée je l’avais refoulée très loin dans l’inconscient, l’accusation ciblée était voulue par mon âme pour que je puisse libérer précisément ce sentiment.