mardi 19 février 2013

Ah le choc, le choc, le choc!




J’ai vécu quelque chose ce matin, dont j’ai encore du mal à me remettre. 
J’ai été accusée d’avoir diffusé sur ce blog, des photos que j’ai trouvées sur un site et dont j’ai spécifié le nom ainsi que celui de la personne qui les avaient publiées, en ajoutant un lien pour y accéder directement. 
J’ai donc vécu l’accusation comme une injustice et en échangeant des mails, nous avons pu calmer le jeu en prenant conscience, chacune de notre côté de ce que l’expérience avait permis de sortir de l’inconscient. J'ai viré toutes les photos et les notes qui les accompagnaient.
Malgré tout, je restais très mal à l’aise bien que j’aie libéré le sentiment de culpabilité qui avait certainement attiré tout ça. 

lundi 18 février 2013

La spontanéité et "la peur de se tromper" par le collectif Ashtar via Simon Leclerc


La spontanéité est une bonne chose pourvu qu’on y associe la sagesse !
Je commence à me situer un peu mieux, vis-à-vis de moi-même, dans l’intégration des énergies polaires en moi et la volonté de les équilibrer. 
Je me rends compte que je ne sais pas vraiment dialoguer sereinement et que je suis plus souvent dans la "réaction" et "l’interprétation". 
Il faut dire que j’en suis dans les tous débuts de l’expression de soi vis à vis du monde et que je maîtrise très peu la communication.
J'ai passé ma vie à rejeter les autres par peur d'être blessée et rejetée moi-même. 
Enfin ça, c'est seulement maintenant que je m'en aperçois.

D'où vient ce besoin de me justifier en toutes choses?





Ce qui suit m'a été inspiré alors que je lisais des articles sur le site Epanews.
Comme je ne fais pas les choses à moitié, maintenant que j'ai décidé de me tourner vers l'extérieur, il n'est pas question que je sois uniquement spectatrice et je ne retiens pas l'élan de désir d'échange, de communication qui est enfin né en moi.
"Héritage culturel, mémoires cellulaires, tradition familiale, inconscient collectif ? Ou encore conséquence de la loi d'attraction, de résonance.
Toujours ce sentiment de devoir m'excuser d'être ce que je suis.

Alors je me rebelle et pour sortir du lot, m'exhibe en des tenues des plus extravagantes. Affiche ce que je crois à travers de vêtements où le mélange des genres, des styles et des époques, est un moyen de dire ce que porte mon cœur. Expression de mon rêve d'unité, de réconciliation entre générations, de mariage espéré entre toutes nations, entre tous les folklores et toutes les cultures. Où je me plais dans le jeu d'harmonie des couleurs, dans l'association amoureuse du noir avec le blanc. Sans les fusionner parce que le gris souris me semble trop porter de tristesse et d'ennui.

Aimer, c'est être, c'est notre vraie nature




Cette photo, illustre bien  le fait que la nature nous enseigne l’essentiel. L'importance d'être uni,. D'être ensembles.
 Je suis inscrite sur le site Epanews qui est tourné vers le bien-être et l'échange.
Le fait que j’ai enfin le désir de me tourner vers « l’autre » est le résultat du "travail" quotidien d’acceptation de soi. Qui n'est autre que le fait d'être attentif à ces pensées afin de déceler ce qui n'est pas en accord avec le verbe aimer.
L’EFT est un moyen qui amplifie ce souhait par l’inscription dans la chair. 
Cette ronde de tapotements qui peut sembler bizarre et peu crédible, je la vois et la vis comme un moyen d’imprimer sur le plan physique, par le toucher, le désir du cœur et de l’esprit. Naturellement, il faut le faire avec ses tripes, pour que le corps émotionnel soit aussi de la fête. 
En tout cas, je me félicite d’avoir enfin répondu aux appels de mon âme au travers de beaucoup de personnes qui me montraient cette voie.
Malgré que le ciel soit gris, mon soleil intérieur rayonne sur tout ce que je suis et le bien-être s’installe un peu plus, de jour en jour, par la douce magie de l'amour.

dimanche 17 février 2013

Masculin / Féminin, regarde les fleurs




Toute la matinée, j’ai cherché des infos au sujet du masculin et du féminin, me disant que pour que ces énergies s’unissent en moi, il fallait que je les connaisse, que je les reconnaisse. Je suis allée sur le forum du site Epanews où j’ai trouvé une discussion qui traitait le sujet. J’ai passé plus de deux heures devant l’écran à lire, à copier coller des textes qui me semblaient intéressant. 
J’ai fini par trouver tout ça bien compliqué, trop intellectuel et se référant trop au passé. Puis, en voyant mon chat qui faisait sa toilette avec grâce, je me suis finalement dit que l’observation de la nature tout comme le contact avec mon âme, pouvait m’enseigner les choses d’une façon plus vivante et plus ludique. 

samedi 16 février 2013

Libérer puis lâcher, amène une douce paix




Je suis toujours à réfléchir à la notion de liberté et je me dis que c’est un concept impalpable, absolu. Le seul moyen de le savoir ce qu'elle est, c’est de le ressentir par contraste. Comme tout concept abstrait. 
L’amour n’y échappe pas. Si on veut savoir ce que c’est, il faut le ressentir et encore on ne sait jamais très bien si c'est de l'émotion ou un sentiment profond. 
On a vite fait de faire l'amalgame. 
L'amour divin, il me semble, qu'il naît dans le cœur mais qu'il se diffuse aussi en chaque corps. 
Il nous a fallu vivre des situations diverses et variées pour pouvoir le définir, par contraste, comparaison. 
Ce qui m’amène au sens même de l’incarnation et à l'intérêt de l'expérience de la dualité.

Qu'est-ce que la liberté? Y-a-t-il seulement une réponse? Vidéo "L'après vie existe" du Dr Charbonier




Cette question revient régulièrement et avec force.
Quand j’ai décidé de consommer des produits dérivés d’opium, c’était pour répondre à la sensation d’être prisonnière de mon corps physique. 
Esclave de cette enveloppe qu’il fallait entretenir, nourrir. Et puis pour nourrir ce corps, il fallait travailler, ne plus être libre, en chier pour mériter le droit d’exister. Tout ça pour faire vivre cette chair où je me sentais étrangère, qui ne représentait pas du tout ce qui vivait, en moi.
Pour se tenir debout, il fallait être à genou, plier devant des règles établies par les peurs, celle de mourir, de disparaître qui pousse à tout faire pour être reconnu. 
Alors la grande faucheuse, je l’ai appelée mais elle m’a refusé la délivrance suprême.