Cette
photo, illustre bien le fait que la nature nous enseigne l’essentiel. L'importance d'être uni,. D'être ensembles.
Je suis inscrite sur le site Epanews qui est tourné vers le bien-être et l'échange.
Je suis inscrite sur le site Epanews qui est tourné vers le bien-être et l'échange.
Le fait
que j’ai enfin le désir de me tourner vers « l’autre » est le
résultat du "travail" quotidien d’acceptation de soi. Qui n'est autre que le fait d'être attentif à ces pensées afin de déceler ce qui n'est pas en accord avec le verbe aimer.
L’EFT est un moyen
qui amplifie ce souhait par l’inscription dans la chair.
Cette ronde de
tapotements qui peut sembler bizarre et peu crédible, je la vois et la vis
comme un moyen d’imprimer sur le plan physique, par le toucher, le désir du cœur
et de l’esprit. Naturellement, il faut le faire avec ses tripes, pour que le
corps émotionnel soit aussi de la fête.
En tout cas, je me félicite d’avoir
enfin répondu aux appels de mon âme au travers de beaucoup de personnes qui me
montraient cette voie.
Malgré
que le ciel soit gris, mon soleil intérieur rayonne sur tout ce que je suis et
le bien-être s’installe un peu plus, de jour en jour, par la douce magie de l'amour.
Mon regard sur moi-même
devient amoureux et même si j’ai toujours l’impression que mon image ne reflète
pas mon être intérieur, la lumière commence à se voir.
C’est le regard et le comportement des autres vis-à-vis de
moi, qui me montre à quel point j’ai changé !
Il faut
dire que j’ai toujours facilité et simplifié le contact avec l’extérieur en étant
authentique. Il y avait de la sincérité dans le propos mais parfois, ça
heurtait.
Il manquait la tendresse, la douceur.
A mesure que je guéris la femme
qui en moi, l’essence de l’énergie féminine s’exprime plus librement, pour ma plus
grande joie.
Il a fallu que j’attende d’avoir 47 ans, pour arriver à dire de
façon neutre, je suis une femme !
Idem
pour l’enfant intérieur que je guéris aussi et qui me fait être encore plus
spontanée. J’arrive à m’émerveiller de choses considérées comme futiles pour la
majorité.
Je me dis que la complétude de l’être, l’union amoureuse du masculin
et du féminin c’est la naissance de l’enfant intérieur androgyne.
Un
enfant exprime tout autant le masculin qui est en lui, que le féminin.
Il ne
retient rien, il laisse tout en lui s’exprimer. Et quand on le réprimande parce
qu’il exprime toutes ces émotions, ça n’est que notre propre difficulté à oser être
authentique qui est bousculée.
Pourquoi
se museler, pourquoi se limiter et pourquoi s’interdire d’oser être soi-même ?
Par peur d’être montré du doigt, par peur du ridicule, du rejet ? Mais c’est
peurs ne sont là que pour nous inviter à nous aimer entièrement.
Au nom
de quoi faudrait-il se conformer en ayant tous le même comportement, en
rejetant des parties de soi-même parce qu’elles sont jugées impures.
Et encore,
tout dépend de la culture, de l’éducation.
Le rot, qui fait rougir, que l’on
trouve vulgaire, dans certains pays, l’Algérie, la Norvège, il est l’expression
de la satisfaction, un signe de respect pour l’hôte qui a préparé le diner.
Je n’ai jamais
compris pourquoi une fois adulte, on nous reprochait cette expression
corporelle, que pourtant notre mère, attendait avec angoisse quand nous étions
bébé. C’est une chose naturelle qui a sa raison d’être. Une chose qui équilibre
le fonctionnement du corps humain.
Lise Bourbeau l’a répertorié dans les symptômes,
dans son livre, « Ton corps dit : Aime-toi, comme un message de l’âme
au même titre que les autres, dont la cause métaphysique est la suivante :
Causes
émotionnelles
...Le
fait d’avaler de l’air plutôt que de respirer est généralement dû à une peur
subite. Cette peur peut être causée par un évènement soudain ou par une pensée.
Comme les éructations se produisent en général après l’ingestion de liquide ou
de nourriture, il est possible que tu vives une certaine peur face à ta façon
de te nourrir, de t’alimenter, (soit en trop grande quantité, soit trop
rapidement).
Il s’est
peut être passé quelque chose qui a éveillé des peurs en toi durant l’heure du
repas.
Se
peut-il que tu aies de la difficulté à recevoir de belles pensées, des gestes
ou des compliments qui aideraient à nourrir ton estime personnelle et que tu
les rejettes à la place ?
Causes
mentales
Si tu renvoies
ou rejettes ce qui est bon pour toi, il se peut que tu interprètes mal les
intentions des autres, ce qui te cause des peurs soudaines.
Il est
donc fort possible que tu crois ne pas mériter plus d’estime de toi-même alors
que c’est ce dont tu as vraiment besoin. Tu dois en plus avoir de la difficulté
à te faire des compliments, à voir les bons et les beaux aspects de toi.
Ces
éructations sont là pour t’aider à accepter ce que tu es, à te sentir à l’aise
de recevoir des compliments même si tu n’es pas d’accord. Permets-toi d’accepter
ce que les autres t’offrent, en voyant d’avantage ce qu’ils apprécient de toi.
Besoin
et message spirituel
Ton
grand besoin est de t’aimer, d’accepter les peurs du moment...
Je ne
note pas la suite puisque l’essentiel de ce qui est dit, tiens en cette phrase.
La notion de pardon à soi-même et aux autres est aussi évoquée.
Il est
vrai que j’aie encore du mal à ne pas voir derrière un compliment, quelque
chose de douteux. Peur d’être manipulée, fausse modestie ?
Personnellement,
cet acte est si naturel que je ne le retiens pas. Je n’en rajoute pas non plus.
Ce n’est pas « sexy » mais je ne suis pas ici pour séduire mais pour être
tout ce que je suis. Je sais qu’en continuant de m’aimer et de m’accepter, mon
corps n’aura plus à me le crier au et fort.
Pour ce qui est de la fausse modestie, ça me
renvoie à la façon que j’ai de considérer l’ego. Ma vision reste encore
fortement influencée par l’idée qu’un être spirituel se doit d’être aimant, d’être
altruiste, de faire passer les autres avant lui-même. Et qu’être égoïste, que s’occuper
de soi avant de s’occuper des autres, ça n’est pas bien, ça n’est pas
charitable...
Je pense
au contraire qu’il vaut mieux s’occuper de soi que des autres.
Chacun choisi sa
route et nous ne sommes le "sauveur" que de nous-mêmes.
D’autant plus que de
vouloir interférer dans la vie d’autrui, c’est lui voler sa propre souveraineté,
son pouvoir, sa responsabilité et le maintenir dans le rôle de victime.
C’est
aussi une façon de ne pas regarder ses propres souffrances que de focaliser sur
celles des autres, c’est une fuite de sa propre réalité.
100% responsables de
ce que nous vivons il n’appartient qu’à nous-mêmes de nous prendre en charge. Ce
qui nous libère de la pression du regard extérieur.
L’ego
est cette part de nous-mêmes, qui nous donne l’individualité. Celle-ci ne nous
éloigne pas des autres car quand il s’associe avec le cœur, il devient un précieux
allié nous permettant d’exprimer le "Je suis", d’exister en être autonome apte à
échanger et aimer tout le monde sans distinctions et sans vampiriser.
Bien
souvent, il est considéré comme un ennemi, une part de soi à dompter ou même à
effacer.
Alors qu’il suffit de l’aimer, de le reconnaître à sa juste valeur
pour qu’il soit capable de s’aligner à la fréquence du cœur.
Puisque
je considère que la solution c’est l’union amoureuse de tout ce que je suis, le
rejeter serait perdre le "Je" et n’être plus qu’un "suis", un mouton qui se conforme
à la norme.
La
voie du juste milieu n’est pas la négation mais le juste équilibre intérieur
qui naît de l’acceptation de tout ce qui est.
Voici
une vidéo diffusée sur le site Epanews, que j’ai trouvée dans ma boîte, ce
matin.
Vidéo de
Chris Montclar. Elle illustre bien mes propos et les images sont un plaisir pour l’œil.
Les fleurs si belles et généreuses, si variées dans leurs formes, leurs couleurs qui offrent à tous sans exception, leur beauté, leur parfum sans aucune conditions.