jeudi 4 septembre 2014

« Pourquoi les gens ne guérissent pas ? » de Maria de los Ángeles Rodeiro & « Visions »






Un médecin intuitif partage avec nous sa vision unique de la raison pour laquelle les gens ne guérissent pas. Il a longtemps pensé que tout le monde voulait être guéri. Mais il a fini par se rendre compte que « la guérison était très désagréable ! »
Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passé, de cesser d’être une victime, et la peur du changement. Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.
La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures. Ce médecin dit que la seule raison de nourrir et de garder le passé vivant, c’est l’amertume de ce qui s’est passé.
Refuser de pardonner à un évènement ou à une personne du passé, produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites. Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres pour les blessures qu’ils ont causées.
Il a plus à voir avec la liberté de la personne qui se perçoit comme une victime.
Quand nous arrivons à voir un évènement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet évènement reflue vers les circuits énergétiques de notre corps physique.


Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime. 
Trop souvent, les gens obtiennent du pouvoir sur les autres grâce à leurs blessures parce qu’ils ont trouvé que ça leur apportait du soutien. Les blessures deviennent alors un moyen de manipuler et de contrôler les autres.
La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations. Le changement peut être effrayant !!!
Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai. En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence…

Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.

La guérison nécessite une action. Manger, l’exercice quotidien, prendre le bon médicament produisent des changements sains dans le physique.
Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps.
Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’énergie sont intimement liées.
Même le processus de la mort auquel nous sommes tous confrontés, peut devenir un acte de guérison des vieilles blessures qui se libèrent en résolvant les questions laissées en suspens avec ses proches. 
Texte de Maria de los Ángeles Rodeiro, trouvé sur la page Facebook de:




C’est vrai qu’on redoute d’aller vers ce qui nous est inconnu. Une des barrières dans mon processus de guérison n’est pas le fait de garder de la rancœur vis-à-vis du passé mais de continuer de « jouer le jeu » de la victime ou malade, par l’ingestion de médicaments.

Maintenant qu’est-ce qui m’empêche de faire le pas, de tout mettre à la poubelle ? Simplement la peur du changement, la peur de ne plus savoir gérer le quotidien, celle de me sentir vulnérable…ça fait beaucoup et en les libérant une à une, avec patience, le poids sera moins lourd et le courage trouvera sa place.
Enfin, là j’anticipe parce que je ne peux pas « voir » la façon dont se dérouleront les choses puisque ce problème est une impasse pour mon mental. 
Je sais que la contrainte, la peur de la maladie, l’obligation, l’envie de plaire…tout ça ne marche pas, au contraire, ça amplifie le besoin.

La confiance en soi, en la vie, est indispensable. En attendant, je m’en vais accueillir, une fois de plus…, la tristesse, le doute de soi, l’ennui, la lassitude…ça en fait du monde !
En me relisant, je me dis que c’est peut-être avant tout, toutes ces croyances qui s’opposent, qui pose un problème.

D’un côté, je me dis que sans ce produit, je serais enfin moi-même, je ressentirai plus facilement les énergies, les émotions,  les sensations physiques subtiles, la reliance au tout. Je me sentirais victorieuse, libre, entière, intègre et plus vraie. Je verrais mon corps physique s’améliorer, les bobos tenaces s’en aller. Je serais plus crédible et légitime pour proposer une aide.
De l’autre, j’ai peur d’oser, de me planter, de l’ennui, de mes émotions, qu’elles soient ingérables, du manque, d’être malade, vulnérable, de me faire avoir facilement, de plus être sensible à l’esprit à cause du mal-être, d’être parano, de déprimer, de mal gérer ma libido. D’être incapable de gérer le quotidien. De me sentir le besoin d’aller vers les autres, de devenir dépendante affectivement, de manquer de discernement, de culot et d’audace.

La logique de ma foi voudrait que j’accueille ses peurs une par une ou même toutes en vrac! Je vais commencer par poser mes mains sur ma nuque pour retirer le truc qui me dérange régulièrement et en ce moment même. 






Oh, quelle belle idée ! Je viens de faire connaissance d’une Caroline, non, pas celle dont j’ai publié des articles ce matin, mais une femme que j’ai incarnée au temps des robes à crinoline. A mesure qu’on « conversait », j’ai appris qu’elle confectionnait des robes et vivait en célibataire indépendante, libre et autonome.
A un moment, comme je me demandais si c’était mon mental qui imaginait une histoire, Quelques indices m’en ont dissuadée. 

Déjà, la façon dont la scène se déroule, les pensées bien qu’elles soient logiques et qu’elles se suivent en formant une histoire, les phrases viennent sans que j’ai le temps d’y réfléchir. Non seulement je n’ai pas le temps d’inventer mais en plus, je n’ai aucune référence avec ce qui est dit - à part le prénom - rien qui pourrait influencer la scène, aucune ressemblance avec un film que j’ai vu, ni un roman puisque je n’en lis jamais. 
J’ai su son prénom à la toute fin parce que je lui ai demandé de me servir de guide pour arriver à être indépendante, à réaliser mes rêves, à les concrétiser et vivre le même genre d’histoire d’amour qu’elle, enfin que nous avons vécu. 
J’ai vu quelques scènes où un homme la regardait de loin avec un regard très épris, passionné et malgré tout discret. Un peu fasciné pour le côté indépendant de Caroline puisque lui était un fils de famille très riche qui ne travaillait pas. Il se contentait d’être, d’écrire des poèmes et son style très romantique allait avec son discours chantant sans pour autant être mièvre. 
Je l’ai vu très âgée quand j’ai demandé comment sa vie s’était terminée. Elle était assise sur un fauteuil capitonné très volumineux d’où elle regardait le défilé de sa dernière collection. Je ne l’ai pas vu mourir mais j’ai su qu’elle avait quitté ce monde à ce moment là, avec le sourire aux lèvres et la satisfaction d’avoir vécu la vie de ses rêves. 
Je l’ai remerciée de cette visite par une étreinte et j’ai demandé à mon âme de « rapatrier toutes ses énergies ».

Avant tout cela, j’ai posé la main gauche sur ma nuque, pour retirer un truc comme un genre d’implant que j’ai vu monter dans l’air et se pulvériser en paillettes dorées. J’ai ensuite posé ma main droite au même endroit, pour remplir l’espace libéré de lumière christique dorée, de pur amour divin. C’est chiant les mots parce que ça casse tout ! 

De la visualisation pendant les soins à la visite de Caroline, l’ambiance était très calme et très spéciale. Il faut dire que j’ai commencé par respirer profondément. D’ailleurs pendant que j’avais la main gauche posée sur ma nuque, j’inspirais de l’amour et de la lumière d’en haut et j’expirais la douleur qui se changeait aussi en lumière dorée. 
Puis j’ai mis la main sur mon cœur pour calmer quelques accélérations et panser les blessures que je sentais physiquement, comme des déchirures.






Évidemment ce qui me conforte aussi dans la véracité de ces visions, ce sont les sensations qui les accompagnent. La paix puis toujours le sourire, la banane du début à la fin et d’ailleurs encore maintenant ! Chaque fois que je vis ce genre de scène très vivante, j’ai toujours un franc sourire.
La sensation d’une forme d’intimité très particulière m’habitait tout au long de la rencontre ce qui me donnait un sentiment profond de gratitude. 
Puis cette femme était d’une douceur, d’une féminité, d’une grâce qui n’a rien à voir avec de la prétention ou encore un caractère gnangnan, ou prude, au contraire elle était très en avance sur son époque et son audace n’était pas agressive du tout, ni séductrice. Quelqu’un d’intègre et épanouit, exactement ce que je cherche ! 

J’ai été étonnée qu’elle ne soit pas mariée avec son amoureux mais apparemment, c’est une question de noblesse qui ne se mélange pas aux roturiers. Avant même que je ne dise que son amoureux ne devait pas l’être autant, elle m’a dit que ça lui convenait tout à fait que cette liaison soit « secrète » enfin que leur amour ne soit pas étalé au grand jour, officialisé. De cette façon ils n’en goûtaient que mieux leurs rencontres et préservaient leur indépendance, leur liberté d’être. 
Elle m’a expliqué que sa passion, la créativité, puisqu’elle dessinait des modèles de robes et disposait de quelques couturières pour les confectionner, passait en premier. Elle était active mais savait déléguer et ainsi disposer de suffisamment de temps libre pour être en paix et aimer !

Je ne vais pas tout vous raconter parce que c’est trop personnel mais si je vous parle de ça, c’est pour que vous osiez faire confiance à vos visions, vos élans, vos intuitions. 
La scène se passe comme si on y était et c’est très réel. C’est comme si je la rencontrais dans son monde, parfois on dialogue et parfois je suis spectatrice de sa vie, je vois des scènes courtes. 
J’ai pu savoir le genre d’amour que lui portait cet homme dont je n’ai même pas demandé le nom, rien qu’en voyant le regard qu’il posait sur elle, pendant le défilé auquel il assistait aussi mais en esprit puisqu’apparemment il est décédé avant elle mais la force de leur amour sincère leur a permis de continuer de se voir au-delà du voile.
Ce qui me pousse à croire que c’est une de mes incarnations passées, c’est que cette Caroline avait mon regard. Pas la même couleur d’yeux mais le même regard. 
En fait ce sont plusieurs petits trucs qui s’associent et confirme la réalité de l’expérience.

Je dois aussi préciser que j’ai accueilli et libéré la tristesse, le doute, le manque, bref une bonne partie de ce que j’ai énuméré plus haut. Il n’y a pas de hasard, quand on allège, quand on libère, ça laisse la place pour de nouvelles infos, une nouvelle énergie arrive et s’installe. J'ai eu la même sensation de douleur au cœur que cet été. J'ai l'impression que ça correspond à un genre d'ouverture de cœur par un afflux puissant d'énergie. 


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci