Salutations à vous, chers enfants de la Terre,
Il nous fait plaisir de nous présenter à vos côtés en ce jour et de venir vous offrir un nouveau volet de nos enseignements qui, nous le souhaitons, vous permettent de mieux comprendre votre réalité quotidienne. Vous l’aurez compris, nos éclairages n’ont pas pour but de vous déraciner, mais au contraire, de vous aider à devenir sur Terre les dieux universels que vous êtes en réalité. Enraciner l’Univers d’amour sur votre magnifique planète bleue, voilà le but suprême de votre incarnation, et la raison de notre accompagnement.
Plus vous évoluez et plus vous captez la dimension physique dans une perspective spirituelle plus large. Notre intervention n’est plus reçue comme une incitation à considérer votre réalité comme étant secondaire, mais au contraire, elle vous stimule à y puiser tout son potentiel. Cela est magnifique à observer. Car vous l’aurez compris, tant et aussi longtemps que l’incarnation vous emprisonne, vous êtes appelé à vous réincarner.
Déjà, en lisant ces mots, certains d’entre vous se sentent alourdis. Observez, ne jugez pas. Certains interprètent dans nos mots une invitation à élever la vision afin de vous éloigner enfin de la Terre, comme si celle-ci était à éviter. Mais ce que nous nommons l’emprisonnement est un état d’être, et non un lieu physique. Donc, « sortir de la prison » ne veut pas dire « quitter la Terre » pour se rendre dans un lieu précis. C’est un changement d’état qui permet une conscience élargie.
Il nous fait plaisir de nous présenter à vos côtés en ce jour et de venir vous offrir un nouveau volet de nos enseignements qui, nous le souhaitons, vous permettent de mieux comprendre votre réalité quotidienne. Vous l’aurez compris, nos éclairages n’ont pas pour but de vous déraciner, mais au contraire, de vous aider à devenir sur Terre les dieux universels que vous êtes en réalité. Enraciner l’Univers d’amour sur votre magnifique planète bleue, voilà le but suprême de votre incarnation, et la raison de notre accompagnement.
Plus vous évoluez et plus vous captez la dimension physique dans une perspective spirituelle plus large. Notre intervention n’est plus reçue comme une incitation à considérer votre réalité comme étant secondaire, mais au contraire, elle vous stimule à y puiser tout son potentiel. Cela est magnifique à observer. Car vous l’aurez compris, tant et aussi longtemps que l’incarnation vous emprisonne, vous êtes appelé à vous réincarner.
Déjà, en lisant ces mots, certains d’entre vous se sentent alourdis. Observez, ne jugez pas. Certains interprètent dans nos mots une invitation à élever la vision afin de vous éloigner enfin de la Terre, comme si celle-ci était à éviter. Mais ce que nous nommons l’emprisonnement est un état d’être, et non un lieu physique. Donc, « sortir de la prison » ne veut pas dire « quitter la Terre » pour se rendre dans un lieu précis. C’est un changement d’état qui permet une conscience élargie.
L’état de maîtrise
En atteignant cet état de conscience, parcours naturel de maîtrise dans l’incarnation, vous pouvez être à la fois sur Terre dans un corps physique, et vous projeter dans d’autres lieux concrets de votre planète (processus aussi nommé la bilocation). Ou encore, vous pouvez vivre d’autres dimensions et plans de conscience en parallèle, tout en étant très présent à votre vie incarnée. Vous n’avez pas besoin « d’éteindre » une réalité pour en « allumer » une autre, car tout se vit simultanément. À partir de cet état d’esprit, le corps physique et la réalité incarnée deviennent une véritable oasis de paix où il fait bon s’y retrouver. Les Maîtres ne fuient pas l’incarnation, ils y sont si enracinés qu’ils expérimentent la multiple présence à tout moment. Voilà une particularité fondamentale.
Maintenant, si nous vous transmettons ceci, ce n’est certes pas pour stimuler en vous des comparaisons, mais pour réveiller ce potentiel. Nous vous avons déjà mentionné que l’état d’oubli de qui vous êtes n’est pas une punition cosmique, mais bien une expérience que vous avez tous choisi de vivre. Votre but était de découvrir l’amour et l’union dans la dualité, c'est-à-dire en faisant cohabiter ces états avec le non-amour et la non-union, ou la séparation. Cette expérience avait pour but de vous faire comprendre cette énergie d’amour qui sert de base créatrice à tout cet Univers. Collectivement, vous avez voulu faire grandir l’Univers en lui permettant de mieux se découvrir. Et comme tout est uni, c’est dans cet état d’être que vous avez partagé votre expérience avec les autres, pour que tout l’Univers puisse grandir en conscience et en sagesse.
L’expérience jugée
Nous vous avons aussi mentionné qu’en cours de route, lorsque vous avez réalisé l’ampleur de la tâche et la sensation d’inconfort dans laquelle vous étiez « coincé », vous avez débuté un processus inconscient de jugement de votre expérience. Oubliant que vous aviez choisi d’être sur Terre, vous avez entrepris un mouvement d’auto-sabotage, convaincu que si vous étiez là, c’était dû à une forme de dette cosmique que vous aviez contractée. Et vous voilà maintenant à vous racheter inconsciemment de ce « péché originel » oublié. Cela vous rappelle quelque chose ?
Tout ceci a engendré une honte de votre lumière, ce qui a considérablement compliqué votre processus de retour à la conscience élargie. Et nous voilà maintenant à vous parler d’amour inconditionnel, sachant que seul celui-ci vous permet de « revenir à la maison », dans cet espace sacré du cœur en vous, résidence permanente du véritable Je Suis de votre Être profond.
L’intégration
À la lumière de cet éclairage partagé, comment intégrer davantage de vous-même dans le corps physique, afin de devenir ce Je Suis véritable ? D’abord, en étant conscient de cette sensation implicite de honte ressentie dans l’expérience terrestre, vous pourrez mieux vous comprendre et vous accueillir si vous vivez ces états inconscients. Nous vous avons déjà partagé ceci. Mais ce qui est nouvellement observé ici, c’est qu’à plusieurs reprises, nous vous avons suggéré d’apporter l’amour et la lumière à vos ombres pour les voir se modifier, et nous avons remarqué l’impasse dans laquelle certains d’entre vous demeuraient tout de même coincés.
Vous savez intuitivement que seul l’amour peut véritablement guérir. « "Amour et conscience" » est la clé de toute transformation lumineuse. Mais malgré que vous sachiez cela, certains expérimentent encore des impasses dans lesquelles il leur est difficile de se sortir. Au lieu de s’alléger, les ombres semblent plutôt s’amplifier. Que se passe-t-il précisément ?
Une forme d’urgence
En observant vos expériences, nous avons expliqué à notre partenaire une nuance fondamentale dans la création qui échappe à plusieurs humains. Car lorsque nous parlons d’amour, nous parlons d’un amour inconditionnel. Et lorsque nous vous observons éclairer vos ombres, la plupart du temps, nous observons des approches orientées vers une forme d’urgence, avec un jugement sous-entendu. Suivez-nous bien ici, car cet enseignement est subtil. Mais vous verrez qu’il est aussi très concret et vous saurez le comprendre.
Prenons un Être qui vit un inconfort relié par exemple à une relation houleuse. Sur la voie de la conscience, on lui aura appris à s’observer à travers le miroir de l’autre Être. Il se dira alors que ce qu’il juge chez l’autre est un aspect de lui qu’il n’a pas encore pacifié, soit dans cette vie ou dans une vie parallèle. Il aura appris à éclairer son malaise avec l’intention de l’alléger, et ce justement afin de « créer de l’espace » en lui pour mieux accueillir son divin. Jusque-là, tout va bien. Et pourtant, certains malaises semblent persister, n’est-il point ? Quel se passe-t-il précisément ? Voilà ce que nous souhaitons partager avec vous.
Une intention légitime
Lorsque les humains choisissent de diriger l’amour envers eux pour se guérir, plusieurs le font avec une intention que la situation se modifie, et ce le plus rapidement possible. Dans les faits, ceci est légitime et nous le comprenons. Mais au niveau du corps émotionnel et de l’enfant intérieur, sources de la plupart de vos souffrances dans l’incarnation, la réalité est toute autre.
Observez le paradoxe ici. Beaucoup d’Êtres sur la voie de la conscience choisissent d’accueillir inconditionnellement les aspects d’eux plus ombrageux, mais ils le font en se disant « voilà, je vais aimer cette ombre en moi pour qu’enfin, elle devienne lumière ». Si nous voulons être encore plus clairs dans notre exemple, nous ajouterions « pour qu’enfin, elle devienne lumière et que j’en sois définitivement débarrassé ». Voyez-vous le paradoxe ?
Lorsqu’un Être entreprend la guérison à partir de la perspective du jugement de ce qui est présent (ou pour s’en débarrasser, ce qui est équivalent), l’énergie d’amour n’est alors plus inconditionnelle. Invariablement, la situation ou l’état qu’il cherche à transmuter sera maintenu en place, parce que même s’il y a présence d’amour et de lumière, celles-ci proviendront d’un espace distorsionné conditionnel. Et comme vous savez, seul l’amour inconditionnel a le pouvoir de guérir, puisque c’est la véritable substance universelle.
Nous comprenons qu’il y ait un inconfort relié aux ombres ressenties. Mais lorsque vous observez une situation ou un état qui vous assaille, avant de vouloir le transformer, il faut d’abord l’accueillir sans condition.
Expression de l’individualité
Observez la situation avec vos adolescents (et souvenez-vous quand vous aviez leur âge). Certains d’entre eux ont des envies très nettes d’être différents et surtout, d’être reconnus dans leur différence. Ils vont alors se marginaliser par rapport aux parents et vont souvent provoquer les adultes autour d’eux pour s’affirmer. Ils exprimeront ainsi leur individualité en partageant leur désaccord.
Si vous résistez à ceci et tentez de les forcer à changer, vous savez fort bien que la situation va empirer. Car à travers cette expression de la différence, les adolescents de votre monde recherchent à exprimer leur individualité, leur état d’être individuel. C’est leur façon à eux d’affirmer qu’ils sont uniques et divins.
Et dès que les adultes acceptent les expressions uniques des adolescents, ceux-ci ont alors moins besoin de les afficher, et peu à peu, ils se rapprochent de leur expression plus juste. La marginalité est rarement un état d’être profond, car elle éloigne les Êtres de la sensation d’union, alors que fondamentalement, tous les Êtres cherchent à se réunir. Mais si la marginalité est jugée et opposée, elle va alors s’amplifier, justement parce qu’elle n’est pas acceptée. Et si vous l’acceptez dans le but que l’Être change, vous comprenez alors que fondamentalement, la transformation sera limitée, parce que les jugements seront maintenus.
La reconnaissance
Plusieurs parents n’en sont pas conscients, mais ils contribuent parfois à la rébellion des adolescents, en ne les reconnaissant pas d’abord inconditionnellement. Nous savons que ce sujet est sensible et nous ne mentionnons pas ceci pour culpabiliser les parents. Chaque parcours individuel est unique et chacun a ses mémoires et charges karmiques qu’il est venu libérer sur Terre. Mais nous dirions que de façon générale, plus l’amour inconditionnel sera au rendez-vous, et moins les résistances seront grandes.
Cet exemple vous montre l’amour inconditionnel, dans un modèle que vous pouvez tous comprendre. Imaginez maintenant qu’un petit enfant se présente à votre porte avec des lambeaux de tissus comme seuls vêtements. L’enfant a faim, soif et est visiblement dans des conditions d’hygiène discutables. Vous voilà à ouvrir la porte et à mentionner à cet enfant qu’il est invité à entrer dans la demeure, mais seulement lorsqu’il aura mangé, bu, qu’il se sera lavé et qu’il aura changé ses vêtements. Croyez-vous maintenant que cet Être sera touché par l’amour et l’accueil ressentis ?
Vous savez fort bien ici que dans ce contexte, l’amour serait conditionnel. Et c’est pourtant ainsi que beaucoup d’entre vous abordent leurs propres ombres. Soit vous les accueillez avec l’intention évidente qu’elles disparaissent ensuite rapidement, ou soit vous leur fermez la porte avant même qu’elles n’aient le temps de se présenter, parce qu’elles sont inconfortables.
Les limites
Cette description ne s’applique pas en totalité à toutes les situations de vos vies, car chacun réagit différemment face aux défis qu’il rencontre. Mais de façon générale, si vous observez votre rapport avec l’ombre, vous vous reconnaîtrez à des degrés divers dans cette description. Et plus l’ombre est inconfortable, plus cette approche conditionnelle semble s’appliquer.
Cette façon d’agir crée chez vous des impasses desquelles il vous est difficile de vous sortir, car l’amour que vous vous offrez, que vous croyez inconditionnel, ne l’est pas véritablement. Même si vous éclairez vos situations ou vos ombres en leur mentionnant que vous les aimez, si vous le faites dans le but spécifique que le tout se modifie le plus tôt possible afin d’être enfin plus léger, vous posez aussitôt des limites.
Le pouvoir de changer la situation
Pour cet enfant venu cogner à votre porte, vous avez le pouvoir de changer sa situation en lui permettant d’entrer dès maintenant. Et s’il entre, vous ne le forcerez pas à se laver et à changer ses vêtements avant même qu’il ne se soit calmé et senti en confiance. Vous respecterez son temps d’adaptation, tout en sachant que vous avez les solutions à sa problématique actuelle. Vous avez la nourriture, mais vous lui laissez le soin de l’ingérer à son rythme. Vous n’allez pas le gaver de force, n’est-ce pas. Et pourtant, vous agissez ainsi envers vous. Car sans vous en rendre compte, vous exercez une forme de pression sur vos ombres pour qu’elles se transmutent rapidement, ce qui vous ramène à ce paradoxe fondamental.
Pour qu’une situation se modifie, peu importe ce qu’elle est, qu’elle soit intérieure ou extérieure en apparence, la première étape de l’amour est l’accueil inconditionnel de ce qui est. Si cette étape n’est pas franchie, l’amour sera limité, car il sera dépourvu de sa puissance transformatrice. Il sera présent et vous le sentirez, mais vous observerez ses limites et la situation semblera perdurer. Et alors, vous vous direz que vous avez « mal aimé » et aimerez encore plus fort, ce qui ne permettra pas la résolution complète. Pour guérir, l’amour doit véritablement être inconditionnel. Il n’a pas besoin d’être forcé, il est, voilà tout.
Vous aurez donc compris qu’avant d’entreprendre le processus de guérison d’une situation, peu importe ce qu’elle est, il est fondamental que ceci soit précédé d’un accueil inconditionnel. Vous ne pouvez leurrer l’Univers dans votre approche avec la guérison. Si l’amour est conditionnel, la guérison le sera également.
Un accueil inconditionnel
Si vous êtes limité sur Terre, c’est parce qu’il y a des parcelles de vous qui ne sont pas encore intégrées dans le corps physique. Ce n’est donc pas votre potentiel qui est à remettre en question, mais l’intégration de ce potentiel dans la matière. C’est la quantité de vous-même que vous avez laissé entrer dans le corps physique qui fera la différence. Quant à savoir comment entrer davantage de soi dans le corps, vous avez maintenant une parcelle additionnelle de la réponse. Plus vous pacifierez vos ombres de façon inconditionnelle, et plus vous ouvrirez l’espace à la lumière en vous.
Comprenez que la Terre n’est pas une prison et n’a jamais été créé ainsi. Elle est un joyau du paradis, véritable bijou universel ensemencé d’une vie abondante et diverse, unique dans l’Univers. Elle n’est pas une planète banale, et c’est d’ailleurs pourquoi elle a attiré autant de convoitises au cours des derniers millénaires.
Pourtant, la Terre est devenue une prison pour une majorité d’humains, dus à leur incapacité à voir au-delà de la dualité. Ils n’arrivent pas à pacifier leurs ombres qui les assaillent de toute part, car ils s’opposent à ces aspects d’eux-mêmes qui viennent les hanter extérieurement. Ils ne comprennent pas qu’ils créent tout ce qui se présente dans leur vie, consciemment ou inconsciemment. Et plus un humain veut quitter le plan terrestre parce qu’il y souffre, plus son énergie le maintient sur Terre, prisonnier de la densité. Voilà un autre grand paradoxe, ne trouvez-vous pas ?
Les portes de l’Univers s’ouvrent
Nous vous disons que lorsqu’un humain transmute en lumière ses ombres, cause de ses souffrances, il retrouve le goût de vivre sur Terre, bien présent à sa réalité. Et pourtant, c’est à ce moment que les mondes parallèles se présentent. Au moment où il se sent heureux d’être incarné, les portes de l’Univers s’ouvrent vraiment à lui.
Les humains que vous êtes se préparent maintenant à revêtir leur manteau d’enseignant, d’accompagnant, de guérisseur du cœur, de guérisseur de l’Âme, de scientifique universel, etc... Toutes ces fonctions pour lesquelles vous vous êtes préparé depuis si longtemps maintenant et qui appellent en vous un certain dépassement.
Un aspect de vos psychés continue de croire qu’il n’est pas encore prêt à assumer ces rôles clés, mais cela n’a que peu d’importance dans le grand plan de votre humanité. De notre côté du voile, il est merveilleux de vous observer venir étudier et vous préparer durant vos périodes de sommeil. Nous vous observons ensuite retourner sur Terre, pour douter de nouveau de votre potentiel durant votre période de veille. Ce qui est intéressant c’est que dans ces moments nocturnes où vous raffinez vos énergies, jamais vous ne nous parlez de vos doutes et des sensations d’inaptitudes ressenties, parce que vous ne les expérimentez pas. C’est uniquement sur Terre, lorsque vous retournez dans la densité de votre planète, que vos doutes reprennent leur place.
Les doutes
Ne vous jugez pas ici, car les doutes font partie de l’expérience d’oubli que vous êtes venus effectuer sur Terre. Sans eux, vous n’auriez jamais pu expérimenter la dualité. Il n’y a donc pas de honte à douter, au contraire. Seulement, lorsque vos doutes occupent toute la place au point de vous paralyser dans votre déploiement, accueillez inconditionnellement ces états d’être, mais conservez le mouvement.
Le doute en soi n’est pas l’obstacle. C’est l’inaction qu’il entraîne qui vous paralyse. Si vous demeurez dans le mouvement et posez des gestes concrets, vos doutes se dissiperont, ou du moins, vous les relativiserez. Inversement, si vous attendez de cesser de douter pour agir, vous risquez d’attendre longtemps. Agissez, et l’Univers suivra. Les grands de votre monde ont compris cette loi depuis un long moment. Pendant que certains sont préoccupés à douter, eux créent les grands chefs-d’œuvre de votre Terre.
Chers amis, notre échange tire à sa fin et nous sommes heureux d’avoir pu de nouveau poursuivre notre partage amoureux, sous la forme de ces enseignements. Vous savez, le temps approche où vous serez invités à retransmettre ce que vous avez intégré à vos frères et sœurs humains, et à ce moment, vous n’aurez plus le temps de réfléchir sur le sens des propos reçus. L’invitation sera alors de vous mettre en mouvement, et non de réfléchir sur vos habiletés à le faire.
Si vous nous le permettez, nous observerons ce que l’intégration de ce message créera en vous. Et si vous nous le demandez, nous collaborerons à en faciliter l’application concrète dans vos vies. Nous aimons côtoyer nos frères et sœurs humains.
Nous vous remercions de votre présence amoureuse en ce jour.
Salutations à vous
Le Collectif Ashtar et la Grande Fraternité Universelle
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Reçu le 18 mars 2010, par Simon Leclerc (www.psychologiedelame.com)
Vous pouvez partager librement ce message à la condition d'en conserver l'intégralité, sans rien modifier ni enlever, y compris sa provenance et ces quelques lignes. Merci
En atteignant cet état de conscience, parcours naturel de maîtrise dans l’incarnation, vous pouvez être à la fois sur Terre dans un corps physique, et vous projeter dans d’autres lieux concrets de votre planète (processus aussi nommé la bilocation). Ou encore, vous pouvez vivre d’autres dimensions et plans de conscience en parallèle, tout en étant très présent à votre vie incarnée. Vous n’avez pas besoin « d’éteindre » une réalité pour en « allumer » une autre, car tout se vit simultanément. À partir de cet état d’esprit, le corps physique et la réalité incarnée deviennent une véritable oasis de paix où il fait bon s’y retrouver. Les Maîtres ne fuient pas l’incarnation, ils y sont si enracinés qu’ils expérimentent la multiple présence à tout moment. Voilà une particularité fondamentale.
Maintenant, si nous vous transmettons ceci, ce n’est certes pas pour stimuler en vous des comparaisons, mais pour réveiller ce potentiel. Nous vous avons déjà mentionné que l’état d’oubli de qui vous êtes n’est pas une punition cosmique, mais bien une expérience que vous avez tous choisi de vivre. Votre but était de découvrir l’amour et l’union dans la dualité, c'est-à-dire en faisant cohabiter ces états avec le non-amour et la non-union, ou la séparation. Cette expérience avait pour but de vous faire comprendre cette énergie d’amour qui sert de base créatrice à tout cet Univers. Collectivement, vous avez voulu faire grandir l’Univers en lui permettant de mieux se découvrir. Et comme tout est uni, c’est dans cet état d’être que vous avez partagé votre expérience avec les autres, pour que tout l’Univers puisse grandir en conscience et en sagesse.
L’expérience jugée
Nous vous avons aussi mentionné qu’en cours de route, lorsque vous avez réalisé l’ampleur de la tâche et la sensation d’inconfort dans laquelle vous étiez « coincé », vous avez débuté un processus inconscient de jugement de votre expérience. Oubliant que vous aviez choisi d’être sur Terre, vous avez entrepris un mouvement d’auto-sabotage, convaincu que si vous étiez là, c’était dû à une forme de dette cosmique que vous aviez contractée. Et vous voilà maintenant à vous racheter inconsciemment de ce « péché originel » oublié. Cela vous rappelle quelque chose ?
Tout ceci a engendré une honte de votre lumière, ce qui a considérablement compliqué votre processus de retour à la conscience élargie. Et nous voilà maintenant à vous parler d’amour inconditionnel, sachant que seul celui-ci vous permet de « revenir à la maison », dans cet espace sacré du cœur en vous, résidence permanente du véritable Je Suis de votre Être profond.
L’intégration
À la lumière de cet éclairage partagé, comment intégrer davantage de vous-même dans le corps physique, afin de devenir ce Je Suis véritable ? D’abord, en étant conscient de cette sensation implicite de honte ressentie dans l’expérience terrestre, vous pourrez mieux vous comprendre et vous accueillir si vous vivez ces états inconscients. Nous vous avons déjà partagé ceci. Mais ce qui est nouvellement observé ici, c’est qu’à plusieurs reprises, nous vous avons suggéré d’apporter l’amour et la lumière à vos ombres pour les voir se modifier, et nous avons remarqué l’impasse dans laquelle certains d’entre vous demeuraient tout de même coincés.
Vous savez intuitivement que seul l’amour peut véritablement guérir. « "Amour et conscience" » est la clé de toute transformation lumineuse. Mais malgré que vous sachiez cela, certains expérimentent encore des impasses dans lesquelles il leur est difficile de se sortir. Au lieu de s’alléger, les ombres semblent plutôt s’amplifier. Que se passe-t-il précisément ?
Une forme d’urgence
En observant vos expériences, nous avons expliqué à notre partenaire une nuance fondamentale dans la création qui échappe à plusieurs humains. Car lorsque nous parlons d’amour, nous parlons d’un amour inconditionnel. Et lorsque nous vous observons éclairer vos ombres, la plupart du temps, nous observons des approches orientées vers une forme d’urgence, avec un jugement sous-entendu. Suivez-nous bien ici, car cet enseignement est subtil. Mais vous verrez qu’il est aussi très concret et vous saurez le comprendre.
Prenons un Être qui vit un inconfort relié par exemple à une relation houleuse. Sur la voie de la conscience, on lui aura appris à s’observer à travers le miroir de l’autre Être. Il se dira alors que ce qu’il juge chez l’autre est un aspect de lui qu’il n’a pas encore pacifié, soit dans cette vie ou dans une vie parallèle. Il aura appris à éclairer son malaise avec l’intention de l’alléger, et ce justement afin de « créer de l’espace » en lui pour mieux accueillir son divin. Jusque-là, tout va bien. Et pourtant, certains malaises semblent persister, n’est-il point ? Quel se passe-t-il précisément ? Voilà ce que nous souhaitons partager avec vous.
Une intention légitime
Lorsque les humains choisissent de diriger l’amour envers eux pour se guérir, plusieurs le font avec une intention que la situation se modifie, et ce le plus rapidement possible. Dans les faits, ceci est légitime et nous le comprenons. Mais au niveau du corps émotionnel et de l’enfant intérieur, sources de la plupart de vos souffrances dans l’incarnation, la réalité est toute autre.
Observez le paradoxe ici. Beaucoup d’Êtres sur la voie de la conscience choisissent d’accueillir inconditionnellement les aspects d’eux plus ombrageux, mais ils le font en se disant « voilà, je vais aimer cette ombre en moi pour qu’enfin, elle devienne lumière ». Si nous voulons être encore plus clairs dans notre exemple, nous ajouterions « pour qu’enfin, elle devienne lumière et que j’en sois définitivement débarrassé ». Voyez-vous le paradoxe ?
Lorsqu’un Être entreprend la guérison à partir de la perspective du jugement de ce qui est présent (ou pour s’en débarrasser, ce qui est équivalent), l’énergie d’amour n’est alors plus inconditionnelle. Invariablement, la situation ou l’état qu’il cherche à transmuter sera maintenu en place, parce que même s’il y a présence d’amour et de lumière, celles-ci proviendront d’un espace distorsionné conditionnel. Et comme vous savez, seul l’amour inconditionnel a le pouvoir de guérir, puisque c’est la véritable substance universelle.
Nous comprenons qu’il y ait un inconfort relié aux ombres ressenties. Mais lorsque vous observez une situation ou un état qui vous assaille, avant de vouloir le transformer, il faut d’abord l’accueillir sans condition.
Expression de l’individualité
Observez la situation avec vos adolescents (et souvenez-vous quand vous aviez leur âge). Certains d’entre eux ont des envies très nettes d’être différents et surtout, d’être reconnus dans leur différence. Ils vont alors se marginaliser par rapport aux parents et vont souvent provoquer les adultes autour d’eux pour s’affirmer. Ils exprimeront ainsi leur individualité en partageant leur désaccord.
Si vous résistez à ceci et tentez de les forcer à changer, vous savez fort bien que la situation va empirer. Car à travers cette expression de la différence, les adolescents de votre monde recherchent à exprimer leur individualité, leur état d’être individuel. C’est leur façon à eux d’affirmer qu’ils sont uniques et divins.
Et dès que les adultes acceptent les expressions uniques des adolescents, ceux-ci ont alors moins besoin de les afficher, et peu à peu, ils se rapprochent de leur expression plus juste. La marginalité est rarement un état d’être profond, car elle éloigne les Êtres de la sensation d’union, alors que fondamentalement, tous les Êtres cherchent à se réunir. Mais si la marginalité est jugée et opposée, elle va alors s’amplifier, justement parce qu’elle n’est pas acceptée. Et si vous l’acceptez dans le but que l’Être change, vous comprenez alors que fondamentalement, la transformation sera limitée, parce que les jugements seront maintenus.
La reconnaissance
Plusieurs parents n’en sont pas conscients, mais ils contribuent parfois à la rébellion des adolescents, en ne les reconnaissant pas d’abord inconditionnellement. Nous savons que ce sujet est sensible et nous ne mentionnons pas ceci pour culpabiliser les parents. Chaque parcours individuel est unique et chacun a ses mémoires et charges karmiques qu’il est venu libérer sur Terre. Mais nous dirions que de façon générale, plus l’amour inconditionnel sera au rendez-vous, et moins les résistances seront grandes.
Cet exemple vous montre l’amour inconditionnel, dans un modèle que vous pouvez tous comprendre. Imaginez maintenant qu’un petit enfant se présente à votre porte avec des lambeaux de tissus comme seuls vêtements. L’enfant a faim, soif et est visiblement dans des conditions d’hygiène discutables. Vous voilà à ouvrir la porte et à mentionner à cet enfant qu’il est invité à entrer dans la demeure, mais seulement lorsqu’il aura mangé, bu, qu’il se sera lavé et qu’il aura changé ses vêtements. Croyez-vous maintenant que cet Être sera touché par l’amour et l’accueil ressentis ?
Vous savez fort bien ici que dans ce contexte, l’amour serait conditionnel. Et c’est pourtant ainsi que beaucoup d’entre vous abordent leurs propres ombres. Soit vous les accueillez avec l’intention évidente qu’elles disparaissent ensuite rapidement, ou soit vous leur fermez la porte avant même qu’elles n’aient le temps de se présenter, parce qu’elles sont inconfortables.
Les limites
Cette description ne s’applique pas en totalité à toutes les situations de vos vies, car chacun réagit différemment face aux défis qu’il rencontre. Mais de façon générale, si vous observez votre rapport avec l’ombre, vous vous reconnaîtrez à des degrés divers dans cette description. Et plus l’ombre est inconfortable, plus cette approche conditionnelle semble s’appliquer.
Cette façon d’agir crée chez vous des impasses desquelles il vous est difficile de vous sortir, car l’amour que vous vous offrez, que vous croyez inconditionnel, ne l’est pas véritablement. Même si vous éclairez vos situations ou vos ombres en leur mentionnant que vous les aimez, si vous le faites dans le but spécifique que le tout se modifie le plus tôt possible afin d’être enfin plus léger, vous posez aussitôt des limites.
Le pouvoir de changer la situation
Pour cet enfant venu cogner à votre porte, vous avez le pouvoir de changer sa situation en lui permettant d’entrer dès maintenant. Et s’il entre, vous ne le forcerez pas à se laver et à changer ses vêtements avant même qu’il ne se soit calmé et senti en confiance. Vous respecterez son temps d’adaptation, tout en sachant que vous avez les solutions à sa problématique actuelle. Vous avez la nourriture, mais vous lui laissez le soin de l’ingérer à son rythme. Vous n’allez pas le gaver de force, n’est-ce pas. Et pourtant, vous agissez ainsi envers vous. Car sans vous en rendre compte, vous exercez une forme de pression sur vos ombres pour qu’elles se transmutent rapidement, ce qui vous ramène à ce paradoxe fondamental.
Pour qu’une situation se modifie, peu importe ce qu’elle est, qu’elle soit intérieure ou extérieure en apparence, la première étape de l’amour est l’accueil inconditionnel de ce qui est. Si cette étape n’est pas franchie, l’amour sera limité, car il sera dépourvu de sa puissance transformatrice. Il sera présent et vous le sentirez, mais vous observerez ses limites et la situation semblera perdurer. Et alors, vous vous direz que vous avez « mal aimé » et aimerez encore plus fort, ce qui ne permettra pas la résolution complète. Pour guérir, l’amour doit véritablement être inconditionnel. Il n’a pas besoin d’être forcé, il est, voilà tout.
Vous aurez donc compris qu’avant d’entreprendre le processus de guérison d’une situation, peu importe ce qu’elle est, il est fondamental que ceci soit précédé d’un accueil inconditionnel. Vous ne pouvez leurrer l’Univers dans votre approche avec la guérison. Si l’amour est conditionnel, la guérison le sera également.
Un accueil inconditionnel
Si vous êtes limité sur Terre, c’est parce qu’il y a des parcelles de vous qui ne sont pas encore intégrées dans le corps physique. Ce n’est donc pas votre potentiel qui est à remettre en question, mais l’intégration de ce potentiel dans la matière. C’est la quantité de vous-même que vous avez laissé entrer dans le corps physique qui fera la différence. Quant à savoir comment entrer davantage de soi dans le corps, vous avez maintenant une parcelle additionnelle de la réponse. Plus vous pacifierez vos ombres de façon inconditionnelle, et plus vous ouvrirez l’espace à la lumière en vous.
Comprenez que la Terre n’est pas une prison et n’a jamais été créé ainsi. Elle est un joyau du paradis, véritable bijou universel ensemencé d’une vie abondante et diverse, unique dans l’Univers. Elle n’est pas une planète banale, et c’est d’ailleurs pourquoi elle a attiré autant de convoitises au cours des derniers millénaires.
Pourtant, la Terre est devenue une prison pour une majorité d’humains, dus à leur incapacité à voir au-delà de la dualité. Ils n’arrivent pas à pacifier leurs ombres qui les assaillent de toute part, car ils s’opposent à ces aspects d’eux-mêmes qui viennent les hanter extérieurement. Ils ne comprennent pas qu’ils créent tout ce qui se présente dans leur vie, consciemment ou inconsciemment. Et plus un humain veut quitter le plan terrestre parce qu’il y souffre, plus son énergie le maintient sur Terre, prisonnier de la densité. Voilà un autre grand paradoxe, ne trouvez-vous pas ?
Les portes de l’Univers s’ouvrent
Nous vous disons que lorsqu’un humain transmute en lumière ses ombres, cause de ses souffrances, il retrouve le goût de vivre sur Terre, bien présent à sa réalité. Et pourtant, c’est à ce moment que les mondes parallèles se présentent. Au moment où il se sent heureux d’être incarné, les portes de l’Univers s’ouvrent vraiment à lui.
Les humains que vous êtes se préparent maintenant à revêtir leur manteau d’enseignant, d’accompagnant, de guérisseur du cœur, de guérisseur de l’Âme, de scientifique universel, etc... Toutes ces fonctions pour lesquelles vous vous êtes préparé depuis si longtemps maintenant et qui appellent en vous un certain dépassement.
Un aspect de vos psychés continue de croire qu’il n’est pas encore prêt à assumer ces rôles clés, mais cela n’a que peu d’importance dans le grand plan de votre humanité. De notre côté du voile, il est merveilleux de vous observer venir étudier et vous préparer durant vos périodes de sommeil. Nous vous observons ensuite retourner sur Terre, pour douter de nouveau de votre potentiel durant votre période de veille. Ce qui est intéressant c’est que dans ces moments nocturnes où vous raffinez vos énergies, jamais vous ne nous parlez de vos doutes et des sensations d’inaptitudes ressenties, parce que vous ne les expérimentez pas. C’est uniquement sur Terre, lorsque vous retournez dans la densité de votre planète, que vos doutes reprennent leur place.
Les doutes
Ne vous jugez pas ici, car les doutes font partie de l’expérience d’oubli que vous êtes venus effectuer sur Terre. Sans eux, vous n’auriez jamais pu expérimenter la dualité. Il n’y a donc pas de honte à douter, au contraire. Seulement, lorsque vos doutes occupent toute la place au point de vous paralyser dans votre déploiement, accueillez inconditionnellement ces états d’être, mais conservez le mouvement.
Le doute en soi n’est pas l’obstacle. C’est l’inaction qu’il entraîne qui vous paralyse. Si vous demeurez dans le mouvement et posez des gestes concrets, vos doutes se dissiperont, ou du moins, vous les relativiserez. Inversement, si vous attendez de cesser de douter pour agir, vous risquez d’attendre longtemps. Agissez, et l’Univers suivra. Les grands de votre monde ont compris cette loi depuis un long moment. Pendant que certains sont préoccupés à douter, eux créent les grands chefs-d’œuvre de votre Terre.
Chers amis, notre échange tire à sa fin et nous sommes heureux d’avoir pu de nouveau poursuivre notre partage amoureux, sous la forme de ces enseignements. Vous savez, le temps approche où vous serez invités à retransmettre ce que vous avez intégré à vos frères et sœurs humains, et à ce moment, vous n’aurez plus le temps de réfléchir sur le sens des propos reçus. L’invitation sera alors de vous mettre en mouvement, et non de réfléchir sur vos habiletés à le faire.
Si vous nous le permettez, nous observerons ce que l’intégration de ce message créera en vous. Et si vous nous le demandez, nous collaborerons à en faciliter l’application concrète dans vos vies. Nous aimons côtoyer nos frères et sœurs humains.
Nous vous remercions de votre présence amoureuse en ce jour.
Salutations à vous
Le Collectif Ashtar et la Grande Fraternité Universelle
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Reçu le 18 mars 2010, par Simon Leclerc (www.psychologiedelame.com)
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