vendredi 11 août 2017

« L’honnêteté » Magali Magdara





Il fut un temps pendant lequel nous pouvions nous mentir à nous-mêmes, travestir nos sentiments et nier nos ressentis. Ce fut le temps de la dualité. 
Cet état était nécessaire afin de mesurer nos avancées et nous protéger. 
Ainsi, nous avions la possibilité d'aller d'expérience en expérience avec un retour distendu, avec des conséquences éloignées dans le temps.
La loi de la grâce nous a ramené dans sa tendresse mais aussi nous a rappelés que nous étions responsables de notre vie, de ce karma nourri au fil des millénaires. Nous sommes aujourd'hui dans la loi de la Rectitude, c'est-à-dire de l'honnêteté : avec nous-mêmes et avec les autres.
 
Notre âme nous appelle à réintégrer notre intégrité, notre souveraineté. 
Pour cela, elle nous place dans les flux de la synchronicité afin que nous observions l'Amour qui sous-tend toute vie, toute présence. 
Chaque interaction avec un être ou un élément nous apporte une information qui nous parle d'évolution, de changement vers le meilleur. Et lorsque nous laissons la vie nous positionner au plus Juste, nous ouvrons notre être à notre cœur par le biais d'intuitions. Nous vivons au cœur des miracles.

mercredi 9 août 2017

« L’amour est ouverture, fluidité, abondance »



 

15 07 « Quand vous prenez du recul sur ce qui est, sur le temps, sur votre passé, vis-à-vis des apparences, vous pouvez voir que vous êtes dans un cadre spécifique où des limites ont été posées afin d’expérimenter dans la matière pour comprendre de l’intérieur ce que vous êtes éternellement, par la dynamique des contraires.
Un cadre limité tant au niveau de la durée que des personnages et rôles à incarner dans ce contexte particulier où l’idée de séparation a établi toutes sortes de croyances et donc de voies possibles en conséquence. 
Vous pouvez comprendre la portée de vos actes, de vos choix, de vos pensées et à travers cela comprendre la nature de l’énergie et ses lois. 

Quand vous vous positionnez dans le présent, dans la paix, le silence, vous comprenez que les limites ne sont qu’apparentes. Elles sont le fruit des croyances et à la fois le contexte préétabli à l’origine de la création de ce monde. 
Quand vous prenez conscience que vous êtes l’amour vous ne le cherchez plus à l’extérieur parce que vous comprenez que c’est une vibration complète comprenant les qualités qui magnifient un être, en font un humain cosmique, universel. 
Les limites volent en éclat dans l’observation de l’humain conditionné mais conscient de sa nature éternelle. Quand vous laissez l’amour harmoniser les pensées et les émotions émanant des croyances communes, vous percevez l’infini et le caractère universel tant de l’individu humain que de l’âme, de la conscience Une. »

Je ne sais pas pourquoi j’ai écris de cette façon mais ça me vient spontanément. Qui m’a soufflé cela, c’est probablement la conscience paisible qui se révèle de plus en plus…
La nature de l’énergie est telle qu’il n’y a pas de séparation ni de limites. C’est vertigineux mais on peut le sentir, le constater dans l’accueil des pensées émotions dites négatives.

mardi 8 août 2017

« Heureux les simples d’esprit »…« Heureux ceux dont le mental est apaisé »





4 08 Les températures extrêmes donnent la sensation qu’on va imploser et brûler de l’intérieur tellement les montées énergétiques sont puissantes. Mais comme je ne retiens plus rien, comme je confie tout à la source, non seulement ça passe tranquillement mais en plus l’énergie harmonisée donne à chaque fois l’élan d’agir avec assurance et détermination. 
En prenant l’habitude de suivre l’élan motivé par l’enthousiasme, sans se poser de questions, la confiance qui s’installe me donne la sensation que je peux enfin décider et agir en conséquence. 
Quand on est dans la peur, le déni ou simplement dans la résistance face à ce qui se manifeste en soi, on a la sensation d’être manipulé par des forces invisibles, d’être le jouet des mécanismes inconscients. Et c’est la vérité puisqu’on assiste impuissant à ces montées émotionnelles et on voit les stratégies employées pour les contenir. 

Mais en continuant de simplement observer ces phénomènes, en accueillant cela comme un fait actuel tout en sachant que rien n’est fixé ou immuable, on se détend déjà mentalement. Et c’est cette détente mentale qui élève notre vibration permettant d’accueillir sans crainte ces poussées émotionnelles. 

Le fait de pouvoir calmer le mental en ne s’attachant à aucune pensée est très reposant, revigorant même parce que l’énergie n’est plus employée dans la lutte. Quand on cesse de se demander pourquoi on ressent telle ou telle émotion et qu’on la laisse s’exprimer, circuler librement, cela démontre que le mental est pacifié, l’énergie ne reste plus enfermée en ce corps. Elle peut circuler en tous sens, en tous nos corps et un désir sera satisfait de la meilleure des façons, sans contrainte, avec fluidité et légèreté.

lundi 7 août 2017

« Reconnaître les peurs » les êtres de lumière via Monique Mathieu




« Nous aimerions que vous vous attardiez un peu sur vos peurs.
Nous avons entendu des personnes dire qu'elles n'avaient pas peur. Rien que le fait de dire que vous n'avez pas de peurs fait que ne pourrez jamais avancer ; si vous l'affirmez, c'est que vous êtes tellement écrasé par vos peurs que vous n'avez même pas la conscience de les voir.
Comment voulez-vous travailler ce que vous ne pouvez pas percevoir ? Comment voulez-vous vous délester des poids qui vous écrasent si vous ne les voyez pas ?

Il y a des peurs venant de la petite enfance, venant même d'avant l'incarnation présente ; il y a des peurs que vous créez chaque jour par vos comportements. Tout cela s'imprègne en vous. Les vibrations de haut niveau s'imprègnent en vous, et les vibrations de bas niveau s'imprègnent en vous de la même façon.

Vous êtes essentiellement énergie et vibrations, tout s'imprègne en vous, et ensuite il faut faire un travail pour nettoyer. A ce niveau-là, chacun, en fonction de ce qu'il est, a ses propres méthodes, valables ou non valables ; ce n'est pas à nous à juger si telle ou telle méthode est mieux qu'une autre.

Nous aimerions vous faire percevoir davantage vos peurs. Elles viennent aussi du fait que vous avez des difficultés à couper avec les expériences précédentes, c'est-à-dire avec tout ce vous avez pu vivre avant aujourd'hui. A partir de l'instant où vous vous remémorez des peurs et des souffrances et que vous en ressentez un mal-être, plus ou moins profond d'ailleurs, c'est que ces peurs sont encore imprégnées en vous. Il est absolument nécessaire de les nettoyer !

dimanche 6 août 2017

« Regard des êtres de lumière sur le suicide assisté ». St Germain via Agnès Bos-Masseron





Quel est le regard des êtres de lumière sur le fait que certaines personnes en fin de vie et souffrantes font le choix de quitter leur corps (suicide assisté) ?
La vision des êtres de lumière, pourrait-on dire, n'inclut pas la souffrance car la souffrance est une illusion. Cela ne répond pas à la question, n'est-ce pas ? C'est pourtant la réalité de la vision des êtres de lumière. La compassion n'est pas d'entrer dans ce plan qui accepte la souffrance. La compassion est de répéter que la souffrance n'est qu'une illusion. Pourtant vous jouez le jeu de cette autre fréquence. Quel jeu ? Ce n'est qu'un jeu. Ce n'est qu'un jeu.
Ne pas avoir eu la clarté de choisir différemment les injonctions de ces égrégores. Ne pas avoir eu la clarté d'accepter que seule est l'infinie vitalité pour la structure corporelle, et en arriver âgé et souffrant.
Cela en soi est aberration. Au sein de l'aberration, quelques choix. Si le corps semble à bout de route, l'on pourrait dire, pourquoi ne pas l'aider à arrêter sa course ? Mais cela est aberration, car le choix peut être à chaque moment de régénérer le corps. Rien ne l'empêche, et surtout pas l'âge.

Le choix pourrait être d'aiguiser sa passion de vivre et de régénérer le corps. Si le choix semble trop exigeant, de par les autres choix, alors peu importent les choix qui restent et, pourquoi pas, assister le corps. Mais cela ne sera jamais la voie de l'inspiration de la fraternité.

vendredi 4 août 2017

« Vivre au présent nous élève sur les fréquences de la gratitude »





2 08 Dans le désir de se libérer des croyances qui ne font plus sens, lorsqu’on prend en charge les blessures de l’enfant en soi, on se rend compte que la majorité d’entre elles sont infondées ou peu fiables, s’appuyant sur des semis vérités et des préjugés. 
Elles viennent de nos ancêtres et elles ont traversé les siècles formant et nourrissant à longueur de temps, des égrégores qui ont pris beaucoup d’ampleur et qui exercent leur influence sur chacun autant que sur le collectif. 
Entre croyance et préjugé, il n’y a qu’un pas et la majorité des croyances peut être classée dans la catégorie des superstitions, des illusions. Ces croyances qui ont établis les bases des sociétés de l’orient à l’occident se fondent sur l’idée de séparation, de lutte et de division, de mérite et de récompense. 

Elles sont élaborées de la même façon que celles que nous adoptons durant l’enfance et il n’est donc pas étonnant qu’elles fassent écho en nous. Dans ce constat on peut aisément se dire que les sociétés sont fondées sur des croyances d’un enfant de 6 ou 7 ans. 

Les mythes et légendes, les archétypes et les rôles du triangle de Karpman constituent autant les personnalités de base de la majorité que les modèles à poursuivre. 
On se construit selon nos préférences et on se créé un modèle idéal à atteindre choisi parmi les héros de notre enfance. Les médias nourrissent constamment ce schéma de modèle dont on vante les mérites et auquel on nous pousse à nous conformer. Il faut suivre un modèle et poursuivre ses objectifs afin d'être considéré comme un gagnant. 

Le processus d’individualisation d’un individu en ce monde, consiste à se conformer aux normes établies par la société dans laquelle il se trouve. Il s’agit davantage de correspondre aux attentes extérieures que de s’affirmer en tant qu’individu unique et souverain.

lundi 31 juillet 2017

« Observation neutre et détachement = LIBERTE »





Il est vrai que ça n’est pas évident de changer de perspective parce qu’il est plus confortable d’agir par habitude, par automatisme plutôt que d’être conscient et présent à ce que l’on ressent. D’autant plus quand on s’est créé toutes sortes de rituels afin de ne pas ressentir ce qui nous dérange. Notre intellect et notre inconscient ont élaboré des stratégies qui modèlent notre quotidien et qui naturellement nous donnent l’impression d’être impuissant, manipulé, dirigé par des forces qui nous semblent hostiles.

Si on observe notre quotidien, la façon dont les actes s’enchainent, on va voir que la plupart de ceux-ci sont des stratégies d’évitement, des actes qui nous évitent de faire face aux émotions excessives ou négatives, qui nous donnent l’illusion de vivre dans le confort, dans une forme de sécurité et de paix relative. 
De la même façon si on observe les réactions en chaine lorsqu’on est contrarié, on va constater toutes les stratégies mises en place afin de retrouver cette sécurité précaire. L’intensité avec laquelle une contrariété nous perturbe révèle la force et en même temps la fragilité de ces stratégies.

Pourtant en choisissant d’être l’observateur neutre de ce qui se vit en soi, des pensées, des émotions quelles qu’elles soient, on va commencer à sentir ce qu’est véritablement la paix. 

Le mental aura besoin de constater plus d’une fois combien le fait de juger, d’accuser, de lutter, de résister, créé de la souffrance, nous emprisonne et comment l’abandon, le lâcher prise mènent à la paix, pour oser abandonner ces façons d’être et de réagir. Sans même parler de foi ou de spiritualité, chacun peut constater comment l’abandon de la lutte créé une détente psychologique et physique.