lundi 6 avril 2015

« Le bonheur ne peut être trouvé à l'extérieur de vous, il peut seulement être créé de l’intérieur » – Guides Angéliques via Taryn Crimi





Aujourd’hui nous aimerions porter votre attention sur le sujet du bonheur. 
Nous regardons alors que tant deviennent consternés en chassant le sentiment évasif du bonheur. Nous allons partager avec vous pourquoi vous avez souvent de courts moments de bonheur plutôt qu’un état d’être soutenu. 
Vous voyez, plusieurs sont souvent dans un état constant de recherche du bonheur plutôt qu’en train d’apprendre à le soutenir. 
Est-ce qu’un état constant de bonheur est atteignable ? 
En effet, c’est tout à fait à la portée de vous tous. 
Mais premièrement nous aimerions partager avec vous notre perspective sur comment le bonheur peut être non seulement atteint, mais maintenu.

Nous allons commencer avec une déclaration audacieuse; rien ne peut vous rendre heureux. Vous devez d’abord trouver le bonheur qui existe déjà à l’intérieur de vous et seulement alors pourrez vous trouver le bonheur que vous recherchez

Plusieurs croient que si seulement ils accomplissaient un objectif, obtenaient un produit spécifique, trouvaient le partenaire parfait, qu’ils trouveraient sans doute le bonheur qu’ils recherchent. 
Mais il ne peut en être ainsi, puisque tout dans votre réalité est un miroir de vos sentiments et des vibrations que vous émettez

Ce serait semblable à s’attendre à ce que le miroir vous montre une image de vous plus jeune et avec plus de vitalité et qu’alors vous vous sentiriez plus jeune et auriez plus de vitalité. L’image que le miroir vous reflète ne peut pas changer si vous ne changez pas.

« Faire la différence entre écouter ses besoins s’affirmer et être égoïste » Lise Bourbeau: conférence 7 avril











"Il est recommandé de savoir faire la différence, car hélas bien des gens confondent ces trois termes. "écouter ses besoins"; "s'affirmer" "être égoïste"
Prenons l’exemple suivant : lors d’un atelier, une participante se lève et décide d’arrêter la climatisation*, car elle jugeait qu’il faisait trop froid. Lorsque j’ai dit à cette participante qu’il était important de vérifier auprès du groupe avant d’entreprendre une telle action, elle a été offusquée. Elle m'a répondu qu’elle écoutait ses besoins et que, d’ailleurs, elle en avait appris l’importance avec Écoute Ton Corps**.  
Une autre, pour sa part, trouvait que cette participante savait bien s’affirmer en prenant ce genre d’initiative. J’ai dû faire une petite pause dans l’atelier pour expliquer ces termes et les rendre clairs pour tous les participants. Voilà ce qui m’a donné l’idée d’écrire cette infolettre. 
Si chacun de nous écoutait ses besoins sans prendre en considération que nous vivons en société, ce serait l’anarchie. Il est vrai que nous devons connaître nos propres besoins et tout faire pour les combler. 
Cependant, si cela signifie que les gens autour de vous doivent aussi répondre à votre besoin au détriment des leurs, cela s’appelle de l’égoïsme

Je répète ici la définition du mot égoïsme. 
 Elle a souvent besoin d’être répétée, car notre ego nous empêche de nous en souvenir. 
ÊTRE ÉGOÏSTE, c’est vouloir qu'autrui écoute nos besoins avant d’écouter les siens.  
C’est souvent le cas dans les situations où l'on veut qu’une autre personne nous fasse plaisir pour nous prouver qu’elle nous aime. 

dimanche 5 avril 2015

« La face sombre des chercheurs de lumière » résumé-traduction du livre de Debbie Ford par Geneviève Lebouteux (4ème partie)




Chapitre 5 : « Connaître son ombre, connaître son Soi »

En chacun de nous, il y a un solide trésor en or. 
Sa matière est notre esprit, pur et magnifique, ouvert et rayonnant. 

Ce trésor a été recouvert d’une épaisse couche d’argile. L’argile vient de nos peurs. Elle constitue notre masque social : la face que nous présentons au monde. 
Il ne s’agit nullement de détester cette couche d’argile, elle nous protège de multiples façons. Souvent, notre ombre a été si bien camouflée que nous montrons au monde un masque social qui présente le trait de caractère exactement opposé. 

C’est d’ailleurs une indication : plus nous présentons un trait de caractère affirmé, plus au fond de nous est enfoui son opposé. 
Les personnes cool cachent de la rigidité, les généreuses ont au fond d’elles-mêmes de l’égoïsme etc. 
Quand nous nions fortement certains aspects de nous-mêmes, nous sur-compensons en devenant leur opposé. 
Quand on est dirigé par l’obsession de ne pas devenir tel ou tel type de personne, nous devenons souvent l’opposé (extérieurement). 
Cela nous enlève la possibilité de choisir ce que nous voulons vraiment faire de notre vie.
Quand nous nous connaîtrons dans notre totalité, incluant notre ombre, nous n’aurons plus besoin de couche d’argile pour nous protéger. 

« Ajustement et mieux-être constant »



Une heure de sommeil de plus, ça se sent ! Les deux fois où je me suis levée pour aller aux toilettes, j’étais dans des rêves joyeux. Je m’exprimais avec humour, ça rigolait pas mal, sans chahuter mais l’ambiance est beaucoup plus légère. 
Comme j’associe le ciel et les énergies électriques, au père de mon esprit ; la terre et les énergies magnétiques, à la mère de mon corps physique, je me situe comme une enfant vis-à-vis des forces et des astres; le soleil et la lune qui figurent le masculin et le féminin, symbolisent les contraires. 
Je parle de parents puisque c’est une évidence, l’humain a des limites et son comportement en matière d’amour est vraiment enfantin. Ce n’est pas péjoratif au contraire  parce que je sais aussi que je porte des énergies divines, mon âme et ma conscience qui font office de parents de mon enfant intérieur. 
Oui ça semble compliqué mais en fait. Je vois le soleil comme le père de la conscience et la Terre comme la mère de l’humanité. 
En tant qu’individu, je suis guidée par la source, au travers de ma présence divine et de mon âme qui eux-mêmes sont reliés au soleil et à la Terre, leur demeure respective. 
Puis au niveau énergétique, le masculin, le féminin sont les énergies de la source père mère qui passent au travers des filtres du mental-émotionnel qui rencontrent l'enfant que je suis, la personnalité qui s’identifiait aux pensées et à ses émotions mais devient peu à peu mature au contact conscient du divin intérieur; âme/conscience, eux mêmes en contact avec la source père mère. Le choix de devenir responsable de mon monde intérieur, d'en confier la transmutation à ma conscience divine, par l'amour inconditionnel que je cultive à chaque instant en revenant au coeur, permet l'intégration des énergies de la source, révélant ma vraie nature et l'émergence de l'être unifié, intègre.

samedi 4 avril 2015

« Vous ne savez pas la puissance de votre cœur. Tout est reflet de sa pensée ! »




Canalisation d’Isis – message reçu en écriture automatique par Isabelle Muller, le 11 janvier 2015 (aucune modification du texte, seules les fautes d’orthographe sont corrigées et la ponctuation).

Il vous faut faire ce que vous êtes amenés à faire, sans réfléchir à la finalité des choses. Car il n’y a pas de finalité dans le fond. La finalité n’est pas. La finalité n’est pas, ici et maintenant. Tout EST, tout simplement. Tout EST, ici et maintenant. Tout est, c’est tout.
Tout est et il faut en faire l’expérience en fait. C’est-à-dire qu’il vous faut vous délivrer des plans que vous montez, encore et encore. Car ce qui vous est donné est plus grand que tous les plans que vous avez en tête.

Les choses sont au-delà de votre corps. Les choses sont au-delà de ce que vous êtes à même de voir en fait. C’est de cela, dont vous devez être capable de vivre aussi. 
C’est cela que vous devez comprendre aussi, au travers des expériences de vie quotidiennes que vous avez. Car rien n’est fixe et programmé. Rien n’est fixe et prévu. Mais tout est conséquence de tout. Tout est résonance de tout.

« Joie de VIVRE, d’ÊTRE ! »



Hier soir 21h...



J’ai une pêche ce matin, qui ne vient pas des médicaments ni d’une longue nuit de sommeil réparateur puisque j’ai adapté mes cycles à l’élan ce qui donne 5h de nuit, 2h de sieste et quelques moments de doux flottements au cours de la journée. 
Je ne me fais plus aucun souci quant à mon devenir ni celui de la planète parce que j’expérimente l’immense pouvoir de l’amour, de l’acceptation et de la création délibérée même pas exprimée ou visualisée. 
La puissance de l’amour sans conditions et de la psyché, est ma réalité quotidienne et même s’il m’a fallu un certain temps pour y croire, l’intégrer et savoir lâcher prise, maintenant, plus rien ne peux me faire revenir en arrière et c’est ce long parcours initiatique qui a forgé cette foi inébranlable. 
OUI, nous sommes créateurs par nos pensées et émotions associées. Le ‘drame’, c’est que nous l’avons oublié mais, tout nous ramène maintenant à retrouver cette conscience de qui nous sommes en vérité et tout le monde est bousculé afin d’aller puiser à l’intérieur de lui-même, l’amour, la sagesse innée et la force.
J’ai repris mon sevrage laissé en suspends lors de ces vagues énergétiques venues directement de la source Père Mère, du Soleil et de la Terre, afin de répondre aux élans de l’instant, d’intégrer cette habitude de s’écouter et d’accepter ce qui se manifeste en soi. Pour pouvoir intégrer l’amour inconditionnel, le faire circuler en moi, en accueillant la peur, la révolte, la colère, la tristesse et de cette façon, j’ai pu tomber et libérer les rôles du triangle de Karpman, que sont la victime, le bourreau et le sauveur. Des stratégies devenues obsolètes et que l’amour vrai de soi, le désir d’unité intérieure ont fini par absorber.

« Le cœur commande au cerveau mais personne ne vous le dira » Michel Dogna et vidéos: cohérence cardiaque par David Servan-Schreiber





On a découvert que le cœur contenait un système nerveux indépendant et bien développé, avec plus de 40.000 neurones et un réseau complexe et dense de neurotransmetteurs, de protéines et de cellules d’appui. 
Grâce à ces circuits, il semble que le cœur puisse prendre des décisions et passer à l’action indépendamment du cerveau et qu’il puisse apprendre, se souvenir et même percevoir.
Il existe quatre types de connexions qui partent du cœur et vont vers le cerveau de la tête.

Première connexion : neurologique
Entre cœur et cerveau il y a une communication neurologique au moyen de la transmission d’impulsions nerveuses. Le cœur envoie plus d’information au cerveau qu’il n’en reçoit, il est l’unique organe du corps doté de cette propriété, et il peut inhiber ou activer des parties déterminées du cerveau selon les circonstances. 
Cela signifie-t-il que le cœur peut influencer notre manière de penser ?  
Il peut influer sur notre perception de la réalité, et de ce fait sur nos réactions.

Deuxième connexion : biochimique
Le cœur envoie des informations biochimiques au moyen des hormones et des neurotransmetteurs. C’est le cœur qui produit l’hormone ANF, celle qui assure l’équilibre général du corps : l’homéostasie. L’un de ses effets est d’inhiber la production de l’hormone du stress, et de produire et de libérer l’ocytocine, connue comme hormone de l’amour.