samedi 8 novembre 2014

« Cessons de Lutter » par Emmanuel Dagher





Mes Amis Magnifiques,
Comment allez-vous? Merci de prendre le temps de vous connecter à moi de cette façon. Pour moi, c’est vraiment l’un des points forts de chaque mois que j’attends toujours avec impatience.
Je vous suis profondément reconnaissant de permettre à notre amitié de continuer à s’épanouir.
Énergétiquement parlant, quelle a été votre expérience pendant ce mois d’Octobre? 
Si elle a été un challenge, alors vous n’êtes certainement pas seul.

Les événements célestes d’Octobre comportaient deux éclipses, parmi d’autres alignements astrologiques comme un Mercure rétrograde ainsi que les plus importantes éruptions solaires enregistrées depuis des décennies. Je crois que nous pouvons affirmer que ce mois a été celui d’une immense expansion.

« RESPIRE »





J’ai la sensation d’intégrer tant bien que mal, une grosse vague d’énergie en provenance de la source, en ce moment. Je réfléchissais pour essayer de déterminer depuis quand exactement ça bousculait sérieusement en dedans mais en fait, depuis 2012, nous sommes passés à la vitesse supérieure en matière d’intégration et nous sommes bombardés constamment par ces énergies révolutionnaires!
Et malgré les apparences, nous avançons réellement à grand pas dans l’œuvre de renaissance intérieure. Comme toute éclosion suppose une germination, celle-ci se réalise dans le silence et la noirceur des profondeurs de la Terre. C’est en embrassant nos ombres que la magie de l’alchimie s’opère et avec la patience d’une mère en attente de l’heureux évènement, que le processus délicat se réalise avec fluidité.
Attendre des résultats visibles amène des frustrations puisque tout se passe premièrement au niveau subtil de l’être. Ce qui rend inconfortable cette expérience c’est le fait de devoir réformer toutes nos croyances basées sur la peur et comme tous nos comportements y trouvent leur origine, ça demande de faire le vide avant de pouvoir restructurer le mental. La période où nous lâchons une croyance donne l’impression de flotter dans le vide parce que ce qui s’en vient est totalement inconnu et ce que nous voulons lâcher est incrusté en profondeur. J’ai des moments d’absence, la sensation de ne plus pouvoir réfléchir par moments !

« Comment être libre véritablement » par Lise Bourbeau





Si vous croyez que vous êtes libre parce que vous vivez seul, parce que vous avez atteint une liberté financière ou parce que vos enfants ont quitté votre maison, sachez que tout ceci n’a rien à voir avec la vraie liberté.   
La liberté véritable ne peut venir que de l’intérieur de vous. 

La plupart des gens confondent être libre avec être libéré de contraintes. Il va de soi qu’avoir moins de contraintes vous donne plus de liberté mais c’est rarement une liberté réelle. 
Prenons l’exemple d’une personne qui se croit libre parce qu’elle a décidé de vivre seule. Cette personne peut quand même vivre des moments de solitude ou avoir des problèmes financiers. Elle a des contraintes qui l’empêchent d’être totalement libre. 
C’est la même chose pour quelqu’un qui se croit libre parce que sa situation financière est très agréable. Cette situation peut lui causer des problèmes relationnels tels des désaccords au plan financier avec son conjoint et ses enfants. Elle peut aussi avoir peur de n’être aimé que pour son argent et vivre de la frustration en pensant qu’on profite d’elle ou avoir peur de perdre son argent. La vraie liberté ne peut pas être atteinte lorsque seul le plan matériel est satisfait. 

vendredi 7 novembre 2014

« Face à la folie du monde » & une courte vidéo d'Etienne Chouard





J’ai bien l’impression que les doses homéopathiques pour limiter les bouffées de chaleur, font effet seulement la journée. Le toubib m’a prescris des doses hebdomadaires dont la première prise a été très efficace le premier jour puisque je n’ai pas bouilli de l’intérieur avant le milieu de la nuit. Je me contente d’observer le phénomène pour essayer de le comprendre. 
Je pars du principe que chaque cycle de la vie apporte son lot de nouvelles expériences avec des leçons de sagesse à la clef. Déjà, ça aide à accepter ce qui est, puis au lieu de subir, ça donne l’impression d’accompagner le truc. 
Il semble que ça corresponde à des montées d’énergie parce qu’à chaque fois, je sens comme un trop plein, quelque chose qui pourrait ressembler à de la colère mais qui se vit sans agressivité, sans emportement.
Je suis retombée sur un article qui parle de la plainte portée par un père contre Jacques Lang et cette fois-ci, je l’ai lu intégralement et j’ai regardé les vidéos. Je n’ai pas pu aller au bout parce que les émotions suscitées par les témoignages ont dû être traitées. 
J’ai pu constater dans cet exercice, que j’avais effectivement allégé la charge énergétique puisque la gestion émotionnelle fait partie de mon quotidien.

jeudi 6 novembre 2014

« On ne peut pas en même temps être victime et responsable »





Pas évident de faire de l’accueil émotionnel, un réflexe premier ! Je constate que j’ai libéré pas mal de peur ou du moins de sa charge énergétique et pourtant il semble qu’elle continue de diriger ma vie, du moins d’être active. Son emprise est fortement diminuée mais elle continue de manipuler plus ou moins mon état d’être. 
Déjà, libérer la peur de la peur peut constituer un jeu délicat. Je choisis volontairement ce terme pour ne pas nourrir les schémas duels, pour ne pas créer des fantômes, donner corps à la peur et toutes ses créations.
On peut constater que chaque état d’être produit des fruits dans l’instant et à long terme. On peut sentir combien l’amour nous libère de tous les schémas de prédation et peut donner à la peur une toute autre apparence. 
Toutes les hypothèses à propos des extra-terrestres manipulateurs généticiens me semblent encore être le fruit de notre difficulté à regarder nos peurs en face. 
C’est aussi la conséquence de notre incompréhension face à la dualité, à ce caractère double que  nous portons. L'incompréhension crée une barrière, une forme de résistance.

mercredi 5 novembre 2014

« Métamorphose » par Joanna





Métamorphose, un mot soufflé à mon oreille par Malek à qui je racontais ces deux derniers mois de transformation.

Comment toucher avec les mots la subtilité d'un changement intérieur si ténu que je n'arrive pas moi-même à en comprendre la substance ?

Septembre, octobre, la routine. Les gadins habituels, les joies et hasards du quotidien mais ce jeu de dominos là, cet alignement particulier d'événements à ouvert mon cœur comme jamais auparavant.

N'essaye-t-on pas tous de changer, de modifier notre environnement pour être heureux ? Ne met-on pas du relief sur les manquements des autres pour lustrer notre auréole ? "Bien sûr que non" me direz-vous car vous avez conscience que tout est en vous, que tout part de vous. Moi aussi j'en avais conscience, enfin je le croyais.

« Le juste milieu libère de la dualité, de l'illusion »





Depuis mon réveil tardif ce matin, je savoure la chaleur du poêle allumé depuis hier soir ! Il ne fait pas si froid dehors mais comme il a pas mal plu, l’appart commençait à sentir l’humidité. Enfin, ça n’est pas tout à fait l’odeur d’humidité mais un genre de relent désagréable que je ne saurais définir. En tous cas, je prends cette odeur comme une invitation à chauffer l’appart. 
La sensation de confort m’a permis de repousser la prise du premier bout de cachet. Je ne l’ai pas calculé, ça s’est fait tout seul et c’est ce que j’aime, ce qui m’encourage à poursuivre cette expérience de sevrage. 
J’insiste sur l’aspect expérimentation de l’affaire parce que ça me situe sur une fréquence légère qui favorise l’acceptation de ce qui est, le lâcher prise et fait de ce sevrage un jeu comme un autre. 
La volonté ici, est celle de l’authenticité et comme elle est portée par l’énergie du cœur, elle est équilibrée et donc ne pousse pas à performer, à forcer les choses. 
Le chat a passé la moitié de la nuit avec moi et m’a réveillée à deux heures du mat’ ! Je me suis levée pour lui ouvrir la porte non sans lui faire remarquer qu’il abusait. Du coup, j’ai ravivé le feu avant de me rendormir et c’est une bonne chose parce que ce matin, il y avait encore des braises chaudes. 
Malgré les moments assez difficiles, j’arrive mieux à me recentrer et je peux en avoir la preuve par le fait que l’intellect intervient de moins en moins dans le processus d’accueil de ce qui se manifeste en dedans.