vendredi 24 octobre 2014

« Les variations émotionnelles » les ÊdL* via Monique Mathieu






« Nous aimerions vous dire qu'en ce moment vous vivez entre trois dimensions. 
Au niveau de votre corps physique - et encore pas tout le temps - vous êtes dans la troisième, parce que vous nourrissez encore votre corps qui en a besoin.

Cependant la fréquence vibratoire de votre corps s'élève de plus en plus. 
Vous naviguez dans une dimension parallèle de quatrième dimension qui n'est pas la dimension pour aller vers la cinquième dimension dans laquelle beaucoup d'entre vous ont déjà été épisodiquement.

Nous allons parler maintenant des problèmes émotionnels qui vous affligent. 
Vous n'arrivez pas à gérer votre centre émotionnel convenablement. Certains, bien sûr, le gèrent bien sûr mieux que d'autres. Il est très souhaitable que vous arriviez à comprendre ce qui motive ces variations émotionnelles pour pouvoir comprendre et travailler sur elles.

Comme vous êtes humains, vos variations émotionnelles peuvent venir de relations affectives, de relations relationnelles au niveau de votre travail, d'émotions de peur ou tout à fait autre chose. Alors, si cela provient d'un problème humain, il faut que vous essayiez de voir et de travailler sur lui.

De quelle façon ? A partir du moment où vous avez trouvé d'où viennent vos émotions, essayez simplement de vous concentrer sur votre centre de force émotionnel, de lui envoyer de l'Amour et de vous relaxer. Vous pouvez demander de l'aide à vos Frères de Lumière, mais essayez surtout de vous relaxer, de lâcher prise le plus possible sur ces états.

« Du jugement à l'amour sans conditions »





Huit heures trente de sommeil ! Habituellement, il me suffit de six heures pour reposer le corps physique mais il semble qu’en cette période spéciale, relativement aux éclipses, des enseignements soient reçus pendant les voyages nocturnes. Ce serait mentir de dire que j’en garde le souvenir et ce constat vient surtout de l’expérience et de l’observation. 
Le temps des preuves est terminé pour moi, je ne remets plus trop en question ma foi, je l'applique au quotidien. Puisque le fondement de celle-ci est le suivant; je suis un être d'amour et de lumière, je le manifeste par mon comportement, en vivant à partir du cœur. Et comme je ne me juge plus, tout passe beaucoup mieux, avec plus de légèreté. 
Je m’attache moins à mes croyances et suis plus présente au ressenti physique. Je me libère peu à peu du mental, du moins de son entêtement à vouloir comprendre, enfin disons plutôt à vouloir interpréter les faits. 
J’ai la sensation de passer du monde virtuel, illusoire et aléatoire, celui de la pensée, à celui de l’être, au monde réel, celui qui est perçu depuis l'espace du cœur. 
Et comme ma foi l’emporte sur les croyances du monde, comme je n’entre plus en résonance avec les rôles de victime, bourreau et sauveur, même le jugement vis-à-vis de l’extérieur n’est plus systématique. 
J’applique la loi de permissivité dans tous les domaines de ma vie, à l’intérieur et à l’extérieur. Je m’autorise à faire tout ce qui me passe par la tête, tout ce qui me fait vibrer, tout ce qui me fait envie, en ayant conscience que plus je vais résister à l’élan et plus ma vie sera compliquée. 

jeudi 23 octobre 2014

« Accepter de se pardonner et ainsi, tourner la page »





J’ai carrément eu la flemme d’écrire hier. Il faut dire que je devais partir tôt de la maison pour aller à Perpignan et en revenant de ce périple, j’étais vidée ! Mais ça m’a fait du bien de casser la routine même si j’ai regretté d’avoir conduit comme une dingue et risqué de manger une voiture en pleine face, en doublant. Je n’ai pas eu d’autre choix que de me glisser entre deux voitures puisque sinon, je me serais rabattue sur le véhicule que je doublais. J’ai préféré suivre l’élan plutôt que de freiner et semer la panique autour. J’ai eu vite fait de calculer que j’avais la place de passer. 
Ce n'est qu'une fois rentrée à la maison, que j’ai accueilli la peur de la punition, la culpabilité, la honte aussi d’avoir été si inconséquente. Si j’avais été seule, je n’y penserais même plus mais comme j’avais une passagère, j’ai pas mal ruminé avant de lâcher prise. J’ai dû m’y reprendre à deux fois tant les idées négatives venaient. J’ai aussi cherché à comprendre ce qui avait motivé ce comportement mais j’ai vite abandonné parce que ça augmentait le malaise et m'embrouillait encore plus. 
De toute façon, il n’y a pas eu de conséquences graves sauf peut être la peur suscitée chez mon amie et les autres conducteurs. En plus, je venais de lui préciser que je ne prenais pas de risques non calculés ! Il est vrai que les autres conducteurs n’ont pas eu d’autres choix que de se ranger et c’est certainement pour cette raison que je n’ai ressenti aucune peur, j’ai gardé mon sang froid.

mardi 21 octobre 2014

« Le corps physique, une intelligence hors du commun ! » & Vidéos doc « Le ventre notre deuxième cerveau »





Aujourd’hui, j’ai décidé d’être plus dans le monde réel que virtuel. En simple actrice/observatrice, en regardant ma vie comme si je la voyais sur l'écran de mon ordi. J’ai arrosé copieusement le jardin et j’ai pu voir que de nouvelles fleurs allaient sortir. Tout ce qui est au jardin s’est semé naturellement, je n’ai fais que désherber et c’est joli, fourni et varié. La nature n’a vraiment pas besoin de l’homme ! J’ai pioché ces quelques clefs de sagesse sur le site « du ciel à la terre», de Monique Mathieu.
Clef 462
La vie est beaucoup plus simple que vous l’imaginez, mais les êtres humains aiment tout ce qui est compliqué. Ils ont l’impression que plus c’est compliqué plus ils sont intelligents, et ce n’est vraiment pas comme cela que çà se passe !

C’est ce que je constate aussi et pour cette raison, agir selon l’élan sans juger, sans culpabiliser, sans se critiquer, rend tellement plus libre et léger ! Simplifier sa vie, revient à ne plus suivre le mental. Agir selon ses désirs permet de vivre l’expérience et de focaliser le mental dans une action guidée par le cœur. Le mental agit toujours selon des calculs foireux de prévision, de projection et derrière tout ça, il y a la peur. Mais cette peur accueillie est neutralisée et elle apparait alors comme une qualité, de l’audace, du discernement, la confiance en soi. Tout ce qui est perçu comme négatif contient aussi du positif et en libérant les émotions refoulées, bloquées, elles s’équilibrent, l’émotion tempérée montre alors son autre côté.  

lundi 20 octobre 2014

« L’alchimie émotionnelle révèle l’être essentiel, l’association humain/divin »





Voilà une clef (un peu plus bas) qui tombe à propos, une fois de plus ! J’ai visité le site de Monique Mathieu pour voir s’il y avait un nouveau message et je suis tombée sur celui que je viens de publier ici.
Ce n’est pas facile de se taire, de ne pas réagir devant le contenu de certains messages qui sont manipulateurs. Premièrement parce qu’en avançant sur le chemin de la non-dualité, il apparait clairement qu’aucun humain n’est totalement lumineux, dans la vérité absolue. Et qu’il y a en plus autant de vérités que d’humains. Ceux qui canalisent des messages venus d’autres sphères, ne sont jamais totalement neutres et ne peuvent pas vraiment savoir qui les enseigne. Nos désirs et aspirations peuvent être portés par la peur, le besoin de reconnaissance, le manque d’amour véritable de soi.
Quand on cherche des réponses à l’extérieur de soi, le risque d’être la proie d’entités incarnées ou non, en mal de reconnaissance, est immense puisqu’on attire à soi ce qui nous ressemble, ce qui fait écho à nos propres pensées, comme en plus la plupart d’entre-elles sont inconscientes et que nous sommes constitués d'ombre Et de lumière…

« Mise en garde contre les encodages et les programmations » les EdL* via Monique Mathieu





"Nous comprenons que les êtres humains cherchent beaucoup, parce qu'ils sont poussés, stimulés, afin de pouvoir comprendre et avancer. Cependant beaucoup d'entre eux ont un désir de merveilleux, mais un moindre désir de comprendre certaines choses par eux-mêmes et de travailler à cette connaissance.

Nous ne jugeons personne, parce que, d'une certaine manière, tout a une utilité. Nous aimerions cependant vous mettre en garde, car de plus en plus deux énergies se confronteront au travers des hommes.

Il y a quelques années, avant 2012, les énergies de pure Lumière et de lumière non éclairée se confrontaient bien au-dessus de vos têtes (nous préférons parler de lumière non éclairée). Vous, humains, étiez bien sûr dans la dualité, mais quand même un tout petit peu protégés de ces énergies déstabilisantes pour beaucoup d'humains.

dimanche 19 octobre 2014

« La sensation de l’amour nait du mouvement de l’énergie »





J’ai eu un réveil agressif ce matin. Le chat est venu me réveiller en insistant lourdement ce qui a provoqué de la colère. J’en perçois l’origine mais comme je ne veux plus juger quoi que ce soit en moi, j’ai exprimé ce que je ressentais dans l’instant, sans culpabiliser, sans me laisser influencer par le mental.  
Je me suis tapée le deuxième orteil contre un meuble, rien de tel pour augmenter la colère mais là encore, je me suis contentée de me recoucher en râlant mais sans m’attacher à cette réaction. Je craignais tout de même de revivre quelque chose de douloureux puisque ça m’est déjà arrivé et qu’il a fallu plus de trois mois pour que je guérisse de ce coup.

Avant de m’endormir, j’ai massé mon pied en libérant la peur que le coup trahisse une mauvaise circulation sanguine. J’ai été opérée des artères après des séances de piqures quotidiennes pour éviter la septicémie qui menaçait à cause du sang qui peinait à circuler. J’ai souffert le martyr à cette période de ma vie où j’ai passé un mois allongée, avant de passer sur le billard. La douleur était intense et même si je connaissais plus ou moins l’origine de cette situation, j’avais bien du mal à lâcher prise. 
A cette époque, je cultivais ma consommation d’herbe et ça m‘avait aidé à passer le cap. Enfin disons que je n’avais pas d’autre solution. 
Je savais que la relation que je vivais à l’époque me permettait de voir où j’en étais au niveau affectif et qu’elle m’amenait à pouvoir libérer les blessures mais je ne savais pas comment faire concrètement. Ce n’est qu’au bout de quelques mois de souffrance que j’ai décidé de rompre la relation. C’est précisément ce qui m’a permis de me détacher progressivement du rôle récurent de la victime.