vendredi 24 octobre 2014

« Du jugement à l'amour sans conditions »





Huit heures trente de sommeil ! Habituellement, il me suffit de six heures pour reposer le corps physique mais il semble qu’en cette période spéciale, relativement aux éclipses, des enseignements soient reçus pendant les voyages nocturnes. Ce serait mentir de dire que j’en garde le souvenir et ce constat vient surtout de l’expérience et de l’observation. 
Le temps des preuves est terminé pour moi, je ne remets plus trop en question ma foi, je l'applique au quotidien. Puisque le fondement de celle-ci est le suivant; je suis un être d'amour et de lumière, je le manifeste par mon comportement, en vivant à partir du cœur. Et comme je ne me juge plus, tout passe beaucoup mieux, avec plus de légèreté. 
Je m’attache moins à mes croyances et suis plus présente au ressenti physique. Je me libère peu à peu du mental, du moins de son entêtement à vouloir comprendre, enfin disons plutôt à vouloir interpréter les faits. 
J’ai la sensation de passer du monde virtuel, illusoire et aléatoire, celui de la pensée, à celui de l’être, au monde réel, celui qui est perçu depuis l'espace du cœur. 
Et comme ma foi l’emporte sur les croyances du monde, comme je n’entre plus en résonance avec les rôles de victime, bourreau et sauveur, même le jugement vis-à-vis de l’extérieur n’est plus systématique. 
J’applique la loi de permissivité dans tous les domaines de ma vie, à l’intérieur et à l’extérieur. Je m’autorise à faire tout ce qui me passe par la tête, tout ce qui me fait vibrer, tout ce qui me fait envie, en ayant conscience que plus je vais résister à l’élan et plus ma vie sera compliquée. 


Plutôt que d’anticiper une expérience, d’essayer d’en voir l’aboutissement, j’essaie de vivre dans le moment présent, sans interférer, juste en mode observation pour voir ce qui est. 
Si l’élan est excessif, très souvent, c’est une peur, une croyance qui l’a initié et plutôt que de le refréner, j’accueille la charge émotionnelle et peut ainsi voir le besoin non nourrit dans l'instant.
En général, il ça m'amène à trouver le juste milieu et le fait d’accueillir l’émotion réalise l’équilibre naturellement. 
C’est un tel soulagement, une telle détente que de se laisser vivre, être, que je me demande comment j’ai pu vivre enfermée dans ma tête aussi longtemps, à vouloir tout cerner, contrôler !
Même si c’est un comportement « normal », selon les croyances communes, le besoin de contrôle trahit un manque d’amour, de confiance en soi et en la vie. Ce qui en plus, engendre tout un comportement faussé, basé sur la peur, la notion « d’autre ennemi », de besoin de se protéger, la nécessité de connaitre l’avenir, où le passé est la référence qui permet de jauger ce qui est. On est secoué entre deux projections et on passe à coté de l'instant présent qui seul est réel.

Une première libération et non des moindres, s’effectue quand on cesse de s’invalider, de se critiquer et d’évaluer tout ce que l’on vit. 
Il y a une différence entre observer et évaluer. 
L’évaluation se base sur ce qui est connu et sur la peur d’être dans l’erreur, le besoin de gagner, alors que l’observation neutre ne peut être réalisée qu’à partir du cœur et généralement amène à accepter ce qui est. 
On ne peut observer objectivement une situation quand on est plongé dans l’émotionnel, quand les émotions nous submergent. 
Il est nécessaire pour être neutre, de libérer les tensions, et l’accueil de ce qui se manifeste en soi, rétablit la paix intérieure qui permet de voir les faits tels qu’ils sont en vérité et non tels qu’on les juge. 
Le mental et l’émotionnel constituent des filtres qui voilent la vision et faussent l’entendement. Tant qu’une situation est perçue au travers du jugement, ça veut tout simplement dire qu’un des corps a besoin d’équilibrer les énergies. Le mental se perd dans les explications compliquées et peut être ramené dans le juste milieu par la respiration consciente. 
C’est comme si le seul fait de respirer en profondeur suffisait à calmer le jeu du « je » apeuré. 

Quand je vois que je joue un des rôles du triangle émotionnel, à savoir celui de la victime, du bourreau ou du sauveur, je me contente de le noter, de voir ce qui est. 
Pour être totalement honnête, je bloque encore un peu mais en appliquant le lâcher prise, peu à peu, la tendance à juger disparait en même temps que l'identification à l'un des personnages. On passe de la nécessité de juger, de choisir même, à la confiance totale en soi. Ceci dit, je n’ai aucune idée de l’endroit où me mènera ce nouveau comportement. Ce qui m’incite à continuer en ce sens, c’est juste, pour le moment, le confort que ça me procure dans l’instant.

Je sens que cette attitude correspond à mon cheminement, à ma volonté de vivre à partir du cœur, que d’une certaine façon, c’est tout à fait logique selon ma foi mais comme les résultats dans la matière ne sont pas spectaculaires, je pourrais penser que ça n’est pas si efficace. Mais en fait ça me rassure plutôt de constater la "lenteur" du changement. 
Je connais de mieux en mieux comment fonctionne le mental et les stratégies de l’ego qui tend à vouloir changer radicalement, à forcer les choses et à attendre quelque chose d’extraordinaire pour que la foi se confirme et en même temps pour nourrir le besoin de reconnaissance extérieure. Il est en quête de preuves, de sensationnel, passe son temps à projeter, à idéaliser, s’attache à l’image, aux apparences, au qu’en dira-t-on, cherche à s’identifier à ce qu’il juge « supérieur ». Bref, il existe en surface, trouve sa raison d’être dans le jugement, l’attraction et le rejet.
Le discernement est nécessaire pour choisir, agir, mais ça n’a rien à voir avec le jugement qui se réfère à des croyances. La croyance par définition, se base sur une vision duelle des choses et très souvent on trouve son origine dans l’enfance, à une période où nous cherchions l’approbation de ceux qui représentaient notre unique référence. 
Même si l’expérience est utile à la progression, ça doit rester une référence parmi tant d’autres. Tant qu’on se fie au raisonnement mental, on n’a qu’une seule perspective de la situation. Quand on réalise le processus d’accueil de l’émotion, la vue s’élargit grandement et le point de vue est alors global. On pourra choisir en connaissance de cause. Jusqu'à se rendre compte que même le choix est obsolète quand on se laisse guider par le divin.

Il n’est même pas utile de planifier notre changement puisqu’en suivant le cœur, en se libérant des rôles par la désidentification, l’être vrai apparait. Il agit selon l’amour vrai de soi et ne se fie pas aux croyances extérieures pour se situer. Il n’a pas besoin de se situer d’ailleurs puisqu’il réside au cœur de l’être, il a juste besoin que les masques tombent pour se révéler. 
Je suis allée faire mon tour quotidien sur le site de Monique Mathieu où je trouve toujours l’écho de mes pensées du moment, de mes interrogations. Quand je dis que je ne cherche plus à comprendre ça n’est pas tout à fait vrai, je continue de réfléchir mais ça n’est plus une obligation, mon bien-être ne dépend plus des réponses, très souvent, je me contente de formuler une question et je laisse venir les réponses naturellement. 
Puis je laisse faire en me disant en plus que très souvent, les réponses n’ont qu’un intérêt, celui de me rassurer, de me ramener sur la voie du cœur, de me rapprocher du divin intérieur, de m’aider à lâcher prise. Je me fie plus au ressenti qu’aux interprétations mentales qui se référent toujours au passé et me font tourner en boucle.

Le changement se réalise en commençant par penser autrement, en sortant de la vision duelle, tranchée, radicale. Sachant que tout nous reflète notre monde intérieur, inconscient, lorsqu’on ne juge pas ce qui se vit à l’intérieur, on ne se permet pas de juger ce qui se voit à l’extérieur. D’autant que la vision se rattache à l’illusion, à la surface. 
Si on veut avoir une version objective des faits, il nous faut voir en profondeur, ressentir et déterminer le type d’énergie qui porte l’idée afin d’en connaitre la teneur et l’origine. 

Il n’y a pas trente six façons d’interpréter les faits, soient à partir de l’amour, soit à partir de la peur. Mais là encore, ça n’est pas si tranché, il ne s’agit pas de rejeter la peur ou l’idée qui en émane mais de ramener tout au cœur afin de libérer la surcharge énergétique, l’excès. Une peur renseigne sur les besoins, les manques et aide à revenir au cœur puis à réfléchir à la façon de répondre au besoin exprimé.
Je dois dire que je ne m’embête plus à appliquer tout ce raisonnement. Il a été important de reconnaitre le processus, sa pertinence, mais maintenant, j’agis simplement en suivant l’élan. Puis ensuite, je me contente d’observer les résultats. Selon ce que je ressens dans pareille situation, je saurais si ça me correspond ou pas, dans l’instant. Comme nous sommes en perpétuelle évolution, un geste peut être utile voire salvateur à un moment donné et plus du tout approprié par la suite.  

Clef 618
Il faut que vous appreniez à laisser vivre à vos proches, à vos amis, tout ce qu’ils ont à vivre. Ce sont parfois des êtres qui sont venus sur ce monde avec « de grosses valises ». La seule chose que vous pouvez faire pour eux c’est interférer le moins possible dans leur vie, les laisser vivre, même s’ils « reçoivent des coups », et les aimer. N’essayez pas d’interférer dans leur vie, vous n’y pourrez rien ! Vous les aiderez avec l’Amour que vous pourrez leur donner. Il ne faut absolument pas que vous preniez leurs souffrances sur vous, qu’ils vous déstabilisent, parce que vous avez une autre mission que celle de vous laisser déstabiliser par vos proches.  

C’est vrai que lorsqu’on connait la force de l’amour, les guérisons par le lâcher prise, le mieux être généralisé, on a envie de partager nos découvertes surtout avec nos proches. Mais c’est oublier que nous devons le mieux être au fait d’accueillir les émotions, d’accepter ce qui est. 
On vit ce processus dans le cœur et c’est cette responsabilisation qui donne des résultats, nous amène à devenir autonome à bien des égards. C’est de cette façon, au cœur de l’être que l’alchimie s’opère, que le divin se manifeste et qu’on devient souverain de son monde. Quand on honore tous les aspects de la personnalité sans pour autant s’attacher à aucun d’eux qu’on comprend que le jugement est une forme de résistance, de non amour, on constate que ce qui nous libère, c’est l’amour vrai de soi, que nous n’avons qu’une seule mission, gérer notre propre monde. 
Comme on goûte les bienfaits de l’abandon de tout jugement, on comprend que juger les autres c’est fonctionner à partir de la peur, du déni du divin en soi et en l‘autre. 
La permissivité nous rendant libre et heureux, on aura à cœur de l’appliquer à tous.
On appliquera la gestion émotionnelle chaque fois qu’une situation extérieure suscitera en nous un déséquilibre, une colère, une peur, une croyance de l’ego. De cette façon, non seulement on se libère de l’emprise de la peur, de l’ego mais en plus on se désolidarise de l’inconscient collectif. En apprenant à se fier à son ressenti, à ses convictions intimes, on choisit de suivre notre cœur, notre âme, le divin et on n’a plus besoin de se justifier, d’argumenter puisqu'on se valide soi-même. 


Clef 524
Même si vous vivez quelques désagréments, soyez conscient de la chance que vous avez !
Soyez également conscient de l’aide considérable que nous pouvons vous apporter. Vous n’y pensez pas suffisamment ou bien vous doutez.

C’est vrai qu’au début, quand on commence à découvrir qui on est en vérité, il est bien difficile d’admettre qu’on ait autant de pouvoir en tant qu’être divin. On a du mal à croire que nous sommes mus par quelque chose de grandiose, que l’amour puisse venir de notre propre cœur. Ce qui est tout à fait logique puisqu’on ne se connait pas en totalité. 
Notre quotidien formé à partir de nos croyances inconscientes, alimentées par nos peurs, est si peu glorieux qu’on doute d’abriter l’étincelle divine. 
Mais quand on commence à vivre à partir du cœur, à ramener tout au centre, le quotidien devient magique puisque peu à peu, l’énergie de l’amour inonde tout nos corps entrainant mieux-être, guérison, synchronicités, rencontres…
On demande de l’aide à notre âme, aux anges, aux archanges tant que notre vision du divin demeure mentale, intellectuelle, mais peu à peu, l’intimité avec le divin en soi, avec l’âme, le développement de notre intuition, les nombreuses guérisons qui s’en suivent, la reconnaissance de tous nos aspects, ne laissent aucun doute quand à notre pouvoir divin qui n'est autre que le pouvoir d’aimer. L’appel à l’aide extérieure disparait à mesure que l’amour vrai de soi nourrit la confiance en soi.

Clef 206
Avoir peur de la maladie, c’est déjà la créer, lui donner une certaine existence. Renier la maladie, c’est lui fermer les portes !

Si elle s’est installée furtivement à votre insu,  reniez-la à chaque seconde. Dès qu’elle se manifeste, dites-lui : « tu n’existes pas, je suis en parfaite santé, je t’aime mais tu n’as plus rien à faire en moi ».

Envoyez de l’Amour sur ce qui n’est pas parfait dans votre corps. Ayez  totalement confiance en votre Être Divin qui peut accomplir des miracles, car le moindre doute freine votre guérison.

J’avoue que ça demande une grande foi puisque c'est une façon d'agir, de penser qui va à l'encontre de toutes les croyances du monde, mais comme en suivant son cœur, on communie avec l’âme, la foi grandit et on libère la peur en se maintenant sur la fréquence de l’amour, ces expériences nous élèvent et on peut reconnaitre le pouvoir d’aimer puisqu’on en goûte les bénéfices au quotidien. 
Quand on lâche les croyances mentales, la foi devient vivante et connaissant le pouvoir de l’amour, on utilise ses fréquences pour guérir. 
Il ne s’agit pas de nier la maladie mais de la voir dans une perspective plus large, de détecter les blocages énergétiques et ainsi d’en diminuer l’impact. L’expérience nous amène à vivre des guérisons miraculeuses et la foi en est fortifiée. 
On va nourrir alors la foi que l’amour peut tout, plutôt que la peur de mourir ou de souffrir. 
De plus, quand on gère ses émotions, on comprend que la souffrance vient de notre résistance à laisser faire, à accepter ce qui est.
En ne jugeant pas, on a donc une large perspective de la situation et en même temps, on ne s’attache pas à ce qui est. On comprend que parfois, la meilleure chose à faire, c’est de s’abandonner totalement, en toute confiance. Surtout quand il s’agit du comportement d’autrui. 
Nous n’avons aucun pouvoir direct sur les autres et parfois, l’expérience est vécue uniquement pour comprendre et accepter cette vérité. 

Clef 676
Soyez bien à l’écoute de vous-même. Dans les jours et les mois qui viendront, vous découvrirez d'autres choses, c’est-à-dire d’autres façons d’être, d’autres façons d’aimer, d’autres façons de manifester la joie.

Je confirme ! En se contentant d’observer ce qui est, on peut voir par exemple que l’ennui précède un changement de comportement et c’est en ayant libéré le poids du jugement à ce propos qu’on peut en voir l’essence, l’utilité de cet état. 
Il est onze heures et je n’ai pas encore pris un seul bout de médicament ! C’est un petit grattement au plexus qui m’y a fait penser. Je peux constater que le changement se réalise en douceur, sans même le planifier, sans que la volonté intervienne dans la mise en place d’une stratégie quelconque mais au contraire en s’abandonnant en toute confiance à tout ce que je suis. 
C’est ce point qui est décisif, tant que je doute de la pertinence de ce qui se manifeste en moi, je ne peux voir le divin qui sous-tend chaque geste. Si je suis paralysée par la peur, hypnotisée par elle parce que je ne la connais pas, je ne peux pas la voir telle qu’elle est en vrai. Quand je laisse vivre une émotion en moi, puisque j’apprends à la connaitre dans son ensemble, comme je ne la juge pas, je ne la limite pas, elle n’est plus une ennemie et je peux même voir qu’elle participe de façon positive à ma réalisation. Ce constat m’amène à comprendre que les interprétations du mental/ego n’ont aucune valeur, ce qui facilite le lâcher prise.  

Clef 327
Ne vous révoltez pas contre vos conditions de vie, quelles qu’elles soient ! Ne vous révoltez pas, même modérément, contre un travail trop prenant ! Ne vous révoltez pas en raison des soucis que vous pouvez avoir ! 
Vous verrez bientôt à quel point votre existence deviendra simple si vous vous laissez couler dans le fleuve de la vie ! Il faut que vous vous prépariez, car bientôt plus rien ne sera comme aujourd’hui, les valeurs seront totalement différentes, les vraies valeurs referont surface.

Finalement, le rejet, le déni, d’une part de soi est une forme d’extrême violence et c’est en ayant une attitude d’accueil, d’acceptation, que la paix et l’amour se manifestent en soi. Quand on en fait l’expérience, on peut lâcher l’identification uniquement au mental et c’est ainsi que le divin se révèle ne laissant aucun doute quand à nos origines divines. 
En apprenant à faire confiance à notre cœur, en se laissant guider par lui, non seulement on se préserve de tout regret, mais on constate avec du recul qu’il ne nous trahit jamais et que c’est notre doute qui freine son expansion. Parfois, il nous amènera à vivre des situations difficiles mais ça n’est que pour voir ce qui est vraiment, les stratégies egotiques, afin de s’en libérer.

Clef 387
Il faut que vous puissiez couper avec tout ce que vous avez pu vivre, que ce soient vos manquements, votre souffrance affective, la violence verbale ou physique que vous avez pu subir ou le manque d’Amour ! Il faut aussi que vous puissiez pardonner !

Retournez en arrière pour voir ce qu’a été votre vie et voir ce qui vous a manqué ! Ce n’est pas si difficile à faire ! Essayez de vous repasser le film de votre vie et voyez où il y a eu des coins d’ombre. Surtout, n’en veuillez pas à vos parents qui sont ou ont été des magnifiques professeurs ! Ils sont là pour vous apprendre à vous dépasser et non à rester sous leur coupe !

Quand on apprend à voir à partir du cœur, note compréhension des choses change totalement. La meilleure façon de se libérer du passé, c’est de nourrir soi-même son besoin d’amour justement en étant dans la totale acceptation de ce qui se manifeste en soi. Quand on voit qu’on agit pour obtenir de la reconnaissance vis-à-vis de l’extérieur, au lieu de s’en vouloir, de se juger, on va se dire qu’une part de soi, généralement l’enfant intérieur, demande de l’attention et en se tournant vers lui, simplement en ne refoulant pas les émotions, on ne revit plus le rejet dont nous avons tant souffert. On apporte une nouvelle réponse à nos manifestations de manque et peu à peu cette notion révèle l'abondance dont nous jouissons en tous points. Quand on ne projette plus rien et qu'on est confiant en la bienveillance de la vie, du divin en soi et qu'on ne rejette plus rien de soi, on peut alors constater les nombreux cadeaux que la vie nous offre. Tout dépend de notre vision et quand on observe à partir du cœur, la gratitude est une évidence.

Clef 370
Pour fusionner avec votre partie Divine, il faut que vous soyez en paix avec vous-même, que vous vous reconnaissiez, que vous reconnaissiez votre mission sur Terre. Vous prendrez de plus en plus conscience de ce que vous êtes ! Dès lors que vous acceptez complètement votre humanité, il n’y a plus de souffrances, il n’y a plus de complexes, il n’y a plus de peurs, et il arrivera même un moment où il n’y en aura plus du tout.

Là aussi, je suis entièrement d’accord avec ses propos puisque c’est exactement ce que j’expérimente. La peur demeure mais comme elle n’est plus considérée comme une ennemie, un monstre, elle est perçue comme une messagère de l’être, elle est écoutée et ça suffit à l’équilibrer, à la dégonfler. 
Puis concernant la mission, elle est selon moi, la même pour chacun, passer d’une vision egotique, dichotomique, a celle du cœur beaucoup plus complète et harmonieuse. 
Ce changement de perspective ouvre le cœur et la conscience s’élargit révélant le divin en soi. L'abandon du jugement permet de voir que nous sommes multidimensionnels.
On passe de la fréquence de la peur à celle de l’amour sans conditions et c’est ce passage qui constitue l’ascension selon ma compréhension des choses.    


Clefs de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org
Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci