Juste avant de fermer le blog et le navigateur, j’ai
entendu « Y’a un message chez Pamela » et le voilà, enfin c’est la
Terre qui s’exprime à travers Pamela Kribbe ! On ne se connait pas personnellement bien que j'aie assisté à un de ces channeling (le seul auquel j'ai participé en 10 ans) à Esperaza, dans l'Aude, mais j'ai toujours senti une proximité au niveau de l'âme, du contenu et de la forme des messages qu’elle reçoit ...
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
mercredi 26 février 2014
« Le pouvoir de l’Amour et de la Lumière est considérable » par Monique Mathieu
Bien que ce qui suit me parle à plusieurs niveaux, je
n’adhère pas à tout ce qui est dit ici. Du moins je n’entends pas les mots « mission »
par exemple, dans le sens de devoir ou « travailleurs
de lumière » comme une catégorie de la population qui serait « supérieure »
aux autres, plus évoluée. Il y a dans le monde, des gens dont le cœur est
ouvert, qui sont aimants naturellement, sans même avoir conscience du divin
puisque nous sommes Tous des êtres d’Amour et de Lumière et par ce fait, en
communication avec le divin intérieur, qu’on le nomme ou pas. De même, la
notion « d’exemple » prête trop souvent à confusion et a tendance à
positionner en dehors de soi-même, dans un rôle…A chacun de puiser ce qui lui
convient dans ce message…
"Clefs de sagesse" piochées sur le site de Monique Mathieu
Voici donc quelques clefs de sagesse piochées sur le site de
Monique Mathieu, tout à l’heure. En général, elles sont un reflet de mon état d’esprit
du moment, des thèmes que je visite et même si ça n’est pas toujours « agréable »,
ça me donne un autre regard qui peut m’aider à avancer, pour peu que je n’en
fasse pas une vérité absolue...
Je m’amuse à piocher de temps en temps parce que
selon ma réaction à ce que je lis, je peux voir en plus où j’en suis, selon ma foi et mon intuition, au niveau
détachement, pouvoir personnel, masques…
Je précise que j’ai écrit le texte de
ce matin avant d’aller sur ce site. Vous pouvez constater par vous-même, en
lisant les deux, la stupéfiante synchronicité ! Je vous suggère de vous y rendre
et de jouer au jeu de « hasard » ! Le lien pour y accéder est en
fin de message.
Mais une fois de plus, c’est un regard extérieur qui ne
remplacera jamais votre propre intuition, ressenti, sinon vous ne seriez pas
ici, tout comme moi.
Je suis partie de l’école à seize ans parce que je ne
sentais pas que j’y apprenais quelque chose de valable et maintenant, j’ai l’impression
d’être sans arrêt invitée à y retourner.
Et comme à l’adolescence, ça me
gonfle. J’ai tout ce qu’il faut, des corps pour ressentir, agir, penser et
vibrer l’ amour et surtout l’envie d’être libre ça n’est donc pas pour
passer d’un conditionnement à un autre, dicté par des sages…Puis surtout, je m’en
fous de gagner un quelconque diplôme, de passer une classe « supérieure »,
ce que je veux, c’est Vivre pleinement, entièrement, être en relation avec le monde
qui m’entoure, dans la joie, la transparence, le respect mutuel et la
simplicité du cœur…
Les enfants; nos plus grands enseignants!...vidéo "jardiner autrement" Yves Gillen
Réveillée à quatre heures par un coup de tonnerre
puissant, je me suis levée avec quelques
vagues souvenirs du rêve de la nuit. Plutôt l’impression d’avoir encore
« voyagé », rencontré d’autres âmes, en d’autres lieux…
Le fait que je
ne m’en souvienne pas vraiment mais qu’il me reste tout de même une légère
sensation de retour aux sources, me permet d’être libre d’agir et de penser,
d’avoir la curiosité et l’enthousiasme de suivre mon cœur. Je suis tellement
sure maintenant que la source divine s’écoule en moi et en toute vie, que je
n’ai plus besoin de « voir ».
Chaque représentation du divin
correspond à un besoin, une peur et je me rends compte que lorsque je suis en
confiance vis-à-vis de la vie, de moi-même aussi donc, la forme n’a aucune importance,
je suis même heureuse que le divin soit « de l’énergie », qu’on ne
puisse pas le limiter, l’enfermer, ce qui le rend réel, éternel, omniprésent.
Chaque fois que je lui donne une forme, que ce soit celle d’un ange, d’un
maitre ou d’un guide, chaque fois que j'essaie de l’expliquer en concept, je sais que
c’est mon mental qui a besoin de repères, qui s’exprime et cherche à comprendre, à "s'emparer". Je
n’invalide pas pour autant cette vision puisqu’elle est normale, légitime,
c’est en cherchant qu’on trouve encore faut-il savoir ce que l’on cherche...Puis l'image, l'imagination créé une multitude d’œuvre d'art, d'objets...
mardi 25 février 2014
« L’instant présent et ce qui l’encombre » vidéo de Darpan, après une longue intro perso
Il y a bien longtemps que j’avais écouté de la musique !
Ce mélange de points de vue, de musique diverses et variés, m’amène à
considérer la vie comme une succession de chansons, de scénettes, qui peuvent
émouvoir, donner à réfléchir ou seulement divertir, inviter à se laisser aller
à suivre le rythme, le tempo. Chaque instant nous pouvons choisir si nous sommes
acteur ou spectateur, selon notre envie de sentir de l’intérieur ou de l’extérieur.
Tant qu’on croit que la scène est réelle, qu’on s’identifie au personnage, on
va souffrir, ou rire, selon le décor, l’ambiance, le scénario.
Ce qui me réjouit, maintenant que je peux avoir un peu de
recul sur ce qui arrive, c’est que peu à peu, je me détache du rôle, du
personnage, tant celui de l’acteur que celui du scénariste. Même si j’ai l’illusion
de croire que je dirige ma vie, chaque fois que je pense en comprendre le sens,
quelque chose vient tout bouleverser pour m’amener au-delà du mental. Oui je créé ma vie, j’attire des
choses, événements selon ce que j’émane mais, je ne suis pas seule sur la
scène. D’autres envoient leurs ondes qui viennent croiser les miennes, les
amplifier ou les choquer. C’est un tel fatras qu’il est
impossible de faire entendre sa propre mélodie sans que ça créé un genre
cacophonie. On peut le voir comme un gros bazar ou comme une explosion de vie
et la question finale est à quoi ça sert ? La réponse semble être : à
rien.Il y a certainement une logique, un sens a tout ça mais je ne cherche plus, enfin en ce moment.
"Intégrer l'amour impersonnel"...et un message d'Inelia Benz "L'art de ressentir les réactions du coeur"
Toujours attentive à ce que la vie me renvoie par la loi d’attraction,
j’apprends à faire le tri entre ce qui est de l’ordre de l’effet miroir et les
créations des autres. Même si toute interaction implique une cocréation, elle
ne révèle pas forcément la même chose aux deux protagonistes. J’apprends à
mieux écouter, à lire l’énergie derrière les mots et à prendre le recul nécessaire
afin de ne pas être en réaction mais juste en observatrice d’une leçon de vie. Sans
tomber non plus dans l’ingérence, sans chercher ce que l’autre pourrait avoir à
apprendre dans la situation. Comme je suis persuadée que nous sommes uniquement
responsables de ce que nous vivons, ça implique de ne pas s’occuper des
créations de l’autre. Lorsque mon propre espace est bousculé, je regarde d‘abord
ce que ça éveille en moi et c’est cette phase qui me pose encore problème
puisque lorsque je reconnais mon erreur et l’admets, l’autre en fait une
occasion de se grandir oubliant totalement qu’il n’est pas parfait. Je me dis
que la victime réagit encore et en l’entourant d’amour, elle se transforme
livrant des qualités telles que l’empathie, le sens de la fraternité, l’absence
de jugement, la sensibilité…
Chaque émotion, défaut, contient les deux polarités énergétiques
et devient défaut lorsqu’il y a un excès de lumière ou d’ombre. En se situant
dans le cœur, celui-ci peut amener l’équilibre et la vision neutre. Ainsi, rien
en soi n’est rejeté, refoulé mais juste rééquilibré. J’avoue que ça n’est pas
facile et que très souvent, il me faut un certain temps de pause pour arriver à
me situer dans l’espace neutre du cœur.
lundi 24 février 2014
"Ici et là"...puis Darpan: vidéo méditation guidée.
Lisa Rodden |
Je
ne sais ce qu’il en est pour vous mais je plane à quinze mille ! Je ressens
le besoin de m’ancrer pour ne pas être déstabilisée par la sensation d’être à
plusieurs endroits à la fois. Ce n’est pas comme lorsqu’on est toujours dans
ses pensées, je suis relativement présente à ce que je fais mais je me sens
tellement peu attachée à ce qui est, que ça s’approche de l’absence. Je suis
tombée sur une de mes photos, retouchée, sur Facebook et malgré la sensation d’avoir
été spoliée, je me suis contentée de signaler que j’avais demandé de citer mon
nom en cas de diffusion des textes ou photos. La même chose s’est produite vis-à-vis
d’un texte dont l’intégralité n’avait pas été respectée.
Comme
il n’y a pas de hasard, je me tourne vers l’intérieur et constate que la
victime, le passé, n’ont plus autant d’impact sur le présent. Mais il y a aussi
là dedans comme un besoin de se situer, de trouver le juste milieu. Très souvent,
sur Facebook, les images sont partagées sans que le nom de l’auteur soit cité.
Au début, je me disais « c’est généreux de partager quelque chose qui
appartient aux autres », avec une certaine stupéfaction qui peu à peu est
devenue ironie. Je cogite sur le sujet et plusieurs arguments me viennent. Le
sens de la propriété peut être considéré comme de l’attachement mais d’un autre
côté, nous existons en tant qu’individu et ce que nous produisons, ce qui émane
de soi est comme une de nos créations. Ne pas mettre le nom de l’auteur c’est
rendre l’œuvre orpheline, nier l’existence de l’auteur, sa paternité. S’il est
vrai que nous ne sommes pas uniquement cette personne, cette enveloppe, elles
constituent tout de même notre forme, notre singularité, une part importante de
nous-même.
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