vendredi 13 décembre 2013

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jésus via James Twyman, leçon 9



 
Keith English
Aujourd’hui, nous commencerons par une pensée qui est le fondement de votre travail de guerrier spirituel. Elle représente l’expérience que vous cherchez, la récompense que vous savourerez. Quand vous l’aurez pleinement intégrée en vous, quand vous arriverez à prononcer cette phrase en toute confiance, alors vous saurez que vous êtes arrivés là où vos dons peuvent être offerts à l’Esprit de Vérité. L’Esprit se servira alors de vous, et vous saurez pourquoi vous êtes arrivés sur cette planète.
« Ma coupe est pleine »
Répétez cette phrase encore et encore, essayez de sentir l’énergie qui vient envelopper votre âme. Que veut-elle dire pour vous ? Comment devenir la coupe qui déborde de Grâce Divine ? N’est-ce pas ce que vous cherchez réellement ? Comment pouvez-vous donner aux autres ce dont vous n’avez pleinement pris conscience vous-même ? Ne croyez pas que dans votre humanité vous puissiez vous purifier de la pulsion de vous mettre en avant. Peut-être cela ne reflète-t-il pas la Vérité en vous, mais l’ego a toujours été un invité bienvenu dans votre maison. Vous oubliez rapidement qu’il était invité à rester, et donc vous n’aviez pas à prolonger son séjour. Si vous ne pouvez vous en défaire, la Grâce le peut. Pour cela, il vous faut l’acceptez pleinement et lui offrir l’ouverture qu’il désire : l’Intégrer plutôt que l’éliminer. Il partira alors de lui-même, vous permettant dès lors de Voir qui vous êtes vraiment : le Moi que vous avez toujours été, même quant vous rêviez à d’impossibles mondes.

"Le Peuple des Aigles" via Caroline Leroux



Vladimir Metcger

Salutations. Nous sommes les maîtres du Ciel et de l’élément air, que nous partageons avec nos frères les Condors. Nous sommes pourvoyeurs de justice et messagers divins, chevauchant plusieurs dimensions à la fois. Nous sommes le peuple des Aigles, agiles, rapides et féroces lorsqu’il le faut. Nous sommes les gardiens de l’équilibre des écosystèmes que nous survolons, ceux qui sont visibles et ceux qui ne le sont pas.
Notre don, notre plus grand cadeau est notre incomparable vision, celle des yeux, capable de repérer une proie à plusieurs centaines de pieds au-dessous, et celle de l’Esprit, la vision qui englobe le Grand Tout et qui sait ce qui se passe bien au-delà d’un simple habitat.
Nous avons la vision d’ensemble et notre dévouement est à garder l’équilibre entre le ciel et la terre, l’équilibre entre les différents mondes éthériques et l’équilibre physique, terrestre.
Nous, les Aigles, comme beaucoup de nos frères, travaillons aussi bien le monde terrestre que les mondes invisibles. Nous savons ce qui est écrit dans les Grandes Tablettes du temps. Voilà pourquoi les peuples aborigènes nous respectent tant: nous sommes connectés aux Bibliothèques Akashiques* et nous savons y lire les destinées des Âmes.
Lorsqu’un Être cherche à savoir ce qui y est inscrit, nous sommes les meilleurs guides! Nous avons la vision des différents mondes et comment ceux-ci s’inscrivent dans le temps, outil illusoire de la 3e dimension. Nous avons toujours été très sollicités lors des cérémonies de quête de visions et pour cause! Notre sagesse, nos cadeaux vous amènent à faire les bons choix, ceux qui viennent de la connaissance profonde!

Reconnaissance et gratitude...



Facebook TransLight


La petite révision matinale des événements de la veille, dès le réveil, me permet de faire l’état des lieux et de voir où j’en suis dans l’amour, la confiance et le respect de soi. Si je suis cohérente, et maintenant, si je respecte le contrat passé hier, avec les différents aspects qui me constituent. La phrase qui est venu assez rapidement est la suivante ; 
"tu n’aurais pas dû citer des noms hier", puis juste derrière, "on a dit qu’on honorait chacun de nos aspects intérieurs. Puis nous n'avons pas cité les personnes qui nous ont blessées ou qui ont eu un comportement hautain, puisque nous y avons vu l'occasion de nous réunir, de nous "serrer les coudes", en ce sens, nous reconnaissons le divin en elles, la "mission" de leur âme. Honorer tout le monde, inclut la part "immature" qui a besoin de reconnaissance et d’amour. D'autant plus qu'elle nous pousse à nous tourner vers les autres, elle est donc très précieuse. On peut dire que celle-ci, a plutôt été maltraitée dans l’ensemble, au point que le christ intérieur ait dû intervenir avec toute la puissance de son amour, à plusieurs reprises, obligeant les gardiens, ou plutôt stupéfiant les gardiens qui pour le coup ont été littéralement absorbés en cette énergie. Ce "miracle" leur a permis de s’associer au mental dans sa quête de vérité et d’adopter des stratégies de protection beaucoup moins rigides. La possibilité d’une ouverture s’est inscrite en eux permettant ainsi, par la suite, au flux d’amour d’atteindre l’enfant intérieur régulièrement. Ce denier a été rempli de cette énergie bienfaisante, guérissante, consolatrice d’une façon si puissante qu’il a pu guérir une grande part de ses souffrances et ainsi de pouvoir exprimer sa joie naturelle. En même temps se sentant reconnu et honoré dans ses besoins d’aimer et d’être aimé, il a participé à adoucir ma personnalité et mon comportement général.

jeudi 12 décembre 2013

L’union intérieure fait la Force



Lydia Féliz


Quand on a souffert, peu importe la raison, le degré d’injustice, de rejet, d’abandon, de trahison ou d’humiliation qu’on ait subi, ce qui en mesure l’intensité, c’est la façon dont nous l’avons vécu, encaissé, traduit et les séquelles que nous en gardons. Il n’y pas de hiérarchie dans la souffrance ni d’ailleurs dans la valeur d’une personne. A l’image du monde qui se dispute pour savoir quel est le peuple qui a le plus souffert et donc qui mérite la plus grosse réparation, ce qui est vécu à l’intérieur, peut être estimé par celui qui l’a ressenti dans sa chair.
La seule chose certaine, c’est que nous pouvons guérir par nous-même. Je dis bien par nous-mêmes. Lorsque nous cessons de définir les différents aspects qui nous composent en terme de mauvais, de bon ou de meilleur, nous sommes dans l’illusion et nous nous privons de la joie qu’apporte la décision de vouloir se prendre entièrement en main. Littéralement.
Je viens de m’adresser à ces parts intérieures de façon sincère en les considérant comme des aspects valables et légitimes, dont je ne peux me défaire parce qu’ils sont moi toute entière. 
La souffrance vient de la lutte permanente, du fait qu’en rejetant un des aspects de notre être, peu importe ce qu’il est, nous reproduisons les mêmes scènes que nous avons subies et qui nous maintiennent encore aujourd’hui dans la souffrance.

Savoir puis agir en conséquence...rédigé par Michèle Végé




Je voudrais partager avec vous cet article de Michèle Végé. C’est en me promenant sur Facebook que je suis tombée dessus et comme il permet de comprendre les choses de façon logique et censée, j’ai décidé de le publier. Il y a une différence entre juger, prendre parti et devenir conscient puis choisir son mode de vie. Chacun participe à l’état du monde actuel en faisant des choix au quotidien. La nourriture, le style de vie, la façon de consommer, créent autant notre état d’être et notre environnement que notre foi, notre façon de penser, de voir la vie; tout est inter relié. L’harmonie, la cohérence et la paix viennent quand on ouvre sa conscience et son cœur. Internet permet aujourd’hui de savoir et d’agir en connaissance de cause...
Je dois dire que je suis très chamboulée depuis hier puisque j'ai lu quelques articles de cette personne qui a le don de toucher l’âme. La photo de moi enfant, vient d’apparaitre sur l’écran de veille de l’ordi, alors que j’en ai des milliers ! Pas de hasard ; ça me travaille, à l’époque j’aimais la viande parce que je savais combien ça coûtait à ma mère de devoir aller travailler pour nourrir toute la famille et la valeur qu’elle accordait à ce produit qu’elle pensait indispensable à l’organisme. Donner de la viande à ses enfants, c’était sa façon de nous démontrer son amour...Certainement qu’ayant vu son père tuer des lapins pour agrémenter le repas dominical, elle avait dû associer ça à l’image du courageux chasseur qui ramenait du gibier au péril de sa vie. La notion de sacrifice était très présente, à la mesure du nombre de paroissiens...
Alors si vous mangez encore de la viande, comprenez que c’est inscrit très profondément en vous et qu’il faut accueillir les émotions qui peuvent émerger lors de ce genre de prise de conscience et ne surtout pas en faire une occasion de plus, de culpabiliser. Puis en ayant de la gratitude pour l’animal qui vous offre sa vie, afin de vous nourrir, en limitant les quantités, en achetant chez des petits éleveurs, vous pouvez vous "sevrer" en douceur et faire ainsi un pas de plus vers l’amour de soi et de la vie. Il ne s’agit pas non plus de se faire violence, cet égrégore est arrivé à saturation, mais de laisser « infuser » l’info pour qu’elle aille de la conscience au cœur. 

La seule révolution nécessaire, efficace, c’est le mouvement qui consiste à se tourner vers l’intérieur.



Auteur inconnu


Encore réveillée à 3h, je n’ai pas pu me recoucher tant je commençais à réfléchir, en reprenant les événements d’hier puis en les revisitant, avec le recul favorisé par une courte mais néanmoins, régénérante nuit de sommeil. Je constate que plus on s’ouvre à la lumière, plus on élargit son cœur et plus on en reçoit. La source agit toujours de la même façon et l’humain divin y réagit selon son degré de conscience et sa capacité à l'accueillir. En général, les gardiens intérieurs, ces parts de nous qui font en sorte de préserver un semblant de paix, empêchent que la lumière soit trop violente et on peut les remercier d’avoir ce réflexe. En effet, recevoir et intégrer la lumière de la source, n’est pas sans effet, ça peut produire un choc puisque qu’on voit tout ce qui est en soi. Tout comme le soleil de midi qui s’infiltre par la fenêtre révèle le voile de poussière sur les meubles, qui était invisible la veille au soir, la lumière de la source révèle les ombres que nous nous efforçons de dissimuler ou de refouler inconsciemment ou volontairement. Ce qui est magnifique avec cette lumière divine, c’est qu’elle est chargée d’amour et lorsqu'elle s'infiltre par le cœur, les prises de conscience se réalisent alors en douceur. Plus nous ouvrons notre cœur par l'acceptation de ce qui est, et plus nous avons de facilité à l'intégrer.
L’humain, lorsqu’il veut ouvrir la conscience des gens, s’y prend très souvent de façon agressive pensant que l’impact sera plus fort donc plus efficace; Le drame, c’est qu’il n’en est rien, au contraire ceux qui reçoivent des infos assénées avec violente, par réflexe naturel, érigeront un mur afin de se protéger. Les uns comme les autres, étant fragiles émotionnellement, les réactions sont forcément tranchantes de part et d’autre. Il s’en suit des conflits, des discussions à n’en plus finir où chacun affirmera ses convictions avec fermeté puisque c’est justement celles-ci qui constituent la base de leur personnalité.

mercredi 11 décembre 2013

"L’alimentation poison ou remède" par Marie Dulout



le jardin en juin


Voici un article en parfaite résonance avec mes convictions profondes. Ceci dit, je ne vais pas changer du jour au lendemain, agir par peur ou par culpabilité. Je laisse pénétrer l’info dans ma conscience et mijoter afin que le changement s’opère de façon spontanée. J’ai observé que la prise de conscience associée à l’écoute de son corps, de son cœur et le lâcher prise permettait à tous les corps de s’harmoniser naturellement puisque c’est leur « programme », tout comme la régénération cellulaire. Ce sont nos peurs, nos doutes, notre façon de vouloir contrôler qui empêchent l’équilibre naturel qui interfère dans le processus orchestré par le cœur. Son intelligence et sa fonction de « premier cerveau » qui envoie des « ordres » aux cellules sont prouvés par la science d’aujourd’hui, voir la vidéo dont le lien figure en fin de texte. Je viens de visiter le site d'où et issu cet article et la jeunesse de son auteur me stupéfie! Je m'attendais à trouver une personne d'un certain âge tant le contenu de ces articles est rempli de sagesse! Une fois de plus, les "à priori" sont tenaces! C'est par ce genre d'anecdote que l'on peut voir l'état de ses croyances, l'influence de celles-ci sur notre perception des choses. D'ailleurs, depuis que j'ai lu la leçon d'hier sur l'art de faire la paix spirituellement, je constate que j'étudie sur le terrain les vertus qui y sont énumérées.  Les trois derniers jours m'ont fait vivre la compassion en profondeur et cette fois-ci, j'ai bien l'impression que les projecteurs sont tournés vers la clarté, la capacité de voir les choses telles qu'elles sont et non telles qu'on les imagine. Je peux aussi constater que je lâche de plus en plus la culpabilité. J'ai laissé la casserole d'eau à bouillir pendant une heure sur la gazinière! Au début, quand ça m'arrivait, je vivais carrément de la peur, celle de la punition! Puis ça s'est transformé en accusation, puis en reproches envers mon mental en critique pour mon côté tête en l'air. tout à l'heure, j'ai ri après avoir constaté qu'aucune de ces pensées n'étaient apparues! J'ai fêté l'événement en me félicitant pour cette belle progression! Place à la sagesse de cette jeune femme qui représente un bel espoir pour l'avenir ! "Elle est pas belle cette jeunesse!"