le jardin en juin |
Voici un
article en parfaite résonance avec mes convictions profondes. Ceci dit, je ne
vais pas changer du jour au lendemain, agir par peur ou par culpabilité. Je
laisse pénétrer l’info dans ma conscience et mijoter afin que le changement s’opère
de façon spontanée. J’ai observé que la prise de conscience associée à l’écoute
de son corps, de son cœur et le lâcher prise permettait à tous les corps de s’harmoniser
naturellement puisque c’est leur « programme », tout comme la
régénération cellulaire. Ce sont nos peurs, nos doutes, notre façon de vouloir
contrôler qui empêchent l’équilibre naturel qui interfère dans le processus
orchestré par le cœur. Son intelligence et sa fonction de « premier cerveau »
qui envoie des « ordres » aux cellules sont prouvés par la science d’aujourd’hui,
voir la vidéo dont le lien figure en fin de texte. Je viens de visiter le site d'où et issu cet article et la jeunesse de son auteur me stupéfie! Je m'attendais à trouver une personne d'un certain âge tant le contenu de ces articles est rempli de sagesse! Une fois de plus, les "à priori" sont tenaces! C'est par ce genre d'anecdote que l'on peut voir l'état de ses croyances, l'influence de celles-ci sur notre perception des choses. D'ailleurs, depuis que j'ai lu la leçon d'hier sur l'art de faire la paix spirituellement, je constate que j'étudie sur le terrain les vertus qui y sont énumérées. Les trois derniers jours m'ont fait vivre la compassion en profondeur et cette fois-ci, j'ai bien l'impression que les projecteurs sont tournés vers la clarté, la capacité de voir les choses telles qu'elles sont et non telles qu'on les imagine. Je peux aussi constater que je lâche de plus en plus la culpabilité. J'ai laissé la casserole d'eau à bouillir pendant une heure sur la gazinière! Au début, quand ça m'arrivait, je vivais carrément de la peur, celle de la punition! Puis ça s'est transformé en accusation, puis en reproches envers mon mental en critique pour mon côté tête en l'air. tout à l'heure, j'ai ri après avoir constaté qu'aucune de ces pensées n'étaient apparues! J'ai fêté l'événement en me félicitant pour cette belle progression! Place à la sagesse de cette jeune femme qui représente un bel espoir pour l'avenir ! "Elle est pas belle cette jeunesse!"
L’alimentation
poison ou remède
Les
nouvelles thérapies et la physique quantique sont en train de rejoindre les
conclusions des sagesses anciennes. Notre monde redécouvre que la guérison
du physique est le fruit d’une transformation de la conscience. Toutes les
résolutions ont lieu sur un plan subtil et se manifestent ensuite dans la
matière. Notre vie matérielle est donc le reflet de notre vie mentale et
spirituelle*, car les deux sont indissociables. Considérons un instant ce que
cela nous apprend sur notre alimentation. Toute une population est asservie aux
médias, soumise à un mode de vie contre nature et à des gouvernants corrompus.
Peut-on croire que notre nourriture physique puisse être exclue de ces
conclusions? La désinformation est à ce niveau à la mesure des autres niveaux.
L’entrevoir demande généralement d’accepter d’admettre que l’on ignore quels
sont les aliments dont son corps a besoin pour vivre, dans quelle quantités, ni
de quelle façon les manger. Les médecins eux-mêmes l’ignorent car ils ne sont
pas formés à cette question. Les cuisiniers les plus compétents se fondent
sur des bases erronées. C’est toute une population qui est savamment maintenue
dans l’ignorance totale de tout ce qui pourrait soutenir son bien-être, sa
santé et la rendre… moins rentable pour l’industrie pharmaceutique.
La bonne
nouvelle est que retrouver cette connaissance permet de reprendre son pouvoir
et sa conscience de son alimentation… à tous les niveaux. Ceux qui y sont
parvenus ont été témoin de merveilles.
Georges
Ohsawa est une de ces personnes. Il est le père fondateur de la
macrobiotique. La macrobiotique est: « tout à la fois une philosophie, une
attitude spirituelle et une façon de s’alimenter. La nourriture étant un des
liens principaux unissant l’homme à la nature, elle ne joue donc pas un rôle
exclusivement physiologique. La macrobiotique met l’accent sur la symbiose
existant entre les êtres et la nature, et dont l’aliment est le véhicule
principal. A partir de là, si l’on considère la maladie comme une rupture de
cet équilibre, une approche macrobiotique aidera à restaurer cette harmonie et
favorisera la guérison. L’homme n’est plus considéré en tant qu’entité
spécifique, mais dans une unité totale avec la nature, qu’il doit
respecter (notamment dans son mode alimentaire). » J. Mittler
Georges
Osawa a largement démontré la validité de cette science globale. En une
trentaine d’années, il fut confronté à un grand nombre de maladies dans sa
pratique. Toutes furent guéries. Il fut mis face à des maladies dites
« incurables », comme des cancers graves, des épilepsies et même des
cas de schizophrénie… Dont il enraya la progression en 10 jours, un peu plus
dans certains cas. Sa théorie explique que toute maladie provient du sang.
Considérant que notre sang se renouvelle en 10 jours, ce laps de temps
suffirait à être suffisamment purifié pour soutenir le processus de guérison.
Bien entendu, il décrit ces guérisons comme rejoignant une vision holistique du
processus et explique avoir simplement « permis »
ces impressionnantes réparations physiques. Si aucun processus de
guérison n’avait été en route dans la conscience, rien ne se serait produit.
Mais comme conscience et matière sont intimement liées et indissociables, les
personnes qui acceptaient de réformer leur alimentation ne faisaient qu’ancrer
cette transformation subtile sur un plan physique.
Facebook "Les Mains de l'Or en Soi" |
L’alimentation
est un médicament
H.C Geffroy,
fondateur de la méthode « l’alimentation saine » et des magasins
biologiques « la vie saine », a expérimenté des conclusions parfaitement
similaires. Après avoir été gazé pendant la première guerre, H.C Geffroy s’est
guéri lui-même de l’affection « mortelle » dont il était atteint,
uniquement en opérant une réforme de son alimentation. Il a par la suite fait
connaître sa méthode, toujours employée avec succès aujourd’hui. Il présente
les choses en ces termes:
« J’ai compris
les immenses possibilités que possède le corps humain pour triompher
des plus graves maladies. Il faut lui en fournir les moyens par une
alimentation correspondant exactement à ses besoins et que l’on cesse de lui
imposer des nourritures qui obligent ses principaux organes à improviser des
fonctions pour lesquelles ils ne sont pas faits, ce qui a pour résultat de les
surmener et de les user prématurément. » (L’alimentation saine)
L’alimentation est ici présentée comme le premier « médicament » à
prendre s’il faut en prendre un, avant tout autre remède physique ou approche
de soins extérieurs.
Retrouver
la simplicité
Très
bien, mais quelle est donc cette alimentation? Quelles sont ces vérités si
méconnues? Ces vérités qui pourtant ont opérés des transformations que la
médecine officielle jalouserait… Si elle s’y intéressait? Un point commun entre
ces méthodes est leur grande simplicité. Il s’agit uniquement de répondre aux
besoins de l’organisme. Pour cela il faut les connaitre et cesser d’empoisonner
l’organisme. En premier lieu bien sûr, les auteurs condamnent la nourriture
industrielle, carnée, dénuée de substances nutritives et consommée dans des
proportions trop importantes. Un papyrus égyptien vieux de 3000 ans énonçait
d’ailleurs déjà: « Un tiers de ce que nous mangeons sert à nous nourrir.
Avec les deux autres tiers, nous nourrissons les médecins! » (Cité par
Johanne Razanamahay et Dr Christian Tal Schaller, Le jeûne holistique.)
Il suffirait
ainsi, pour permettre au corps de retrouver la santé – qui est son état naturel
– de lui fournir ce dont il a besoin et surtout d’exclure toutes les substances
dont il n’a pas besoin. Les auteurs précités rejoignent la vision des sagesses
anciennes des textes védiques (qui incluent l’ayurvéda, qui signifie
« connaissance de la vie », le système de santé traditionnel de
l’Inde). Ils insistent également sur l’importance de la foi, de la
méditation dans le processus de guérison, de la connaissance de méthodes pour
désintoxiquer son corps, comme la pratique (modérée) du jeûne. La voie de la
santé durable serait donc extrêmement simple. Mais cette simplicité est
extrêmement obscurcie par l’abondance des régimes alimentaires et l’hyper
accessibilité de la « mauvaise nourriture ». Pain blanc dénaturé,
gluten… Sont sur toutes les tables. Retrouvons simplement les principales
connaissances sur les besoins réels de notre organisme.
Facebook "Thierry Casasnovas" |
Varié, Végétal, Vivant
Maître
Johanne Razanamahay et Dr Christian Tal Schaller, dans leur ouvrage « Le
jeûne holistique» et leurs nombreux articles, proposent un raccourci
intéressant. Notre nourriture devrait répondre aux critères des « trois
V »: Variée, Végétale, Vivante. Ainsi consommée en quantité raisonnable,
elle fourni à l’organisme les nutriments nécessaires. Les auteurs rassurent
ceux qui pourraient avoir peur de carences en évitant les produits animaux. Ils
rejoignent ainsi H.C Geffroy qui clarifie: « un effet psychique: la
crainte de s’affaiblir en ne mangeant pas de viande. Pour vaincre ce préjugé,
il suffit de savoir que la viande n’apporte guère que des protéines et que ce
n’est pas là que l’organisme puise ses forces mais dans les sucres (glucides)
et dans les graisses (lipides). Les protéines sont des aliments plastiques;
elles ne fournissent pas l’énergie mais la substance des cellules; elles
interviennent dans la multiplication cellulaire. Tout excès dans la ration de
protéines tend à accélérer cette prolifération, ce qu’il faut éviter à tout
prix pour échapper au cancer. » (L’alimentation saine)
Se nourrir de vie
A
éviter donc, la nourriture « morte », c’est à dire les aliments
dénués de substance vitale. C’est le cas de la viande et des sous-produits
animaux mais aussi de tout ce qui sera cuit à trop haute température. Les
légumes ayant passé trop de temps au frigo sont aussi « morts ». Tous
les produits surgelés également. Les substances vitales sont en grande partie
détruites par la cuisson, c’est le cas non seulement des diastases et de la
vitamine C (qui sont détruites à 60°), mais des autres vitamines, dont la
destruction varie entre 100 et 120°. Ces aliments « morts » sont
dépourvus de prâna, qui est notre nourriture sur un plan subtil. Les aliments
riches en prâna augmentent notre vitalité, notre énergie sans nous alourdir.
Ainsi la
nourriture végétale… nous apporte la vitalité, la vie comme l’explique H.C
Geffroy:
« Pour ce qui est de
la nature des substances, il faut savoir que, selon leur origine, elle peut
être fort différente. Selon que ces matières appartiennent à l’un ou l’autre
des trois grands règnes de la nature: minéral, végétal ou animal, leur
structure pshysico-électrique diffère: inerte dans le règne minéral, une
molécule de phosphore, par exemple, deviendra « vivante » lorsqu’elle
sera passée dans le règne végétal, c’est à dire lorsqu’elle aura été assimilée
par la plante.
Lee Harris |
« …
La résultante des fonctions du végétal, a écrit Stéphane Leduc [dans son
ouvrage L’Énergétique de la vie], est la captation, l’accumulation et
la potentialisation de l’énergie solaire… »
L’homme
fait sa nourriture de cette même molécule de phosphore (devenu végétal), il
s’en approprie l’énergie pour l’utiliser sous forme de travail physique ou
d’effort cérébral, parce que:
« …
La résultante des fonctions de l’animal consiste dans le dégagement, la
transformation et l’actualisation de l’énergie captée et potentialisée par les
végétaux. »
Cela
nous montre que la matière suit un cycle immuable: potentialisée par le
végétal, dé-potentialisée par l’animal, elle retourne, après sa
désassimilation par ce dernier – comme après sa mort – au règne minéral, pour
servir à nouveau de nourriture à d’autres végétaux et recommencer éternellement
le même parcours. » (L’alimentation saine)
Nous
devenons ce que nous mangeons. Chaque aliment que l’on ingère passe dans notre
sang, s’intègre dans notre organisme et va se mêler à notre
constitution. Nous sommes en renouvellement permanent. Ce qui compose nos
organes, nos os, notre peau… est constitué de la nourriture que nous avons
ingéré. Il est donc facile de comprendre comment notre alimentation va pouvoir
aggraver ou résoudre nos problèmes.
Un
renouvellement perpétuel…
« Vos
tissus adipeux (ou cellules graisseuses) se remplissent et se vident
de graisse constamment, si bien que toutes les trois semaines, ils se renouvellent
complètement. La paroi de votre estomac change tous les cinq jours […]. Votre
peau change toutes les cinq semaines. Votre squelette, en apparence si massif
et rigide, se renouvelle entièrement tous les trois mois. En fait, le
flux d’oxygène, de carbone, d’hydrogène et d’azote est si rapide que l’on
pourrait être remodelé en l’espace de quelques semaines; ce sont seulement les
atomes plus lourds de fer, de magnésium et de cuivre, entre autres, qui
ralentissent le processus. Vous avez beau sembler le même en apparence, vous
êtes pourtant comme un immeuble dont les briques seraient sans cesse remplacées
par de nouvelles. Chaque année, au moins 98% du nombre total d’atomes de votre
corps sont renouvelés. [...] », Dr Deepak Chopra, Santé Parfaite (d’après
l’ayurvéda).
… dont
chacun est responsable
Ce
savoir d’une grande simplicité nous place face à notre responsabilité en ce qui
concerne notre santé. Cela commence par notre alimentation car nous sommes les
créateurs de notre organisme. Bien entendu, face à une maladie, il est toujours
possible de consulter un médecin allopathe, qui donnera des médicaments. Il
faut parfois le faire lorsque l’urgence est là. Cela dit, sur un organisme
encrassé, il est difficile de savoir de quelle façon la substance sera absorbée
ou non. Les effets secondaires des substances médicales chimiques sur les
autres organes ou fonctions du corps sont aléatoires. L’allopathie reste une
médecine d’urgence qui n’encourage pas ses patients à adopter une attitude
responsable et adulte en terme de santé et qui est très peu informée en terme
d’alimentation. Le recours à l’allopathie ne devrait donc jamais se faire sans
envisager parallèlement une transformation plus profonde, qui permettra de
comprendre et supprimer les causes du mal.
L’alimentation
se fait sur tous les plans
Un changement dans
notre façon de nous alimenter doit en effet se faire sur tous les plans. Tout
ce avec quoi nous sommes en contact nous alimente, incluant notre nourriture
physique. Ce que nous vivons sur un plan physique est le miroir des plans
subtils de notre vie. On pourrait dire que le physique et la psyché sont
indissociables, il est donc possible de se servir de notre alimentation
matérielle pour observer la qualité de notre alimentation à d’autres niveaux
d’existence.
Nous
sommes nourris par nos relations, par les informations que nous recevons, par
nos lectures, par nos activités… Et nous le sommes en permanence. Tout ce qui
entre en relation avec nous – même si nous choisissons de l’assimiler partiellement
– constitue notre alimentation, et relève de notre responsabilité.
Que se
passerait-il donc si nous étions réellement bien alimentés sur tous les plans?
Une nourriture physique parfaitement saine et appropriée, des relations, des
lectures qui élèvent l’âme, réjouissent le cœur et l’esprit, des
informations positives, des activités évolutives…
Il se
pourrait que de cette façon notre vie se rapproche d’un plan supérieur de
conscience où la maladie n’existe simplement pas. Le secret de l’immortalité
des peuples premiers résidait sans doute dans cette simplicité de l’harmonie
véritable, de l’alimentation juste sur tous les plans. Ne laissons donc plus
personne prétendre que ce n’est pas un sujet primordial…
Marie
Dulout
Désolée, la vidéo "l'intelligence du cœur" a été retirée de Youtube!!!