Accepter
ce qui est n’est pas se rendre, s’aplatir, c’est juste réaliser que quelque
chose de plus lumineux que notre faculté de penser, dirige notre vie avec amour
et patience. Tout ce que nous rejetons va se manifester à raison puisque notre
nature est l’amour, celui qui englobe tout. Il n’y a donc pas à incriminer le
mental, l’ego qui ne fait que ce pour quoi il a été conçu, créer du contraste,
apporter des réponses à la peur.
Quand on
se place en mode « acceptation et réception », les choses prennent
leur véritable sens. Comme toujours, l’expansion de cœur ouvre la conscience.
Depuis que j’accepte le rôle de l’ego et que je prends conscience de sa fidélité, mon regard amoureux l’aide à suivre le cœur en douceur, sans forcer. Tant qu’on rejette une part de soi, on amplifie le conflit intérieur qui se traduira par des relations interpersonnelles conflictuelles. Les discours qui parlent d’anéantir l’ego, de le briser, de le rabaisser, sont encore des manifestations du non amour, du rejet. Celui-ci peut être déprogrammé, élevé dans la conscience de l’amour.
Depuis que j’accepte le rôle de l’ego et que je prends conscience de sa fidélité, mon regard amoureux l’aide à suivre le cœur en douceur, sans forcer. Tant qu’on rejette une part de soi, on amplifie le conflit intérieur qui se traduira par des relations interpersonnelles conflictuelles. Les discours qui parlent d’anéantir l’ego, de le briser, de le rabaisser, sont encore des manifestations du non amour, du rejet. Celui-ci peut être déprogrammé, élevé dans la conscience de l’amour.
Je suis heureuse de pouvoir dire, "je nous aime mes corps". Le dire sincèrement, amène la rivière d’amour inconditionnel à s’écouler librement guérissant tout sur son passage. La lumière éclaire tout d’une façon nouvelle et beaucoup plus lucide. Croire que l’ego est un ennemi, c’est encore se prendre pour une victime.