vendredi 7 juin 2013

L’argent, sujet tabou à dépoussiérer...cours 1/9 sur la prospérité de Métatron (transmis par Reniyah Wolf, publié par Joéliah)




Comme mon actualité c’est de voir de près la relation à l’argent, la façon dont je peux concilier ma passion et réussir à en vivre et bien que j’aie fait pas mal d’exercice de libération au niveau des vieilles croyances à ce sujet, j’ai décidé de m’y mettre sérieusement. Plutôt que de voir dans mon rendez-vous avec l’assistante sociale quelque chose qui met en évidence mon sentiment d’illégitimité et donc de vouloir fuir le problème en accusant la société, mon passé, mon enfance...de lire des messages qui parlent de l’absolu...
Je vois là un coup de pouce de mon âme qui me connaît très bien et sait qu’il faut que je sois en situation d’urgence pour réagir. Je n’ai plus aucun doute quand à ce que je suis ni concernant les lois universelles et la vérité de la loi d’attraction, donc je n’ai plus d’excuses pour continuer de traîner cette étiquette d’assistée. Même si ça m’a été utile et même nécessaire pendant un certain temps, c’est bon, j’ai ma dose ! Ce qui me gonfle le plus, c’est d’avoir à justifier ma bonne foi, le fait que je ne glande pas. Comme si toucher 400 euros par moi permettait de vivre correctement ! Heureusement que j’aie le jardin et quelques soutiens ponctuels qui bien souvent, tombent du ciel ! D’un autre côté, j’ai toujours su que je ne manquerais de rien et c’est vrai, mais maintenant, il est temps que je m’autorise à vivre dans le confort. L’hiver passé à me geler depuis le 8 février et à galérer avec le poêle, ça n’a absolument plus lieu d’être puisque là encore, la victime intérieure est nourrie grassement au dépends du confort d mon corps physique.
Encore une belle synchronicité dans le message qui suit, publié par Joéliah sur son site "Le jardin de Joéliah", il y a quelques jours. Je n’ai pas trop le temps, ni l’idée d’y aller mais je l’ai trouvé hier et voilà donc quelques pistes de réflexions que je me propose de publier en respectant sa demande explicitée à la fin du message.

CONFIANCE et LÉGÈRETÉ





Quatrième matin avec la sensation d’être laissée à moi-même. Je ne me sens pas abandonnée ou "punie" pour désobéissance, ou encore dans la rébellion qui me coupe de la relation à mon âme, c’est plutôt le sentiment d’être amenée à m’installer plus pleinement dans ce que je suis. Comme si le moment était venu d’être totalement souveraine de ma vie et de mes choix. Je sens la connexion à mon âme mais d’une façon moins paternaliste. C’est comme si elle faisait maintenant partie intégrante de ce que je suis. Non pas que je l’ai appelée à venir en moi, mais plus que j’ai enfin réalisé qu’elle a toujours été là, en égale, en partenaire invisible mais néanmoins bien réelle, logée éternellement en mon cœur. Même si sa vision est plus large que ma personnalité humaine, le fait qu’elle ait besoin de guérison me rapproche d’elle, je la situe à mon niveau. Elle est aussi dans l’expérimentation et ce fait nous rapproche intimement.

Puisque j’ai décidé d’étudier de près le corps christique, le corps éthérique, le corps causal, de sentir leur connexion afin de réaliser la proximité de ma présence christique, je refais la page « chakras ». L’étude de ce qu’est l’énergie masculine est en cours et j’ai bien l’impression que pour que je l’active en moi de façon juste et divine, il me faille intégrer la notion de pardon. Enfin ça, c’est la théorie qui semble indubitable. Il me faut maintenant réussir à l’appliquer de façon sincère et spontanée. Je ne me colle pas de pression, je sais que la direction est là et je veux emprunter ce chemin. Car même si j’ai pardonné à mon père, mon enfant intérieur porte encore le sentiment d’injustice et le besoin de réparation. 

jeudi 6 juin 2013

Pacifier le monde intérieur pour vivre la paix avec l'extérieur...Résumé des "4 accords Toltèques" de Don Miguel Ruiz




Le rubis doré de la paix, l'eau qui purifie, le blanc de la joie et de la légèreté

J’ai pu vérifier combien le centrage, la confiance en soi et le fait de ne pas juger soi-même ou l’extérieur, porte immédiatement ses fruits. Je m’apprêtais à monter péniblement la côte à vélo pour vérifier que le canal d’eau était ouvert plus haut et mon voisin de jardin était en train de finaliser le travail commencé il y a quelques jours pour mettre en place le système d’arrosage. Belle synchronicité qui m’a encore montrée que de vouloir forcer les choses et même d’affirmer sa volonté par rapport à l’extérieur n’a aucun pouvoir sur les situations bloquées. En fait, il ne s’agit pas d’exprimer sa volonté, de vouloir changer les choses extérieures mais bien d’être en accord avec soi-même. Même si je me le répète très souvent, ce n’est pas encore tout à fait acquis. Le fait d’être en paix intérieurement créé la paix à l’extérieur. 
La lecture du message de Jeshua et l’affirmation du désir d’unité ont suffit pour que tout se débloque. Même si les voisins du dessus continuent de claquer les portes, je ne m’en occupe pas. Quand mon cœur ne réagira pas en faisant un bond, à chaque fois, je saurais que la paix s’est installée. C’est vrai que quand je lisais qu’il fallait être centré, dans les messages des gens qui se sentent concernés par l’ascension, j’avais du mal à en saisir le sens de façon concrète. De même que lorsqu’on le vit, il est difficile de trouver les mots ou plutôt d’ajouter aux mots, la sensation. C’est impossible même si les mots portent une certaine vibration. En plus quand on se gave de lecture spirituelle, le sens des mots perd sa valeur par la répétition. Le mental s’habitue, acquiesce mais tant que ça n’est pas vécu au moment opportun, ça n’a pas vraiment de sens.
Quelques fois, je me dis que si je n’intellectualise pas les choses, je n’aurais plus rien à dire, mais affirmer, c’est vouloir convaincre ou même se convaincre. Le silence est le signe de l’acceptation de ce qui est. Quand on cesse de mentaliser pour vivre réellement, les outils virtuels n’ont plus de raison d’être. Quand on n’a plus rien à chercher, à prouver, le silence laisse la place au bavardage mental. J’ai peur de ça en fait. C’est comme si j’allais cesser d’exister. L’ego manifeste sa présence et craint de disparaître. Je lui ai dit que je ne savais pas s’il allait mourir lors de l’ascension mais que de toute façon, selon les lois de l’incarnation, il est appelé à le faire un jour ou l’autre. Autant vivre en paix, dans l’harmonie d’ici là.

"Lâcher prise de la lutte" Jeshua par Paméla Kribbe




Josephine Wall

Pour quelqu’un qui veut sortir du mental, vous allez trouver ma persistance à diffuser des messages, un peu contradictoire. Comme j’ai choisi de partager ce que je vis et ce qui me permet de me recentrer, ce qui suit trouve logiquement sa place sur le blog. Le ciel qui se couvre bouscule un peu mon planning et à vrai dire, j’espère qu’une pluie viendra, m’évitant ainsi de charrier des seaux puisque le système d’arrosage n’est pas tout à fait au point. Je vais donc en profiter pour me chouchouter au chaud. Voici donc ce qui m’éclaire aujourd’hui et qui m’a réconforté tout autant que le mail reçu d’une lectrice. C’est vrai que le message suivant est un peu long mais je préfère le laisser dans son intégralité, par respect pour les auteurs.

Lâcher prise de la lutte

Jeshua transmis par Pamela Kribbe
Le 22 Novembre 2007 à Tilburg

De la tête au coeur




Depuis trois matins, je me réveille bougon, comme si la connexion à mon âme était interrompue. Comme si la nuit j’étais en désaccord avec le monde invisible. Le jour, ça se traduit par la confusion, le doute quant à la pertinence de mes choix, de mes actions...J’ai beaucoup de mal à être présente et dès le matin, je cherche ce qui a bien pu créer cette baisse de fréquence généralisée. Le fait d’avoir parlé de mon passé, de mon enfance, semble avoir mis en exergue quelques émotions et croyances encore refoulées. Le désir de guérir doit aussi trouver son équilibre et se positionner dans le moment présent, est plus qu’important dans ces moments là. 
Certes jeter un œil en arrière peut avoir du bon si on le fait pour libérer ce qui doit sortir mais la guérison se réalisant par la simple prise de conscience, ça ne doit pas se transformer en prise de tête ! Le seul point positif, c’est que dans cette remise en question, je ne suis pas tombée dans la division intérieure ou la tendance à se punir. J’ai bien un peu râlé de constater qu’il y avait encore des ombres à l’intérieur mais je n’ai pas accusé mon mental, mon enfant intérieur, mon corps émotionnel...

mercredi 5 juin 2013

« Laisse dire, laisse faire »...vidéos d'animations




Je viens de faire un rêve, ou plutôt un cauchemar qui m’a laissée hébétée. J’étais encore avec ma sœur et ma mère et le scénario de l’enfance se rejouait. Ma sœur m’accusait de je ne sais plus quoi, elle était ivre, irrespectueuse et je bouillais à l’intérieur. Je ne me souviens plus trop de son comportement mais juste qu’elle était injuste envers moi. Je ne disais rien puis j’ai entendu au loin, ma chienne qui couinait. Ma sœur s’étant éloignée avec elle, j’ai bondi pour aller vers les cris et arrivée à sa hauteur, je l’ai poussée violemment, constatant qu’elle était responsable, indirectement de la souffrance de l’animal. Elle est tombée et sa tête a heurté le sol. Je suis restée subjuguée une dizaine de seconde par le fait qu’elle restait immobile, en me disant « je l’ai tuée » ! Je me suis approchée et elle a ouvert les yeux. 
Puis les bruits des voisins qui claquaient leurs portes de voiture, m’ont réveillée. J’étais en train de me dire que l’image était claire, la violence par la violence n’était pas la solution même si je pouvais avoir « raison » de me défendre ou de défendre ma chienne en l’occurrence. Le gamin s’est mis à crié bien fort dans l’escalier qui résonne et je me suis dit que mon enfant intérieur se rebellait face à ma résignation. Plutôt que de crier aussi, je lui ai expliqué une fois de plus, que je comprenais son besoin de justice mais que ça n’était pas du tout une solution. D’ailleurs, malgré que je me sois plainte auprès du propriétaire pour le voisin bruyant, ça n’a rien changé à la situation, il a fait son numéro à 13h, fenêtres ouvertes. Remarque un peu quand même puisqu’il s’est arrêté au bout d’à peine une heure tandis que je lisais un  message d’O. M. Aivanhov, qui parle de l’onde de vie. 

Réflexions




Je me rends compte qu’il est plus que temps que je m’affirme au niveau matériel mais j’ai encore beaucoup de mal à oser le faire. Une tristesse monte quand je réfléchis à ça. Je suis partagée entre l’envie d’être autonome et la peur de ne pas faire le bon choix. J’ai pourtant senti que mon âme me poussait fortement à proposer un accompagnement mais les quelques critiques reçues ont suffit à me faire reculer. J’ai senti une montée en puissance à tous les niveaux, un sentiment d’être sur ma voie quand j’ai créé le blog et un genre de dépression une fois que je l’ai fermé qui ne correspondait pas à une frustration purement égotique.
C’était plus facile de faire des choix quand j’étais jeune. J’avais une assurance et un culot qui m’ont permis de faire des choses "hors norme", de prendre des décisions en un éclair, que j’aie bien du mal à retrouver maintenant. Je suis rentrée au cirque Gruss par amour pour les chevaux sans avoir de formation en équitation. Même si je ne faisais que les préparer à entrer en scène, j’en avais 15 sous ma responsabilité, des entiers en plus. J’ai acheté un double poney que j’ai débourré moi-même, j’ai fait la route seule avec ma chienne et mon accordéon pour tout moyen d’existence, j’ai appris à tailler la vigne sur le tas, idem pour le travail du cuir...
Ma foi en Jésus Christ m’a guéri de certaines blessures mais d’un autre côté, le fait de me situer par rapport à la croyance bien/mal, bons et méchants, m’a complètement déconnectée de mon énergie masculine. Enfin pas complètement mais j’ai perdu la confiance en mes capacités, à croire en un sauveur extérieur. Même si ça fait plus de dix ans que j’en suis sortie, je garde pas mal de séquelles de cette période !
Ce qui est fait est fait ! Il est inutile de s’appesantir sur le passé mais il est plus que temps que je retrouve mon plein potentiel et cet équilibre tant attendu.