jeudi 21 février 2013

La qualité d’amour appelée dignité, Archange Gabriel par Marlène Swetlishoff


Chêne de Tronjoly, France, âgé de 1700 ans!!!

J’allais éteindre l’ordinateur et puis j’ai ouvert ce document qui était sur mon bureau, « par hasard ». J’ai bien fait, je ne regrette pas et je le copie-colle même ici pour Evelyne, entre autres et pour tout ceux qui comme moi, arrivent encore à douter ! Je l’ai trouvé sur la presse galactique, il y a peu.

Heureusement que je peux lire ce genre de message qui est un soutien inestimable dans les moments de doute de soi.

J’aimerais vous entretenir de la qualité d’amour appelée dignité…

Laisser passer le conflit intérieur, normal et lâcher les "pourquoi, comment" Vidéo "L'amour est énergie"



google images

De retour de chez le toubib, j’ai eu l’agréable surprise de trouver un mail d’une âmie qui m’a réconforté et m’a même fait rire et dédramatiser.
J’ai trouvé le moyen d’être limite à l’heure pour le rendez vous avec le toubib. J'ai pu voir que j’étais loin d’avoir réglé le problème de la culpabilité. Il va falloir en faire des séances d’EFT avant que ce foutu saboteur intérieur continue de saper mon envie sincère de m’aimer. Je vis un conflit interne dû à ce désir d’accepter tout ce qui en moi me déplait.  et la sale manie de m’insulter qui refait surface depuis ces quelques jours où la culpabilité s’est montrée dans toute sa splendeur. 

Nos erreurs sont la voix et le chemin, d’un simple apprenti-sage


Arielle et Gilbert, blog passion photo78.com

Encore une fois, l’épisode malheureux de ces derniers jours, revient sur le tapis mais sous un autre aspect, une nouvelle perspective. Voir « ah ! Le choc, le choc, le choc ». (Ce titre est une phrase extraite d’un sketch de Garnier et Santou, deux jeunes humoristes qui parodiaient deux copines pas très fines en train de discuter. Dont vous pourrez voir la vidéo en bas de cette page.)
  J’ai avancé dans ma recherche de compréhension à ce sujet. Et j’en, suis venue à me dire plusieurs choses. Comme je ne crois pas au hasard, et que j’ai été littéralement accusée de "viol", dans cette histoire, il est aisé de comprendre à quel point ça a pu m’affecter...
 Cependant comme j’étais à travailler sur la culpabilité, notamment celle d’avoir pu faire moi-même subir ce que j’ai vécu enfant, et bien que cette idée je l’avais refoulée très loin dans l’inconscient, l’accusation ciblée était voulue par mon âme pour que je puisse libérer précisément ce sentiment. 

mercredi 20 février 2013

Gratitude pour la terre mère, pardon à soi-même, et "comment arrêter de râler" Vidéo



 
Fleur dont je ne connais pas le nom
 Je bénis la terre mère pour les quelques moments passés au jardin. Pour le privilège d’avoir ce petit coin de terre où je peux m’éclater, jouer avec la matière, créer avec les éléments. Où chaque fois que j’y suis, je m’exprime telle que je suis, où je suis moi-même, fidèle à ma nature. Connectée à la mère, la conscience de la terre qui m’offre ce corps physique pour jouir de tous mes sens, sentir le sang qui coule dans mes artères sans plus aucun blocage, où l’énergie de vie s’écoule librement. 

Le printemps s'approche doucement mais sûrement!



 Comme on le dit si bien, la nuit porte conseil d’autant que je lis en ce moment les messages du collectif Ashtar où il est proposé de faire appel  à eux pour conscientiser, enfin prendre conscience de la véracité de ce qu’ils enseignent...J'ai dû les rencontrer cette nuit parce que mon réveil a été joyeux malgré les larmes versées hier.

Finalement, je me dis que si je veux réellement sortir définitivement du rôle de la victime, il faut que j’adapte totalement le regard que je porte sur moi, à ma foi en l’humain divin. Je peux considérer l’épisode d’hier, autrement. Me dire que certes j’ai libéré des restes de culpabilité, mais l’âme de l’autre personne a aussi appelé cette situation pour que sa personnalité puisse être éclairée et cet aspect là ne me regarde pas.
Mais le fait de le savoir, m'aide à ne pas me sentir seule concernée dans l'histoire et donc à minimiser le sentiment de culpabilité. Je fais trop souvent la connerie de prendre les agressions comme des attaques personnelles alors qu'il s'agit pour chacun d'avancer, de voir à travers l'autre ce qui reste caché, refoulé dans inconscient. Ce qui compte, c’est que j’en tire la conclusion que je doive continuer à accepter mes émotions, à ne pas les rejeter mais au contraire à aimer encore plus tout ce que je suis. 

mardi 19 février 2013

Encore des sketchs


Aymeric Lompret
"Mon poisson est garanti sans OGM"


Ah le choc, le choc, le choc!




J’ai vécu quelque chose ce matin, dont j’ai encore du mal à me remettre. 
J’ai été accusée d’avoir diffusé sur ce blog, des photos que j’ai trouvées sur un site et dont j’ai spécifié le nom ainsi que celui de la personne qui les avaient publiées, en ajoutant un lien pour y accéder directement. 
J’ai donc vécu l’accusation comme une injustice et en échangeant des mails, nous avons pu calmer le jeu en prenant conscience, chacune de notre côté de ce que l’expérience avait permis de sortir de l’inconscient. J'ai viré toutes les photos et les notes qui les accompagnaient.
Malgré tout, je restais très mal à l’aise bien que j’aie libéré le sentiment de culpabilité qui avait certainement attiré tout ça.