vendredi 15 février 2013

Humour, joie et paix intérieure

La journée a été calme, tranquille, sans pensées négatives ou du moins sans que je m’y accroche. Le désir de fusion intérieure m'a amené à envoyer de l’amour sur la femme universelle et sur l'homme universel au nomment opportun et ça se sent.
J’ai enfin pu faire une méditation après mangé et j’ai été émerveillée par les couleurs que j’aie vues.
Ce soir pour continuer dans la bonne humeur, j’ai regardé ces vidéos que j’ai sélectionnées pour leur façon de traiter des thèmes de société avec humour.

La saint Valentin et la liberté




Hier, les mots étaient bloqués, comme si mon inconscient prenait tout le devant de la scène, me montrant combien je devais dépoussiérer ma vision du masculin tout comme celle du féminin.  Elle reste trop terrestre, empreinte de blessures mais la lumière de mon être, toujours présente bien que par moments, j’en doute, sait toujours me montrer, à coup de projecteur, ce qui doit être illuminé, aimé et transmuté.
Alors une fois de plus, ce matin, je me suis adressée à ces deux parts en moi et plutôt que de les nommer homme et femme, je les ai appelées, masculin, féminin.
Puisque ce que je suis aujourd’hui, est un mélange de ces deux énergies, un composé dynamique de la force de vie, inutile de me situer d’un côté ou de l’autre, me limitant et m’enfermant dans une catégorie fortement imprégnée au niveau inconscient.
Usant de mon pouvoir de manifestation par le verbe, je décrète l’union amoureuse de ces deux énergies pour que je devienne androgyne, retrouve la complétude de tout ce que je suis et marche avec entrain sur la voie du juste milieu.
Pas question d’y courir mais de s’y promener, prenant le temps de voir, de sentir, de toucher et même de s’arrêter pour inonder mes ombres, qu’une barrière en travers aura su révéler.

La terre mère, le rêve et l'inconscient, message reçu par Simon Leclerc




Ce matin, réveil à une heure normale, 6h20. Je retrouve peu à peu, grâce au poêle éteint, des nuits de six heures, ininterrompues. Comme si mon corps physique se préparait à s’immerger dans le printemps, enfin dans le mouvement, l’action. Le temps passé au jardin est une source de paix, de joie. Un moyen d’ancrage à la terre, à ma vraie nature puisque je suis en plein dans l’incarnation, dans le moment présent. Même si mon cors mental voyage, le contact avec l’élément "terre, vivifie mes cellules". Pour désherber, hier, je me suis mise à genou et j'ai senti, par les chakras, le lien intime à la terre mère me baigner dans le bien-être, la douceur et la joie de la co-création. 
Je suis venue ici, maintenant, pour agir dans cette matière, apporter ma conscience et ma lumière, sur tout ce qui vit et bien évidemment, sur cette partie de moi, qui est reliée à l’inconscient collectif.

jeudi 14 février 2013

Je veux aimer tout ce que je suis




Ce matin, en voyant la date du jour, je me suis dit que c’était l’occasion de marquer ma volonté d’unir ce qui s’oppose, en moi. Célébrer le mariage du féminin avec le masculin. Même si je n’ai pas cerné ce qu’était l’un et l’autre, mon désir de fusion est plus que jamais d’actualité.
Mais je bloque, les mots ne s’écoulent pas. J’en ai oublié l’heure et j’ai failli louper le contrôle technique.

Comme je m’y attendais, il y a des réparations à faire. Je me suis étonnée de me dire que j’avais deux mois pour changer les amortisseurs et que c’était une chance qu’il n’y ait que ça à faire ! Avant, ça m’aurait angoissé, je me serais posé mil questions pour trouver des réponses, histoire de calmer le mental ou cette part de moi qui vit dans la peur...

L’idée de cette union que j’avais tant de mal à exprimer naturellement, a trotté dans ma tête jusqu’à maintenant. Je peux voir que ça n’est pas encore clair et que même si le désir est là, il y a de la résistance qui se manifeste à l’intérieur.

Je me suis adressée à ces deux entités qui cohabitent en moi, dans une lutte perpétuelle. Masculin féminin, pourtant indissociables. Considérés à tort comme opposés puisqu’ils sont de la même source, de la même essence.

mercredi 13 février 2013

Le pouvoir de la gratitude, vidéo, humour




Comme nous vivons ce que nous pensons, il est clair qu’il vaut mieux nourrir des pensées positives. Mais notre inconscient étant très actif dans le processus de manifestation ainsi que nos émotions, ce qui est créé premièrement reflètera ce qui est le plus vrai en nous.
Si nous affirmons être « amour » et qu’à l’intérieur, des pensées de rejet de soi, de dévalorisation, sont fortement imprimées, on aura beau le répéter, ça ne marchera pas et en plus ça créera un malaise dû au conflit intérieur.
La vie nous renverra en premier, des situations qui nous ferons sentir encore plus mal à l’aise vis-à-vis de nous-mêmes jusqu’à ce que nous acceptions enfin de nous aimer totalement.
Cependant, comme l’inconscient est relativement « docile », dans le sens où il imprime sans chercher à comprendre, il est de ce fait, malléable.

Dans la série, ils se cherchent et se trouvent, Aurélia



Comme j'ai ajouté des sites à découvrir, en page d'accueil, je tiens à "présenter" sommairement ces personnes rencontrées sur le Net.

Aurélia est une personne, de 27 ans que j'ai eu le plaisir de rencontrer sur ce blog et qui est un peu mon reflet ou l'inverse, ce qui revient au même, dans sa façon de s'exprimer. Un ton simple, sincère, un témoignage du quotidien d'un être qui s'éveille à lui-même.
Bien que la différence soit une richesse, la ressemblance aide à regagner sa propre estime tout en aimant l'autre. Celui qui nous reflète, nous amène sur un terrain de confiance, aide à guérir la peur de l'autre qui est en fait la peur de soi-même, de nos parts inconnues, refoulées.

mardi 12 février 2013

EFT, puis du "Rire", l'absurde est une forme de lucidité





Depuis le temps qu’on me parlait de l’EFT, j’ai fini par m’y mettre. En regardant la vidéo, « très chères femmes », je suis tombée « par hasard », sur des vidéos qui expliquent le principe et montrent l’application pour différents problèmes. 
La base est toujours la même, on est dans l’acceptation de soi, de ce qui est, et dans le pardon à soi-même. 
J’ai donc prononcé ma petite phrase pour le problème de dépendance aux cachets et tapoté où il fallait. J’essaierais de le faire régulièrement. 
Evidemment, le mental qui aime ce qui est sophistiqué, tique un peu mais comme l’idée va dans le sens de ce que j’ai accepté intellectuellement et émotionnellement à travers le pardon profondément ressenti tout à l’heure, je me dis que ça peut le faire. De toute façon, je n’ai rien à perdre à essayer.Je vous raconterais... 
Quelques vidéos sur l’EFT qui ont le mérite d'être courtes et facile d'accès: