mercredi 16 janvier 2013

« Stand by me » Playing for change





Voilà une belle initiative que cette idée de filmer des chanteurs de rue du monde entier et de les rassembler autour d’un même thème, d’une même mélodie. Chacun l’interprète selon sa personnalité, avec l’instrument qui lui permet de gagner sa vie, dans le pays où il vit.
Belle aventure humaine qui me touche particulièrement puisque j'aurais pu en être avec mon accordéon diatonique. Même si lorsqu’on joue dans la rue, on ne souhaite généralement pas être pris dans les griffes du showbusiness puisque la notion de liberté est essentielle, cette idée de rassembler les artistes hors système, par des montages vidéos, s’inscrit dans une volonté d’unir des âmes sœurs, de créer une vague d'énergie d'unité.

Dimanche 16 décembre 2012: voeu d'Unité Intérieure





Ce matin, j’ai la tête en vrac comme si j’avais de la fièvre. Le bistre a coulé toute la nuit et le feu s’est éteint assez vite après que je me soie couchée aux alentours de 21h.
J’ai parlé à mes corps, hier soir. Je leur ai demandé de me soutenir dans ma volonté d’arrêter les cachets. Je ne sais toujours pas si j’essaye d’arrêter en une fois ou si je stabilise sans augmenter à 2,4. Le sevrage au printemps me semble plus abordable. De toute façon d’ici au 21 décembre, pas la peine de chercher à faire autrement. Les émotions qui remontent sont si variées et changeantes que ça constitue un genre de rythme de la journée, du fait de prendre les doses que je prends régulièrement, aux mêmes heures.
Il faut que j’arrive à m’en tenir à ça. 
(Le passage qui suit a été publié dans La presse galactique le 21décembre 2012 sous le titre: "La voix du cœur d'un humain divin comme les autres". Néanmoins, je conseille à ceux qui l'ont lu, de lire la suite.) 

Samedi 15 décembre 2012






Ce matin, le réveil a été plutôt tardif et la nuit plutôt bizarre. Je me suis réveillée à 2h après m’être endormie sur ma chaise de dix heures à minuit. J’ai ouvert la trappe du poêle pour voir où en était les braises et là, wouf ! Un gros bruit d’hélicoptère dans les tuyaux m’a fait tout refermer ! Le goudron a cramé à l’intérieur du tuyau qui était brûlant. 
Bizarrement, je suis allée me recoucher sans aucun stress ni appréhension !  Je me suis endormie de suite malgré l’odeur de goudron cramé.

Ce matin, à six heures, il y avait du goudron en braise dans le coude ! J’ai gratté la merde et j’ai pu constater que ça avait bel et bien brûlé ! Je suis passé à côté d’une catastrophe et le tout, sans même m’en soucier ! Heureusement, dehors, il fait doux et j’ai pu ouvrir la fenêtre pour aérer. J’ai les yeux gonflés et la gorge irritée mais je suis en vie !
Je positive en me disant que j’aurais pu y passer et que comme je suis vivante, c’est non seulement que ça n’est pas mon heure mais en plus, ça me montre que je n’ai pas trop à craindre le feu de cheminée. Mis à part la peur panique que ça peut engendrer, il n’y a pas mort d’homme. Et si normalement, ça aurait du être le cas, ça me montre à quel point je suis protégée et ainsi, je peux voir que j’ai le total soutien de ma présence divine ! Donc là encore, tout est bien !

Vendredi 14 décembre 2012, deuxième





Je me sens surexcitée et en même temps, j’ai envie de dormir ! 
Comme si je vivais en direct la réalité de la dualité. 
A croire que le fait d’affirmer vouloir être dans l’unité amène à être testée. 
Ou alors c’est simplement les restes de pensées et d’émotions nées de cette dualité qui s’exprime pour être libérées. 
Alors libérons et laissons l’eau de la douche faire glisser ces énergies, les évacuer en douceur. Les motivations à vouloir être dans l’acceptation de ce qui est, sont issues du malaise engendré par la quantité d’énergie négative désagréable ressenties à l’intérieur de soi, par le constat de la lutte vaine à l’intérieur de soi. C’est une forme de capitulation. L’ego est-il butté à ce point ?
De devoir passer par les pires souffrances pour arriver enfin à accepter d’exprimer l’amour de soi et de toute vie.
Je ne sais pas si c’est le fait de me remémorer la situation d’échec vis-à-vis du couple qui a engendré un manque d’amour de soi ou si c’est la dose insuffisante de médocs mais je sens que ma fréquence vibratoire a baissé. 
La chatte s’est pissée dessus et le poêle a évacué un nuage de fumée par la trappe ! Je suppose que ce sont les pensées relatives au couple, à travers l’expérience vécue avec Jérôme qui ont créé ça. 

« Los Jaivas » groupe Chilien rock/traditionnel






Une des merveilles d'Internet, c'est de pouvoir retrouver des gens qu'on a perdu de vue.
J'avais seize ans quand pendant une de mes nombreuses fugues, j'ai rencontré ce groupe chilien qui jouait à la fête de Lutte Ouvrière, près de Paris.
Réfugiés politiques, ils étaient amis avec un homme de vingt ans mon aîné, qui a partagé ma vie pendant une année inoubliable...

Ce groupe vivait alors dans une villa en banlieue parisienne, avec femmes et enfants et nous allions assister à leurs répétitions chaque soir, avant que mes parents me retrouvent et finissent par m'émanciper. Nous sommes allés vivre à Toulouse où nous vendions sur le marché, des objets de cuir que nous fabriquions. Ce fût une belle période de ma vie.
Je vous laisse apprécier ces sonorités sud américaines. 

Leur particularité, c'est de mêler musique folklorique et instruments électriques. Cette façon de relier les époques et les styles résonne fortement en moi.
Le chanteur et le batteur sont aujourd'hui décédés mais le groupe existe encore. Les enfants ont remplacé leurs parents. Belle famille! Beaux souvenirs! J'espère que vous apprécierez.

Vendredi 14 décembre 2012





Je viens de lire un texte d’Adama ou Adamu, celui qui reçoit les messages l’appelle Adamu. J’ai noté Adama qui sonne plus joli à mes oreilles. Je suis encore toute abasourdie par ce qui est dit d’une façon si simple, que j’en suis ravie. Le titre du message c’est : « La question de la divulgation » que vous pouvez trouver dans les archives à la date du 23 janvier 2012. Je n'ai pas réussi à faire un lien. Comme je l'ai précisé dans le texte: "pourquoi ce blog", j'apprends "sur le tas", pas à pas...

Tout prend un sens nouveau mais en même temps ce qui est troublant ou qui pourrait être effrayant, c’est le fait que la dualité existe encore chez les êtres plus évolués que les humains. 

Gaston Couté - L'Amour Anarchiste






Voici une chanson d'un poète Beauceron, interprétée par Marc Robine. Mes goûts musicaux sont très variés et j'attache autant d'importance aux paroles qu'à la musique. 
Ici, il est question de l'amour. Le thème favori des chanteurs puisqu'il touche et interroge tout le monde.

L'accompagnement est spécial et s'adapte bien à l'époque de l'auteur du texte, très avant-gardiste. J'ai appris à jour de l'accordéon diatonique, "sur le tas", quand je faisais "la route", mais ça c'est une autre histoire...