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12 Alors que j’écoutais une partie d’un des livres audio d’Esther et Jerry
Hycks qui canalisent Abraham enseignant la loi de création délibérée, j’ai été
frappée par une chose qui semble évidente.
J’écoute de la musique en faisant en
sorte que les titres se suivent de façon aléatoire et c’est généralement en
rapport avec mes pensées du moment, c’est un peu le reflet de mon état d’esprit
ou de ce qui est dans l’inconscient.
Enfin de moins en moins le reflet de mon
inconscient puisque dans l’ouverture et la transparence, plus grand-chose ne
reste dans l’ombre.
Comme les cachets ont tendance à anesthésier les émotions,
le ressenti, en utilisant l’effet miroir, je peux réajuster mes pensées, mon
taux vibratoire.
Déjà, le fait d’être plus présent et conscient des pensées
qu’on nourrit est un bon moyen de se maintenir dans des fréquences élevées ou
pour le moins harmonieuses parce qu’on ne se laisse plus séduire par les
pensées de victime, de bourreau, on ne s’identifie plus aux pensées de
jugement, d’accusation, de culpabilité, de peur. C’est déjà une présence dans
le détachement qui permet de cultiver la paix, la joie et le bien-être.
Abraham
parle de la loi de création délibérée, du processus qui bien souvent est annulé
par des pensées inconscientes ou conscientes contraires à l’intention première.
Il est clair que ce processus demande de maintenir l’intention souhaitée et de lui donner
de l’énergie, de l’intensité.
Si on veut créer la paix en soi, cela demande de
reconnaitre et de lâcher toutes pensées qui nourrissent le conflit, la peur, la
division. C’est au sujet de l’intensité nécessaire que je me suis dit que la douleur nous amène précisément à revenir à l’intention première avec force, à revenir au présent.