mercredi 15 novembre 2017

« Savoir dire "stop" aux projections catastrophiques »





Je n’ai pas publié ce qui suit au moment où je l’ai vécu parce que j’attendais de sentir la stabilité intérieure revenir.
Avec le recul, ce que j’ai vécu ressemble de très près au cycle du deuil, à ses différentes phases qui permettent de passer de la peur à la joie et d’abandonner ainsi des croyances devenues obsolètes. 
C’est un processus qui nous permet de renaitre mais il demande de vivre chaque étape en conscience et en confiance. Ce qui n’est pas facile lorsqu’on est face aux peurs existentielles, profondes et parfois même inconnues. Mais on en ressort toujours grandit, plus confiant, plus équilibré, éclairé et proche de la source, de ces vibrations.

8 11 On peut dire que la journée d’hier a été bouleversante et j’ai eu bien du mal à ne pas me laisser submerger par la peur. C’est un cycle infernal de se focaliser sur une douleur et d’y ajouter des peurs mentalement. Le mental a la capacité de se projeter soit dans le passé, soit dans l’avenir et c’est ce qu’il fait la plupart du temps lorsqu’il panique face à un symptôme. 
Quand il est face à quelque chose qu’il ne comprend pas ou qu’il n’accepte pas, il va chercher dans ses souvenirs des situations similaires à ce qu’il vit dans l’instant, que ce soit dans sa propre expérience ou dans celles vécues par des proches. L’imagination est créative lorsqu’elle émane de la paix du cœur, de la joie de l’enfant en soi mais quand on utilise le phénomène de projection ou dit autrement, quand on se fait des films, cela devient dramatique.

lundi 13 novembre 2017

« Pourquoi avons-nous BESOIN du Mental pour changer notre Réalité » Vera Ingeborg





C’est une compréhension commune dans le monde spirituel de dire que nous avons besoin de quitter le mental pour passer à une nouvelle réalité et pour devenir un créateur accompli. Mais ceci n’est que la moitié de la vérité, et c’est souvent mal interprété en pensant que nous devons abandonner le mental et vivre uniquement à partir du cœur et du ressenti. Cela ne peut pas être plus éloigné de la vérité. 
L’équilibre intérieur n’est possible que par l’alignement du cœur, du mental et du corps physique.
Beaucoup de pratiques et de méthodes spirituelles excluent le mental et se concentrent uniquement sur le ressenti. Oui, il est vrai que pour changer de fréquence, nous devons ressentir l’énergie et avoir une expérience émotionnelle. 
Et il est clair que cela n’a pas lieu dans le mental mais à travers le cœur et à travers le corps physique. 
Et cependant, avant d’avoir une expérience émotionnelle, nous faisons un choix et établissons une intention, à savoir si nous sommes dans la confiance ou dans le manque de confiance: si nous venons d’un espace d’amour ou de peur dans la façon dont nous gérons notre expérience émotionnelle. 
Ce choix est fait avec l’énergie masculine. 
C’est observer / se focaliser / choisir avant de le remettre dans le champ énergétique féminin, où nous ressentons et traitons vraiment les choses.

« Plus on lâche prise sur une situation et plus elle peut changer » Lise Bourbeau




Saviez-vous que plus on lâche prise sur une situation, plus elle peut changer? 
Et plus on veut la contrôler, moins elle change ?          

Cet énoncé est impossible à comprendre intellectuellement. Pourquoi ? 
Parce qu'il s'agit d'une notion spirituelle. 
Pour le mental, les choses doivent être rationnelles. 
Nous sommes portés à croire que si nous désirons changer quelque chose, nous devons d'abord prendre une décision et ensuite faire des actions en conséquence.

Prenons un exemple qui touche un grand nombre de personnes : LE POIDS. 
Ce désir de changement très populaire explique pourquoi l'industrie de la perte de poids est une des plus grandes au monde. Face à un surpoids, la réaction habituelle est de faire attention à ce qu'on mange. C’est le début du contrôle et de la culpabilité.

Si vous faites partie de ceux qui se mettent au régime ou qui font attention, vous vous êtes certainement aperçu que vous vous sentez coupable aussitôt qu'une petite voix intérieure vous dit : Tu n’as pas honte ? Tu viens encore de tricher, ce n’est pas ainsi que tu vas perdre du poids. Vous vous promettez bien de ne pas recommencer. Mais qu’arrive-t-il ? 
Vous recommencez et la culpabilité augmente avec le temps. 
Voilà pourquoi il est reconnu que plus on veut changer, moins on change.

dimanche 12 novembre 2017

« Le parfum » (film) & « De la peur à la Joie » (rencontre)






10 11 Il semble que les choses s’apaisent un peu, que les énergies soient moins violentes. C’est toujours délicat d’interpréter ce qu’on vit parce que c’est très subjectif et cela se situe au-delà de la raison logique habituelle. Les infos au sujet de l’élévation du taux vibratoire de la planète restent douteuses dans la mesure où on ne peut pas en vérifier la source la plupart du temps mais d’un autre côté, ça n’est pas plus mal parce que ça oblige à se fier à son ressenti et son intuition, à suivre sa propre guidance et à prendre confiance en la source qui nous guide constamment. 
Cette source est autant en chacune de nos cellules via le mouvement qui les anime, qu’elle s’écoule en nos corps subtils, nos chakras, sous la forme d’une énergie vivifiante venant de la terre et d’une énergie plus subtile venant de notre âme/Soi.

Selon mon ressenti, ce que je vis ces derniers jours semble être un afflux d’énergie cosmo-telluriques et les douleurs senties par endroit sont l’expression du blocage de ce flux. 
Ce qui me fait croire cela, c’est le fait que maintenant je le ressens au niveau de la tête. 
Puis en ayant embrassé la peur de la mort, la sensation de douleur ou de crispation m’est apparue aussi au niveau du plexus solaire. 
Quand j’ai cessé de focaliser sur le cœur en arrêtant ainsi d'y ajouter de la peur, j’ai vu que les sensations se déplaçaient. C’est aussi le fait de me sentir plus légère qui m’amène à interpréter les choses de cette façon.

J’ai été absorbée par un film hier soir et je n’ai pas vu passer les deux heures et demi tellement l’histoire est remplie de messages. Pourtant les images sont dures, crues et parfois horribles mais comme je l’ai suivi tout en jouant à un  jeu, je n’ai pas regardé quand c’était trop violent.

jeudi 9 novembre 2017

« Ressentir la joie d’être »





6 11 Quand on apprend à observer ce qui se passe en soi en prenant un peu de recul, on peut alors voir le monde tel qu’il est, comment il change en profondeur et toutes les répercussions qui s’en suivent. On peut voir la lumière en l’ombre ou tout ce qu’il peut y avoir de bénéfique dans une situation qui nous fait réagir, dès lors qu’on prend le recul nécessaire.
Ce qu’on vit au niveau individuel nous aide à appréhender le monde avec plus de sérénité et de détachement. On peut voir que le désir de paix et d’unité amène nécessairement à voir ce qui en nous est encore en conflit. Et en restant focalisé sur le désir de pacifier les forces en nous, d’harmoniser les énergies, de vibrer l’unité, on va constater en effet comment tout s’aligne à l’intérieur.

Dans la société, c’est la même chose, le désir de sortir du système de prédation amène sur le devant de la scène, tout ce qui est dirigé par ce mode instinctif basé sur la domination, tout ce qui le nourrit. Chaque révélation amène toujours des dérives, des excès, des mouvements de masse que le besoin de justice exacerbe.
On remet en question tout le système tel qu’il a été vécu pendant des millénaires et cela entraine logiquement des réactions à l’échelle collective. Et cette remise en question poussée par le sentiment d’urgence face au constat de l’état de la planète et des limites du système fondé sur la domination, le contrôle, oblige chacun à sonder ses profondeurs, à s’observer intimement et objectivement. 
Pour changer, il est nécessaire de prendre d’abord conscience de ce qui en nous s’oppose au désir de paix, d’équilibre et d’harmonie. Puis le dialogue avec la source en soi permet d’actualiser sa vision, d’élever sa vibration, de voir avec objectivité, de recréer du lien, de permettre à l’énergie de s’écouler librement.

mardi 7 novembre 2017

« Comment être en contact avec cette société qui oblige à dire non au linky, vaccins, OGM…? » Babaji via Agnès Bos-Masseron





Ne dis pas "non". Dis "oui". Bien sûr, tu ne vas pas dire oui aux OGM… Dis oui. Le fait d’incarner le oui organise ta vie pour que spontanément tu œuvres pour ramener l’harmonie. Cela est la plus belle action. L’action peut être depuis le oui.

La puissance est d’incarner le bonheur. La puissance est d’incarner le oui. 
La puissance est d’incarner l’harmonie. La puissance est d’appliquer dans chaque moment de ton quotidien, à des petits niveaux peut-être, ta dévotion à l’harmonie.

Cela est ta contribution dans cette société qui peut être vue comme étant chaotique ou qui peut être vue comme étant l’harmonie. Toi, tu choisis l'harmonie et tu choisis de t’impliquer et d’offrir toute ta générosité.
Dire non, même si en apparence le non est justifié par l’amour de l’harmonie, affaiblit. Ne dis pas non. Dis oui.

Cela veut dire entraînez-vous à ne mettre votre attention que sur cette vision de la société que vous savez belle, pure et harmonieuse. Ce n’est pas votre fait de dire non. 
Dire non appartient peut-être à ceux qui se croient encore enfermés dans les voies du duel et qui croient devoir lutter, même si leur lutte est justifiée, belle et généreuse par leur amour pour l’harmonie.

lundi 6 novembre 2017

« Une invitation au détachement »



  

3 11Ces derniers jours ont été assez intenses. Les symptômes physiques au niveau du cœur, la constipation, les sensations étranges au niveau de la couronne, des vertiges, me renvoyaient soit à la peur de la mort, et aussi à la peur de vivre, de sentir la puissance de l’énergie, soit d’un point de vue uniquement physique, à des problèmes cardiaques. Les deux visions se superposaient mettant en évidence les paradoxes internes.

Mais dans un cas comme dans l’autre, c’est un face à face avec la peur et ses nombreuses ramifications. Et une invitation à lâcher prise, à se détacher des pensées, des croyances et conditionnements. Ce qui permet de simplifier les choses en suivant l'élan du désir. 

C’est toujours l’interprétation des faits qui modifie notre état d’être et en cela je peux constater la puissance des croyances. La différence entre une vision limitée des choses et celle qui prend en considération l’aspect énergétique de l’être.

J’ai fait face tant bien que mal à la peur de la mort et j’en reviens toujours à me dire que cette peur est l’énergie du monde, la vibration majeure de cette dimension sur laquelle tout est construit, élaboré. 
En ce sens, on a deux options, soit la fuir, soit l’observer sans juger. Déjà, la reconnaitre en diminue l’intensité, l’impact et cela nous permet de relativiser. 
J’apprends à la considérer comme une énergie capable d’initier le mouvement, comme un moteur d’action et non comme une ennemie à combattre, comme quelque chose de négatif.