vendredi 18 mars 2016

« Regarder, c'est créer ! » Dominique Lacroix






Avec tout ce qui a été dit jusqu’à maintenant sur la nature véritable de l’être humain et son fonctionnement, il devient de plus en plus clair que nous créons notre réalité individuelle et par extension que la réalité planétaire actuelle est la création de la conscience collective de l’humanité. La signification de cette constatation est très importante. 
Car si nous avons créé une réalité que nous n’aimons pas, cela veut dire que nous avons la possibilité de tout transformer. 

Toutefois, si vous ne vous sentez pas encore prêt à accepter votre responsabilité en tant qu’être créateur, peut-être pourriez-vous commencer par considérer que le simple fait de regarder quelque chose est un acte de création.

Ce qui est important dans les expériences que vous vivez est le regard que vous portez sur ce qui est présent autour de vous. Dès que vous regardez quelque chose, votre programmation subconsciente se met en action afin d’interpréter l’information qui se présente sous vos yeux. Cette information est alors comparée aux systèmes de référence et aux filtres de perception que vous avez adoptés et finalement la perception que vous aurez de cette information sera entièrement le résultat de votre interprétation, c’est-à-dire votre création.
Le monde matériel est notre champ d’expérience et la réalité qui se présente à nous est entièrement malléable, puisqu’elle résulte de notre interaction avec elle.

« Reconnaitre et harmoniser la jalousie dans la paix du cœur » & vidéo





Ce matin, je me suis levée à 4 heures après avoir dormi d’une traite pendant cinq heures dans un profond sommeil régénérateur, ça fait du bien. J'ai expliqué au chat mon point de vue au sujet du respect mutuel, affirmé mon désir de dormir en paix, de ne pas être dérangée et il est resté à sa place. J'ai failli rire quand je lui parlais parce qu'il avait des mimiques de mécontentement mais je n'ai pas craqué. 
J’ai la sensation d’avoir passé un cap, d’être plus déterminée, sure de mon chemin, certaine d’emprunter la voie qui me correspond, celle que mon âme m’inspire à suivre. 

Sur ce chemin, il y a des pièges qui sont autant d’occasions de libérer les vielles croyances qui nous maintiennent dans des structures de victime qui, si on les observe dans la neutralité, révèlent leur caractère initiatique. 

Et ce sont ces étapes essentielles qui ramènent au centre de l’être d’où la renaissance est possible. Il me semble que pour renaitre effectivement, il faille passer par l’utérus, cet espace dans lequel l’alchimie s’opère, dans lequel les émotions sont transmutées, équilibrées et ça se réalise simultanément avec la conscience et le cœur alignés.

On a tendance à s’arrêter sur ce que l’on considère comme une épreuve comme si c’était une fin, exactement comme on voit la mort alors qu’il s’agit à chaque fois d’un passage initiatique, une invitation de la source intérieure à élever notre conscience au-delà des apparences, au-delà de la sensation douloureuse pour reconstruire une nouvelle structure intérieure qui soutiendra la naissance du christ en soi.

« L’amour de votre vie, c’est vous-même »






Sachez que toutes vos relations sont d’abord fondées sur l’amour de soi et qu’elles en sont le reflet. 
Nous considérons l’absence d’amour de soi comme le problème numéro Un sur la planète actuellement, suivi de près par le sentiment de persécution.
Soyons bien précis : il ne s’agit pas des relations avec les autres, mais d’abord et avant tout, de la relation avec soi-même. 
C’est un point extrêmement important que nous aimerions travailler avec vous. 

La conscience collective comporte plusieurs programmes qui vous enferment dans des systèmes de croyances. 
Le premier système est très problématique car il vous prépare à l’échec et à la séparation. C’est celui des âmes sœurs ou âmes jumelles. 

Nous ne disons pas qu’elles n’existent pas, mais nous affirmons que le phénomène est très rare dans cette existence particulière que vous avez choisie. 

Même si ce n’était pas le cas, cela n’a pas vraiment d’importance car la relation avec une âme sœur ou jumelle ne diffère en rien de toute autre relation que vous pouvez entretenir avec votre entourage. 

jeudi 17 mars 2016

« Oser croire la voix qui murmure en soi: « je t’aime telle tu es »






Et bien la nuit a été encore mouvementée et même si je comprends un peu mieux la raison de cela, et là, je parle d’un point de vue purement humain puisque c’est ce que je suis ici et maintenant, ce qui interagit avec l’environnement qu’il m’appartient de gérer, il reste quelques doutes.
Je suis convaincue que ma réaction dans la relation aux autres révèle un aspect interne souffrant et la stratégie de défense qui est censée me protéger de celui qui est face à moi. Et que celui-ci me montre une part de moi que je ne veux pas voir, que je n'accepte pas. C'est pour cette raison que j'entre en réaction parce que son attitude résonne avec cet aspect interne que j'ai refoulé et qui par le fait est exacerbé ou douloureux.

La loi de résonance, l’effet miroir, sont ainsi à l’œuvre mais il n’est pas toujours facile de savoir comment utiliser ce principe de réflexion. En fait comme son nom l’indique, il est censé m’amener à réfléchir mais si je le fais depuis mes blessures, les réactions, le personnage interne qui souffre, le raisonnement sera faussé par le filtre mental émotionnel conditionné à réagir soit par la fuite, l’agression ou la paralysie. 
Il me faut donc trouver la paix sans faire taire la voix de la souffrance puisque c’est elle qui va me dire le besoin qui n’est pas nourri. 
Être à la fois la voix de la réaction et l’oreille qui écoute sans jugement, de façon neutre, qui peut prendre le recul nécessaire afin de détecter la blessure qui a été activée.

mercredi 16 mars 2016

« Le cœur a ses raisons » & vidéo





15 mars 2016 
C’est en réalisant par effet miroir que je manquais de clarté que j’ai décidé de changer ma façon d’écrire, disons plutôt que j’ai décidé de mettre en évidence les idées majeures qui sont enfouies très souvent dans les textes quotidiens de ce qui je le rappelle est un journal intime (partagé). 
Ce qui veut dire que l’écriture spontanée est le ‘style’, la forme et donc aussi la thérapie. 
En ce sens je ne change rien mais je vais prendre le temps de publier afin d’intégrer les ‘enseignements’ et faire le tri pour en sortir l’essence, le résumé. 

L’écriture spontanée est un exutoire que je recommande à tous ceux qui veulent se connaitre en profondeur et reconnaitre aussi la voix de la sagesse innée, l’inspiration des guides, de l’âme… 
C’est une façon de mettre les idées à plat et d’en ressortir autant les peurs du moment, les troubles, que la lumière, les idées inspirées. 

Le fait d’écrire spontanément laisse la parole à la vérité en soi, l’enfant intérieur exprime ce que porte l’inconscient, ça se manifeste par des pensées émotions de toute sortes et l’âme ou l’aspect « divin » manifeste aussi sa présence puisque les tous les deux parlent le même langage, celui du cœur.

mardi 15 mars 2016

« Miroir, mon beau miroir… » & Vidéo au sujet de "l'effet miroir"








« Tu veux te connaitre en profondeur, savoir quelles sont les croyances qui manifestent ta réalité ? Et bien observe tout simplement. Les autres te renvoient qui tu es, tant les qualités que tu portes que ce que tu appelles "défaut" et dans l’instant, dans la rencontre, celui qui se trouve face à toi, t’indique précisément cela selon ton état d’être du moment, selon les réactions ou pensées qui émergent en toi ».Voila ce qui m'est venu en tête alors que je parlais à mon âme.


L’effet miroir est relativement simple finalement, tout ce que nous disons est la projection de ce que nous pensons, ça, c’est une évidence en théorie mais très souvent, nous ne disons pas précisément les choses et parfois nous exprimons l’inverse. 
Et lorsqu’on prend conscience de cela lorsqu’on s’écoute penser, parler, il suffit de se dire que nous projetons les critiques, les croyances et les compliments que nous adressons aux autres, depuis nos propres croyances, que nous disons ce que nous pensons de nous-même.
Quand je pense que telle personne est agressive, ça veut dire que je me cache ma propre agressivité, que j’essaie d’être gentille, que je ne suis pas moi-même, que je joue un rôle. 
Ce rôle détermine le système de défense que j’aie adopté pour être acceptée par mon entourage et au-delà il révèle les blessures que je porte. 
L’agressivité est une forme de défense, un réflexe automatique et lorsqu’on reconnait/accepte cette énergie, lorsqu’on l’accueille en son cœur sans la juger, sans se juger, elle va servir notre potentiel créatif, nous donner du courage, de l’audace, de la détermination.

« La loi du moindre effort » Bianca Gaïa/Diane Leblanc & vidéo sur le sujet (3ème édition, lol)






Connaissez-vous la « Loi du moindre effort » ? 
Étant enfant, j’ai souvent entendu cette expression dans la bouche de ma mère lorsqu’elle nous reprochait à mon frère, ma sœur et moi, de nous contenter de faire le minimum dans notre vie, alors qu’elle attendait de nous le meilleur. 
Or, c’est en lisant dernièrement « La Divine Matrice » de Gregg Braden, que j’ai pleinement pris conscience du sens profond de cette expression communément utilisée dans le langage courant.

Plus encore, auparavant je n’avais jamais réellement compris qu’il s’agissait bel et bien d’une Loi universelle
Pourtant, l’énoncé est clair, la Loi du moindre effort évidente : ce qui nous demande le moins d’effort est ce qui nous apportera le plus grand résultat

Dans mon esprit, j’ai toujours cru le contraire, c’est-à-dire que nos résultats ne pouvaient être que proportionnels aux efforts que nous maintenions pour les obtenir.
Dans la bouche de ma mère, je n’entendais que le reproche et la menace voilée d’un échec : « Ma fille, si tu ne consacres pas toute ton énergie à accomplir cette tâche qui t’est imposée, tu en subiras les conséquences » ou encore « Si tu ne prends pas assez à cœur cette responsabilité qui t’est confiée, tu ne mérites pas non plus le succès qui pourrait en découler ! »…