lundi 9 novembre 2015

« La Terre et les hommes se nettoient » les êtres de lumière via Monique Mathieu





"Votre planète se nettoie, les êtres humains se nettoient ! Comment les êtres humains se nettoient-ils ? Souvent avec des larmes ! C'est pour cela que nous allons encore vous dire ceci : laissez couler les larmes ! Les larmes sont salvatrices, elles dégagent des émotions qui parfois sont emprisonnées en vous-même et peuvent créer des difficultés dans votre corps de matière. Comment la Terre se nettoie-t-elle  ? Avec des larmes d'une tout autre dimension que les larmes humaines ! 

La Terre se nettoie de deux façons : par le feu et par l'eau. Certains pays sont épurés, nettoyés par le feu, et d'autres par l'eau car certaines énergies, certaines vibrations basses, doivent être nettoyées par l'eau et d'autres par le feu.

Ils me montrent quelque chose de difficile à expliquer : je vois la Terre et certaines énergies qui ressemblent à des nébulosités. Il y en a plusieurs couches, et les plus sombres se trouvent très, très près de la Terre.
« Certaines de ces nébulosités, qui sont des énergies, peuvent être totalement nettoyées par l'eau, et d'autres, en fonction des pays et de l'énergie créée par les formes pensées des humains qui les habitent, doivent être consumées par le feu ; il se peut aussi que, dans un pays, elles soient nettoyées la fois par le feu et par l'eau.

« Gratitude à la vie qui m'enseigne à devenir libre et autonome »





Voilà une journée qui a commencé sous un ciel plombé qui s’est heureusement dégagé au fil des heures. Le phénomène des chemtrails est malheureusement une réalité mais plutôt que de me morfondre dans le désespoir et sans nier les faits, j’utilise cette situation pour asseoir mon propre pouvoir.
Je remercie au passage les personnes qui me permettent d’intégrer ma foi à un niveau plus profond et d’aligner mes pensées à l’amour lumière de la source, au travers des commentaires et des personnes qui m’ajoutent à leur cercle d’amis, sur google+. 

La question des chemtrails suscite beaucoup d’interrogations et surtout pour moi, celle de savoir s’il est bon de diffuser ces infos.
Pour entendre une vérité à propos du comportement des dirigeants, il faut être prêt. 
La vérité peut anéantir un être fragile conditionné par des croyances telles que « l’état est le père des nations », « laisser les plus intelligents diriger les peuples est une bonne chose », ou encore « tous pourris » et même « il faut bien que la société soit organisée par un système hiérarchique », « l’anarchie, c’est le chaos », « il faut des chefs puissants pour gérer le pays »…
Tout ce que ces pensées démontrent, c’est l’ignorance du vrai pouvoir qui est en chacun et la peur d'assumer sa vie.

dimanche 8 novembre 2015

« Questions de pouvoir »





Ce matin, j’ai envie de partager avec vous cette énergie de paix et de joie qui me remplit abondamment depuis que je me suis interrogée en toute sincèrité. Et pourtant, le ciel est rempli de particules formant un voile opaque, depuis hier après midi et le monde devient de plus en plus fou.
Hier soir, j’ai parcouru les réseaux sociaux et constaté la montée en puissance de la peur, des horreurs, des infos les plus terribles véhiculées en masse sur la toile.

Je suis absolument convaincue que c’est la manifestation de la somme des pensées énergies refoulées et de ce qui se manifeste en chaque individu.

Et oui le contexte est dramatique et rien que ce fait devrait mettre la puce à l’oreille de ceux qui savent que nous sommes tous reliés et que le monde est la projection des pensées de tous. 
Il est vrai qu’il est difficile à comprendre pour la personnalité humaine que nous participons tous à l’élaboration de ce monde, par les vibrations que nous portons, quand on connait les manipulations de l’élite. Quand on sait que la science et les technologies sont capables d’accomplir des prodiges, enfin je devrais dire des monstruosités et que ses ‘progrès’ fulgurants ont été réalisés sur des cobayes humains lors de la dernière guerre mondiale.
L’attrait du pouvoir est tel que ceux qui veulent se maintenir à la tête sont capables des pires horreurs, des mensonges les plus gros, afin de maintenir leur dominance. 

Mais face à tout ceci, nous ne sommes pas impuissants !

« L’attente ou la volonté du changement ? » Mirena





L’être humain espère le meilleur mais ne met pas toujours en place son propre changement pour cela. L’attente extérieure est souvent sa motivation. 
Il attend souvent une aide extérieure et ne s’implique pas dans sa propre progression. 
Il attend aussi de la lumière qu’elle créée le nouveau monde, qu’elle change en lui ce qui l’empêche d’avancer, qu’elle le libère. 
Ainsi, aucun élan n’est donné à ses rêves et à sa propre transformation. Il invoque souvent la lumière plutôt qu’il n’élargit son regard pour voir enfin le reflet de son illusion dans la vie qui l’entoure.

Il a en lui une volonté intellectuelle de comprendre, d’assimiler toutes sortes d’informations mais il n’applique pas toujours ce qu’il sait. Il laisse la connaissance au niveau de son intellect. Il s’en nourrit grâce au mental qui l’abreuve de celle-ci et ne la descend pas au niveau du cœur pour la vivre et s’accomplir

Il est souvent dans l’incapacité de reconnaitre sa propre responsabilité dans ce qu’il voit autour de lui et dans ce qu’il vit. Il n’accepte pas le reflet que lui renvoie l’humanité. Il reste séparé de celui-ci.

« Le plus grand obstacle à notre bien-être, c’est le rejet de soi ».





7 novembre; Finalement le plus grand obstacle à notre bien-être, c’est le rejet de soi qui nous coupe de notre cœur et pousse à se replier sur soi-même.
La peur est une dynamique, une énergie qui peut nous amener à grandir, à acquérir plus d’audace, de force, de confiance en soi, si nous la considérons de cette façon et laissons l’amour l’embrasser, l’équilibrer.

Ce qui fait souffrir, c’est l’excès, le déséquilibre, mais surtout le manque d’amour et quand nous renions une part de ce que nous sommes, nous nous coupons de cet amour, de notre être divin, unifié. 

Quand nous rejetons un aspect interne, généralement le plus fragile ou ignorant, nous nous interdisons de ressentir l’amour et la paix qui viennent de l’acceptation, de la reliance à l’amour lumière en nous-même.

En mettant en ligne l'article précédent, j’ai écouté à nouveau la vidéo d’Isabelle Padovani, que je remets plus bas, « Souffrir ou s’ouvrir ». C’est un rappel essentiel et tout à fait logique des bienfaits de l’acceptation. 
On parle beaucoup de la connaissance de soi dans le milieu du développement personnel et spirituel mais en fait qu’est-ce que ça veut vraiment dire ?

samedi 7 novembre 2015

« Apprendre à accepter ses émotions » & « Nier ou accepter » nospensées.com & vidéo Isabelle Padovani





« La sagesse c’est l’art d’accepter ce qui ne peut être changé, de changer ce qui peut l’être et, surtout, de connaître la différence »

« Ça ne sert à rien de s’inquiéter pour ça ». « Ça n’en vaut pas la peine ». « Tu n’as pas de raison d’être triste ». « Allez, arrête de pleurer ». « Tu dois te relever ».

Combien de fois avons-nous déjà entendu ce genre de phrases, prononcées avec la meilleure des intentions ?
On nous a donné ces conseils et nous les avons donnés également à d’autres, car ils paraissent bons et sensés. 
Cependant, lorsque nous tentons de les mettre en pratique,  nous ne parvenons pas à trouver la formule magique.

Malheureusement, nos émotions ne sont pas régies par des normes et ne suivent pas toujours notre volonté. 
Il ne suffit pas de vouloir changer les émotions que l’on ressent, car les sentiments sont là, bien présents, et ne disparaissent pas aussi facilement.
De plus, il est très fréquent que nous nous sentions frustré. 
Le fait de se sentir bien devient une sorte d’obligation, et si nous ne parvenons pas à atteindre ce but, nous finissons encore plus mal qu’au départ, c’est à dire maladroit, coupable, et nous croyons que n’importe qui est capable de gérer ses émotions, sauf nous.

vendredi 6 novembre 2015

« On ne résout pas les problèmes en feignant l’indifférence mais en les regardant en face »






Comme je le disais tout à l'heure, je suis en pleine libération émotionnelle et dans ce lâcher prise, un genre de fièvre apparait indiquant que le corps physique intègre, finalise, le processus. 
J’ai aussi remarqué que la majorité du temps, lorsqu’on est affaibli physiquement, on lâche prise beaucoup plus facilement, le mental n’est plus en roue libre, il se calme, comme s’il jetait l’éponge.
J’ai dû effectuer pas moins de trois méditations hier, pour retrouver la paix et la joie. Chaque fois que je pleure et c’est plutôt rare du fait que je prends des médicaments qui agissent sur le laboratoire chimique interne, inhibant les émotions, il se produit une détente profonde et un flot de tendresse s’écoule librement à l’intérieur. Un genre de « caresse de l’ange ».
Il y a deux jours, je reconnaissais la valeur de l’ego et un peu de culpabilité et de doute ont émergé. Je les ai offerts à la source et la confiance est revenue en même temps que la paix et l'harmonie intérieures.
Il est clair que le fait d’être en mode contrôle ou de se protéger est une stratégie de survie mais bien qu’elle sécurise pour un moment, ça nous coupe de notre pouvoir, de notre cœur, ça nous insensibilise. 
La phase d’acceptation d’un des aspects de soi créé un sentiment de sécurité mais on peut vite basculer dans une assurance un peu excessive qui trahit un manque de confiance en soi. 
Quand on accepte un aspect « fort » ou masculin, il est nécessaire et même logique lorsqu’on cherche l’harmonie intérieure, l’équilibre, qu’il faille aussi honorer sa vulnérabilité ou son côté sensible. 
C’est une façon de sacraliser le masculin et le féminin en soi et de les harmoniser. 
Enfin c'est de cette façon que je conçois et applique l'union et la sacralisation des forces complémentaires.