jeudi 4 juin 2015

« C’est le moment d’agir »






Après la journée d’hier complètement folle, j’ai pris la décision de reprendre ma vie en main, d’habiter vraiment mon corps, sans tenir compte des cachets, sans m’attarder sur cela et d’être dans l’action. J'ai encore été baladée des hauteurs de la joie aux profondeurs des énergies qui avaient besoin d'être libérée, puis finalement à la paix.
Maintenant que je sais qui je suis, ce qui me constitue et que le dialogue est établit avec les multiples aspects de l’être, je veux vivre ma vie dans la réalité, le concret, je choisi de m’incarner pleinement et de faire tout mon possible pour y parvenir. 

Le temps de l’introspection n’est pas terminé mais j’ai décidé qu’il ne devait plus être la priorité parce que ça mène très souvent à l’immobilisme or l’énergie est mouvement et ce genre de posture créé des frustrations qu’il faudra ensuite gérer en plus de la culpabilité et du sentiment d’échec. 
Revisiter le passé ne veut pas dire de s’y complaire, de s’y attacher mais juste d’accepter les faits afin de pouvoir se dire, « on fait quoi maintenant » ? Il est juste question de ne pas se fermer à ce qui se présente et de laisser passer ce qui ne nous sert plus.

Le passé est ce qu’il est, je peux changer mon regard sur ce que j’ai vécu mais les faits sont ce qu’ils sont. Je note la puissance de vie de l’enfant que j’étais qui portait en lui tout le potentiel créatif, la faculté d’adaptation et que ceci venait de sa capacité à habiter le moment présent. Il partait dans les moments où la protection était nécessaire, dans les mondes invisibles de la pensée. 
Cet enfant est encore en moi et en accueillant ce qui se manifeste dans l’instant, je libère tout le poids du passé ne laissant plus que l’amour entre, ce que je fus et ce que je suis.

mercredi 3 juin 2015

« Si la vie est un jeu, en voici les règles » Chérie Carter-Scott Règle --- n°5 L’apprentissage ne s’arrête jamais






Les leçons à apprendre ne sont absentes à aucun moment. 
Tant que nous vivrons, tout contribuera à notre enseignement.

Vous avez sans doute remarqué que, dès qu’un problème semble résolu et la leçon apprise, un autre défi se présente*. 
Dès que vous avez assimilé la leçon de l’estime personnelle, vous vous trouvez confronté à celle de l’humanité. 

A peine avez-vous compris comment être un bon père ou une bonne mère que vos enfants volent de leurs propres ailes et que vous devez apprendre la leçon de la temporisation. 
Vous croyez avoir un peu de temps à vous, et voilà que vous devez prendre en charge quelqu’un d’autre. 
Prétendre avoir la maîtrise de tous les détails de la vie est impossible, car la vie nous prépare quotidiennement de nouvelles surprises.
Le programme n’est jamais fini. 

Tant que nous vivrons, il nous restera des leçons à apprendre. 
Quels que soient notre âge, notre situation sociale, notre notoriété, nous continuerons de bénéficier de leçons nouvelles, pour aller encore plus loin.

mardi 2 juin 2015

« On ne rencontre jamais de difficultés mais plutôt des occasions de grandir » Lise Bourbeau






Nous vivons tous des moments où la vie semble être contre nous. Certains se demandent même ce qu’ils ont fait au bon Dieu pour vivre autant d’épreuves. 
En réalité, il n’existe pas de Dieu qui s’amuse à punir ou à éprouver les humains. 
Dieu est tout simplement l’énergie créatrice de chacun d’entre nous qui expérimente à travers tout ce qui vit.

Quand vous qualifiez les moments moins agréables – qui sont parfois très difficiles à accepter – d’ÉPREUVES, de DIFFICULTÉS, d’INJUSTICES, de MISÈRES, d’OBSTACLES ou de PUNITIONS, vous faites perdurer la situation

Cependant, il est normal d’avoir une réaction négative quand un problème arrive soudainement ou lorsque plusieurs surviennent en même temps.

Le but de cet article est de vous aider à sortir d’une situation désagréable le plus rapidement possible. 
C’est en changeant votre attitude intérieure face à celle-ci que vous y parviendrez. 
Ainsi, en la qualifiant d’OCCASION POUR GRANDIR, POUR APPRENDRE QUELQUE CHOSE D’IMPORTANT POUR VOUS, vous verrez la situation différemment.

« La réconciliation avec tous les aspects de l’être, c’est la pure manifestation de l’amour lumière que nous sommes éternellement »






Ce matin, je suis remplie de gratitude et c’est tout naturellement pour cette raison que j’ai publié ce premier article plein de sagesse, d’amour et de lumière. La journée d’hier a été très riche d’enseignements, par l’acceptation de ce qui est, ce regard bienveillant sur soi qui permet de voir la lumière en toutes choses. 
C’est vrai que sur le moment, ça n’est pas des plus confortables mais si on accepte d’être traversé par des pensées émotions sachant qu’elles se montrent juste pour être embrassées et ainsi libérées, on facilite grandement l’intégration de l’amour, de la grâce. 

La souffrance vient toujours du fait de refuser ce qui se manifeste dans l’instant, soit en soi, soit au dehors. Ce qui nous dérange à l’extérieur est une invitation à sonder notre cœur, nos profondeurs et on y trouve toujours la sagesse, la Vie.

La confiance en soi se bâtit ainsi au travers des yeux du cœur. L’amour est pure tendresse, gratitude, joie de vivre, enthousiasme, innocence et comme cette énergie est indissociable de la lumière, comme elle est lumière, la sagesse l’accompagne ; elles se révèlent mutuellement. La lumière, c’est la connaissance pure, celle de notre être tout entier, celle qui nous permet de voir ce qui est, dans toute sa splendeur, sa vérité parfaite. 

Bien que l’amour soit tendresse et compassion, il n’a rien à voir avec la complaisance, la flatterie, il n’a rien à vendre mais tout à offrir. Il permet de voir ce qui est, sans peur, sans culpabilité, sans émotions.

« La portée du 4 » Magali, enseignante-guérisseuse






La Création est issue de l'Un.

Lors de l'émanation des premières consciences de Vie, les Soi ou Éons ressentirent un profond sentiment de Gratitude envers leur Père/Mère. 
Ils se mirent à chanter devant la Grandeur et la Profondeur de l'Amour. 
La Gratitude fut/est le premier élément sur lequel s'appuya la Volonté des Soi de répondre au souhait de l'Un : explorer chaque parcelle de Lui/Elle afin d'exprimer leur Amour. 

La portée de la trinité, du 3, sur laquelle nous sommes nous apprend à revenir au Centre
Elle nous enseigne que tout est Juste et que nous sommes dépositaires d'un merveilleux cadeau : la reliance à notre Essence divine, à l'Un.

La portée du 4 fait appel à nos compétences d'Aventuriers, à tourner notre regard vers nos origines : la Gratitude. 
 
Dans la fréquence de la trinité, nous appréhendons ce sentiment en cheminant vers la Paix et la Joie. 
Nous projetons à l'extérieur afin d'expérimenter des émotions et des sentiments

lundi 1 juin 2015

« Apaisez les turbulences de votre mental grâce à la Focalisation » Dr Véronique Baudoux






Votre cerveau surchauffe à force de faire des heures supplémentaires ?
Vous aimeriez pouvoir débrancher sur commande vos neurones hyperactifs ?
Vous ressassez, vous ruminez… ? Vos questions tournent en boucle et vos pensées tournent en rond ? 
Faire le vide dans votre tête vous semble aussi accessible que d’escalader l’Everest à mains nues ? 
Il est possible de calmer votre brouhaha intérieur et de découvrir les bienfaits d’un mental apaisé…
Je devine que vous allez me dire que vous avez tout essayé et que jamais vous ne parvenez à faire le vide dans votre tête…

Rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule personne qui est confrontée à cette difficulté : durant les ateliers de développement personnel, c’est le principal problème que les participants rencontrent (même s’ils ne le disent pas tout haut).
Mais, le plus souvent, on vous dit « Faites le vide dans votre tête » et cela s’arrête là…

« Grosse fatigue…bonne détente »






Ce matin, je me sens toute bizarre, j’ai dormi longtemps comme hier et je n’arrive pas à être présente. Il y a tant de bouleversements physiques et émotionnels que je ne sais plus trop où j’habite mais ça ne m’angoisse pas. 
Le mental continue de cogiter à propos de tout et de rien et je me dis qu’il est temps de le questionner, de remplir les feuilles téléchargées hier sur le site de Byron Katie. 
Mon intérêt accru pour son travail fait ressortir des peurs et des questions à propos du sens même de la vie. 
Comme si tout ceci était une immense farce et que je m’accroche à mon passé pour exister, comme si sans lui tout allait s'écrouler. 
La peur de n’être rien m’empêche de franchir le pas. 
La peur d’oser tout lâcher, les préjugés, les croyances. 
Une part de moi n’en peut plus de vivre à moitié et l’autre s’accroche à ce qui ressemble de plus en plus au film, "un jour sans fin". 
Je l’ai regardé hier soir, pour une fois, je ne suis autorisée à être ‘passive’, enfin si on peut dire parce que ça soulève aussi des questions. Je me rends compte que cette façon de cogiter semble donner un sens à ma vie, une façon de passer le temps, enfin de le rendre ‘intéressant’. Le hic, c’est que je ne vis pas dans la réalité, je ne fais pas grand-chose, je vis une vie entre deux états d’être. Deux identités, voire trois. Il y a Lydia du passé, Lydia du présent et Lydia du futur qui sont toutes aussi immatérielles les unes que les autres.  Comme si je n’arrivais toujours pas à m’incarner complètement, comme si je flottais sans arrêt entre ses lignes du temps. Les nuits depuis deux jours, sont longues et je me réveille plus fatiguée que lorsque je dors moins.