Ce
matin, tout comme hier, je suis face à mes ombres, face à ce qui me dérange le plus
chez les autres et dans le monde. C’est exactement le reflet de ce que je vis en
moi, et en cela, je suis déjà apaisée; Les chemtrails qu’on nous sert au petit
déjeuner sont le miroir des médicaments
que je prends et surtout que je regarde avec un œil critique, en me jugeant de
ne pas être capable de vivre sainement.
En me levant, j’ai vu que le vent avait
emporté la housse de couette que j’aie mise à la machine hier soir après que
Bilou ait marqué son territoire en pissant dessus.
Comme je suis à chercher l'harmonie
intérieure et que mon environnement me renvoie "l’image" de mon taux vibratoire, j’ai interprété cela comme le signe de ma difficulté à trouver le
point zéro, et la colère l’a emporté au point de prendre un bout de cachet. Je n'ai pas culpabilisé puisque je suis tout de même consciente de faire de mon mieux et que cette "rechute" est perçue comme telle, selon la vision de l'ego.
Déjà,
le matin, j’ai passé 4 heures à lire des infos à propos des chemtrails et j’ai
dû courir pour être à l'heure à mon rendez vous chez le coiffeur.
Encore une occasion de
critiquer le mental et "son besoin de comprendre plutôt que d’accepter ce qui
est"; C'est une perception et une interprétation purement égotique qui trahit le manque d'amour de soi. L'auto-critique s’est manifestée par la colère que
je l’ai vite accueillie avant que ça ne vienne créer quelque chose de désagréable.