Pour ceux qui n’auraient pas eu le temps de visionner les
vidéos de Jean-Jacques Crèvecœur, voici l’occasion de le faire. C’est possible
jusqu’au dimanche 29 mars.
Je dois dire que je n’ai pas encore trouvé le temps
de regarder la cinquième !
Je courre encore après le temps et
les activités se multiplient avec l’arrivée du printemps.
Vous pouvez télécharger
le pdf de la première vidéo « 10 étapes pour prendre soin de votre vie »,
au bas de la page de cette même vidéo. Celui de la quatrième « Transformer
vos expériences en conscience », est aussi téléchargeable sur la page où
elle apparait. Il vous faut vous inscrire à chaque fois si comme moi, vous
effacer l’historique du navigateur ou si vous utilisez Ccleaner.
Je crois que
je vais enregistrer la 5ème avec mon appareil photo. La qualité est
moyenne mais comme c’est le discours qui compte, ça fera l'affaire. Puis, vu le sujet abordé, "la pédagogie", je
pense que je devrais l’écouter plus d’une fois…
C'est une chose de vouloir transmettre mais s'il est question de faire passer des infos afin de participer à l'évolution d'un être, d'une société, à moins de suivre son cœur et de l'avoir harmonisé avec l'ego, on ne fera que jouer un jeu, nourrir l'orgueil, le besoin de reconnaissance extérieure, signe d'un manque d'amour vrai de soi et de l'autre.
Savoir écouter l'autre avec le cœur plutôt que de chercher la réponse qu'on lui donnera pendant qu'il parle, ça s'apprend.
La meilleure école, c'est de s'écouter, d'apprendre à connaitre ses vrais besoins et à les honorer; de vivre l'amour inconditionnel pour chaque partie de notre être. Faire la paix avec toutes ces facettes de soi qu'on critique et rejette, reconnaitre leur valeur, adoucit notre cœur, change la relation à soi-même et aux autres automatiquement.
De cette façon, on n'a plus besoin de l'amour des autres et on peut alors aimer vraiment, être soi-même et ainsi ne pas vouloir changer l'autre ou lui plaire, l'écouter avec le cœur sans être submergé par ses émotions, sans qu'elles viennent éveiller en nous le sauveur et en même temps la victime parce que les deux font la pair.
Dans l'écoute attentive de soi, on apprend à ouvrir son cœur et comme le fait de ne pas lutter intérieurement, de s'accepter entièrement, nous attendrit, amplifie l'amour vrai de soi, on pourra comprendre les difficultés de l'autre, une empathie naturelle et sincère émergera et on ne sera pas dans l'attente de le voir changer pour satisfaire notre besoin d'être rassuré dans nos compétences, nos dons ou nos talents.
On peut participer à des stages, des séminaires, des formations, on n'aura une connaissance théorique mais ça ne suffira pas à avoir suffisamment d'empathie pour écouter vraiment sans juger intérieurement, sans commenter.
Je ne parle pas forcément d'avoir un comportement hautain mais plutôt des pensées intérieures qui viennent pendant que l'autre nous parle de ses problèmes.
Selon notre degré de compréhension de la nature humaine, on aura des commentaires d'évaluation de la personne plutôt condescendants; Puisqu'on a la connaissance, l'autre est forcément dans l'erreur, donc "inférieur" dans sa capacité de compréhension et de gestion de sa vie.
Pire si c'est quelqu'un qui nous confie ses vices ou perversions, à moins d'être clair avec ses propres ombres, on aura aussi tendance à le sous-estimer ou à le diaboliser.
J'ai remarqué ça quand j'étais membre d'une église où il y avait beaucoup de règles à suivre, de restrictions, de "commandements", pour être considéré comme un bon membre et jouir de certains privilèges comme donner des cours, être "digne"d'aller au temple...
Comme j'avais arrêté la drogue et la cigarette, je regardais de haut ceux avec qui pourtant j'avais partagé des moments intenses de fraternité, d'échange et d'intimité sincère.
En fait, comme ma décision de ne plus prendre de produits toxiques était motivée par le besoin d'être intégrée, j'étais frustrée inconsciemment et me la pétais pour compenser le manque. Mais à ce moment là, je ne me rendais pas compte des frustrations internes.
Puis quand j'ai repris la cigarette, cette fois-ci, je pouvais sentir ce même regard hautain, dissimulé sous une empathie de façade, venant de personnes que j'avais connues à des moments de leur vie où elles étaient beaucoup plus libres, bien que leur position sociale était catastrophique aux yeux de la société. Combien de fois j'ai entendu des trucs du style: "Mais tu sais, tu es une bonne personne même si tu n 'obéis pas au seigneur"...
Les frustrations qui naissent du contrôle exercé sur soi-même nous rendent très durs avec les autres, jusqu'à l'extrême chez certains intégristes. Chez ceux qui se disent spirituels ou chrétiens ça reste caché, dans le monde des pensées et parfois c'est inconscient.
Puis quand on s 'écoute penser et qu'on voit que la peur est sous-jacente aux mécanismes de rejet, de critique, on utilisera nos propres critiques intérieures pour revenir en son cœur y trouver l'équilibre et le pardon à soi favorisera le pardon envers l'autre. Tout ces mécanismes nous montrent l'intereliance entre les humains, la résonance, puisque que notre façon de nous traiter et la façon de traiter l'autre sont analogues.
J'ai pu constater que j'avais encore besoin d'être validée par l'autre en allant chez le coiffeur avec qui je peux parler de mes "recherches", celles dont je témoigne ici, puisque c'est une femme qui étudie les énergies et pratique l'hypnose, utilise des bols chantants...Enfin ça, il faut le savoir parce qu'elle n'a pas du tout l'apparence "folklorique" habituellement rencontrée chez ceux qui s'intéresse au chamanisme.
Bref, je n'ai pas arrêté de parler et je me voyais essayer de synthétiser un maximum d'info alors qu'elle n'a rien à apprendre! Elle sait qui elle est, travaille sur elle-même et n'a pas besoin d'être convaincue! Celle qui était confuse, c'était moi!
C'est dingue comme le stress peut amener à user de stratégies de défense dissimulées par un savoir théorique, étalé en l'espace de vingt minutes!
La peur d'être touchée par des mains étrangères, d'être manipulée (bien que je lui fasse confiance sinon, je n'irais pas me faire couper les cheveux chez elle, je demanderais à ma sœur de le faire comme je l'ai fait pendant plus de vingt ans), m'a amenée à déballer mon 'savoir' comme pour montrer que je n'étais pas si facile à duper!
Il faut dire que le réveil et la matinée ont été intenses!
Mais bon, on verra ça dans un autre papier, le jardin m'appelle...
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C'est une chose de vouloir transmettre mais s'il est question de faire passer des infos afin de participer à l'évolution d'un être, d'une société, à moins de suivre son cœur et de l'avoir harmonisé avec l'ego, on ne fera que jouer un jeu, nourrir l'orgueil, le besoin de reconnaissance extérieure, signe d'un manque d'amour vrai de soi et de l'autre.
Savoir écouter l'autre avec le cœur plutôt que de chercher la réponse qu'on lui donnera pendant qu'il parle, ça s'apprend.
La meilleure école, c'est de s'écouter, d'apprendre à connaitre ses vrais besoins et à les honorer; de vivre l'amour inconditionnel pour chaque partie de notre être. Faire la paix avec toutes ces facettes de soi qu'on critique et rejette, reconnaitre leur valeur, adoucit notre cœur, change la relation à soi-même et aux autres automatiquement.
De cette façon, on n'a plus besoin de l'amour des autres et on peut alors aimer vraiment, être soi-même et ainsi ne pas vouloir changer l'autre ou lui plaire, l'écouter avec le cœur sans être submergé par ses émotions, sans qu'elles viennent éveiller en nous le sauveur et en même temps la victime parce que les deux font la pair.
Dans l'écoute attentive de soi, on apprend à ouvrir son cœur et comme le fait de ne pas lutter intérieurement, de s'accepter entièrement, nous attendrit, amplifie l'amour vrai de soi, on pourra comprendre les difficultés de l'autre, une empathie naturelle et sincère émergera et on ne sera pas dans l'attente de le voir changer pour satisfaire notre besoin d'être rassuré dans nos compétences, nos dons ou nos talents.
On peut participer à des stages, des séminaires, des formations, on n'aura une connaissance théorique mais ça ne suffira pas à avoir suffisamment d'empathie pour écouter vraiment sans juger intérieurement, sans commenter.
Je ne parle pas forcément d'avoir un comportement hautain mais plutôt des pensées intérieures qui viennent pendant que l'autre nous parle de ses problèmes.
Selon notre degré de compréhension de la nature humaine, on aura des commentaires d'évaluation de la personne plutôt condescendants; Puisqu'on a la connaissance, l'autre est forcément dans l'erreur, donc "inférieur" dans sa capacité de compréhension et de gestion de sa vie.
Pire si c'est quelqu'un qui nous confie ses vices ou perversions, à moins d'être clair avec ses propres ombres, on aura aussi tendance à le sous-estimer ou à le diaboliser.
J'ai remarqué ça quand j'étais membre d'une église où il y avait beaucoup de règles à suivre, de restrictions, de "commandements", pour être considéré comme un bon membre et jouir de certains privilèges comme donner des cours, être "digne"d'aller au temple...
Comme j'avais arrêté la drogue et la cigarette, je regardais de haut ceux avec qui pourtant j'avais partagé des moments intenses de fraternité, d'échange et d'intimité sincère.
En fait, comme ma décision de ne plus prendre de produits toxiques était motivée par le besoin d'être intégrée, j'étais frustrée inconsciemment et me la pétais pour compenser le manque. Mais à ce moment là, je ne me rendais pas compte des frustrations internes.
Puis quand j'ai repris la cigarette, cette fois-ci, je pouvais sentir ce même regard hautain, dissimulé sous une empathie de façade, venant de personnes que j'avais connues à des moments de leur vie où elles étaient beaucoup plus libres, bien que leur position sociale était catastrophique aux yeux de la société. Combien de fois j'ai entendu des trucs du style: "Mais tu sais, tu es une bonne personne même si tu n 'obéis pas au seigneur"...
Les frustrations qui naissent du contrôle exercé sur soi-même nous rendent très durs avec les autres, jusqu'à l'extrême chez certains intégristes. Chez ceux qui se disent spirituels ou chrétiens ça reste caché, dans le monde des pensées et parfois c'est inconscient.
Puis quand on s 'écoute penser et qu'on voit que la peur est sous-jacente aux mécanismes de rejet, de critique, on utilisera nos propres critiques intérieures pour revenir en son cœur y trouver l'équilibre et le pardon à soi favorisera le pardon envers l'autre. Tout ces mécanismes nous montrent l'intereliance entre les humains, la résonance, puisque que notre façon de nous traiter et la façon de traiter l'autre sont analogues.
J'ai pu constater que j'avais encore besoin d'être validée par l'autre en allant chez le coiffeur avec qui je peux parler de mes "recherches", celles dont je témoigne ici, puisque c'est une femme qui étudie les énergies et pratique l'hypnose, utilise des bols chantants...Enfin ça, il faut le savoir parce qu'elle n'a pas du tout l'apparence "folklorique" habituellement rencontrée chez ceux qui s'intéresse au chamanisme.
Bref, je n'ai pas arrêté de parler et je me voyais essayer de synthétiser un maximum d'info alors qu'elle n'a rien à apprendre! Elle sait qui elle est, travaille sur elle-même et n'a pas besoin d'être convaincue! Celle qui était confuse, c'était moi!
C'est dingue comme le stress peut amener à user de stratégies de défense dissimulées par un savoir théorique, étalé en l'espace de vingt minutes!
La peur d'être touchée par des mains étrangères, d'être manipulée (bien que je lui fasse confiance sinon, je n'irais pas me faire couper les cheveux chez elle, je demanderais à ma sœur de le faire comme je l'ai fait pendant plus de vingt ans), m'a amenée à déballer mon 'savoir' comme pour montrer que je n'étais pas si facile à duper!
Il faut dire que le réveil et la matinée ont été intenses!
Mais bon, on verra ça dans un autre papier, le jardin m'appelle...
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Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci