Je suis dans un état euphorique ce matin alors même que je n’ai pas encore pris mes petits bouts de cachets ! Rien qu’en écrivant ça, je rigole parce que la délivrance est déjà là. Oui, je continue de prendre ce truc mais ça n’est plus du tout obligatoire, vital et même nécessaire.
Mon corps physique a
subi trop de violence et certainement qu’il reste encore quelques trucs en moi
qui continuent d’activer le programme d’autoguérison.
Le mental a toujours un temps d’avance sur
l’inconscient et ça vient juste du fait que leur programmation différent.
Pour lui, maintenant, la guérison est derrière, elle fait partie du passé. Parce que le seul fait de se dire, "je veux guérir", maintient dans la vibration de la maladie, de la victime. Mais ne nous emballons pas, chaque chose en son temps...
Déjà si le mental change sa perception rien qu'en se disant "je suis guérie" puis ensuite en oubliant même toute notion de guérison et en la remplaçant par "libération", ça change la fréquence, l'énergie.
Longtemps, ces deux "aspects de la pensée" étaient d’accord pour "dire" que les béquilles
chimiques étaient nécessaires puis, peu à peu par la compréhension du mode de
fonctionnement de la psyché et de ses « compartiments »;
conscient, inconscient, subconscient, le mental a changé sa vision, sa perception de la situation.