Je suis dans un état euphorique ce matin alors même que je n’ai pas encore pris mes petits bouts de cachets ! Rien qu’en écrivant ça, je rigole parce que la délivrance est déjà là. Oui, je continue de prendre ce truc mais ça n’est plus du tout obligatoire, vital et même nécessaire.
Mon corps physique a
subi trop de violence et certainement qu’il reste encore quelques trucs en moi
qui continuent d’activer le programme d’autoguérison.
Le mental a toujours un temps d’avance sur
l’inconscient et ça vient juste du fait que leur programmation différent.
Pour lui, maintenant, la guérison est derrière, elle fait partie du passé. Parce que le seul fait de se dire, "je veux guérir", maintient dans la vibration de la maladie, de la victime. Mais ne nous emballons pas, chaque chose en son temps...
Déjà si le mental change sa perception rien qu'en se disant "je suis guérie" puis ensuite en oubliant même toute notion de guérison et en la remplaçant par "libération", ça change la fréquence, l'énergie.
Longtemps, ces deux "aspects de la pensée" étaient d’accord pour "dire" que les béquilles
chimiques étaient nécessaires puis, peu à peu par la compréhension du mode de
fonctionnement de la psyché et de ses « compartiments »;
conscient, inconscient, subconscient, le mental a changé sa vision, sa perception de la situation.
En amplifiant la foi en l’humain divin, en l’autoguérison, la puissance de la
pensée, l’amour de soi, la notion d’unité intérieure, il a changé son point de
vue par son association avec les énergies du cœur, par l’alchimie mentale et émotionnelle.
Et puis, tant que la foi reste en surface, il ne se passe pas grand-chose cependant,
cette étape est indispensable parce qu’elle nous donne de l’endurance, de la maitrise, de la
confiance en soi, elle fortifie la foi, la volonté de guérir, ingrédients ou
énergies de la guérison.
L’énergie de l’âme, du divin, doit imprégner touts les
corps, toutes les dimensions de l’être et ça se réalise par l’observation, la
compréhension des jeux de rôles, leur libération et comme ça se fait par
l’alchimie émotionnelle, le divin descend alors jusque dans le ventre, dans les
chakras du bas.
Mais, il est aussi nécessaire de s’ancrer à la terre pour faire
de sa foi une réalité quotidienne et ainsi guérir le passé, par l’attention au
présent, par des choix significatifs qui vont imprégner les corps de l’énergie
du renouveau.
Bon je simplifie beaucoup mais la base est là. L’introspection bienveillante,
l’amour vrai de soi, la confiance en soi, l’ancrage, le retour au cœur,
permettent à la conscience divine de réaliser son œuvre de transmutation.
Puis
peu à peu en ayant confiance en son action, on va lâcher prise plus facilement.
L’ego oppose une résistance naturelle qui ne tarde pas à diminuer puis à
s’effacer quand il comprend tous les bénéfices que ça implique. Mais cette
« résistance » nous permet d’acquérir de la force, force de volonté
indispensable au changement des croyances.
Il ne faut pas se leurrer, il est
un partenaire bienveillant et agit un
peu comme un père protecteur.
Notre constitution est parfaite, il ne faut pas
oublier que c’est l’aspect divin de ce que nous sommes, qui l’a créé, qui a
créé ce que nous sommes ici et maintenant. L’âme a amené ses expériences et
ensembles, ils éduquent le mental, la personnalité, l’enfant en soi.
Le seul hic, c’est que le mental n’a pas les bonnes données
mais ce qui est certain c’est qu’il aime, il aime ‘mal’, mais il aime. Sinon,
il n’aurait pas autant de zèle à chercher la vérité, à vouloir comprendre,
apprendre. Un peu comme nos parents qui ont toujours fait de leur mieux selon
leurs connaissances, leur compréhension de l’époque et leurs propres blessures.
La connaissance de l’alchimie émotionnelle est toute
récente, du moins accessible à tous. Avant, seuls les initiés savaient…en cela,
le caractère secret, est un poison mais il faut aussi replacer ça dans son
contexte.
Nous sommes nombreux à avoir souffert « de savoir », d’avoir
des visions, de se fier à notre intuition, de développer le féminin sacré
intérieur (ennemi juré pour le patriarcat), dans d’autres temps et là aussi, il
y a besoin de guérir ce passé extrêmement violent et les peurs qui se sont
imprégnées profondément dans les chakras racine et sacré, le cortps émotionnel et l’inconscient, brimant notre pouvoir créateur...
Pour amplifier l’amour en soi, il est absolument nécessaire
de passer par la phase d’acceptation totale de soi.
Et c’est l’amour qui va
remettre les compteurs à zéro afin de pouvoir renaitre par l’énergie divine en
nous, qui est amour et lumière.
Et dans cette étape, on va apprendre à écouter
son cœur, son corps, à leur faire confiance jusqu’à pouvoir suivre l’élan de l’instant sans
plus se poser de question, en étant certain que c’est juste.
La personnalité a
besoin de preuves, ce qui est légitime et en se plaçant en mode observateur de
sa vie, de son monde intérieur, on apprend à connaitre la voix de l’âme.
Reconnaitre et accepter l’effet miroir, libère du rôle de victime et permet de retrouver
son pouvoir de création délibérée qui au début sera appliqué au niveau du
mental de façon à le réinitialiser et à libérer les fausses croyances, à
libérer l’inconscient des programmes de peur, de survie et de prédation.
Là, il faut de la patience qui est une énergie d’amour
guérissante qui va amplifier l’amour de soi, l’amour en soi et la confiance en
son potentiel créateur.
Puis peu à peu, en étant attentif à ses pensées, en les
« inversant », c'est-à-dire en les remplaçant par des pensées d’amour
et en cela on peut s’aider avec l’EFT par exemple, on va éduquer le mental, changer
ses programmes, ce qui a pour effet de libérer l’inconscient. La respiration
consciente, la présence au corps physique, au moment présent, vont permettre à
l’énergie de Vie, d’imprégner les corps et de réaliser une véritable révolution
en profondeur, une libération du passé, durable et définitive.
Une autre étape essentielle, c’est de personnifier les
aspects intérieurs fragiles, ceux qui sont soumis par la peur, et de les
considérer comme des enfants, ce qui libère l'énergie de la tendresse qui peut alors s'écouler librement. Puisque nous les avons créés (émotions et croyances) par notre ignorance,
notre innocence (nous ne sommes donc pas coupables parce que nous ne savions pas.)
Non seulement ça permet de casser la rigidité, de libérer les énergies de la
peur telles que l’arrogance, l’orgueil et ça permet d’intégrer l’énergie du
pardon en profondeur.
Celle-ci étant une des manifestations de l’amour pur, on
fera un grand bon en avant par
l’humilité, énergie divine aussi, qui nous préservera de l’orgueil, énergie
involutive qui s’oppose à ce que nous sommes en essence et en vérité.
Tant
qu’on accuse l’autre (notre ego, nos défauts ou les autres), qu’on le critique, on se prive de la connaissance qui
libère définitivement de l’ancien mode de fonctionnement, qui s’appuie sur la
croyance que nous sommes séparés et surtout que l’autre est un ennemi.
Cette
connaissance que nous sommes UN, ne peux se réaliser (se comprendre et se
vivre) si nous restons accrochés à nos peurs, mais en les libérant, il devient
évident que nous sommes interconnectés au niveau de l’âme, de la conscience,
que nous venons tous de la même source d’amour lumière, de la même conscience.
Cette étape essentielle, nous libère définitivement de la peur de l’autre et on
accède à l’amour universel. La conscience que Tout est vivant, relié, et que
nous interagissons continuellement avec notre entourage.
Je viens d’avoir un coup de fil d’une âmie de toujours,
reconnue, retrouvée par le biais de ce blog et je pétille d’enthousiasme, de
bonheur et d’anticipation. Cette sensation qui s’exprime par des visions de
l’avenir, que les synchronicités confirment et que l’échange sincère vient
corroborer.
Nous avons, de toute évidence, planifié notre venue sur
terre, individuellement avec l’aide de nos guides, qui sont des expressions de
notre conscience individuelle, notre « Je Suis » et « signé des
accords » avec certaines âmes afin de concrétiser dans la matière, de
manifester notre énergie spécifique selon des désirs communs.
En fait, les âmes
sœurs sont des énergies qui s’unissent par ressemblance, autour de thèmes spécifiques, selon la
passion qui les animent. Ce n’est pas facile à expliquer mais c’est une réalité
qui devient de plus en plus évidente. On le sait lorsqu’on rencontre quelqu’un
qui nous semble très familier au premier contact, alors même qu’on ne se
connait pas du tout. C’est une vague sensation qu’on a tendance à laisser de
côté mais la certitude est là et au niveau de l’âme, la reconnaissance est
immédiate.
Il y a certes l’effet miroir et la résonance qui nous relient à
certains êtres parce que nous avons des vécus communs, mais il y a aussi cette
reconnaissance au niveau énergétique, subtil que peut capter notre âme.
Quand
on ne sait pas qui on est, cette « ressemblance », se traduit par des
regroupements plus emprisonnant que solidaires, comme le fait de se
marginaliser, d’utiliser des drogues, d’être homosexuel, d’avoir été victime
d’inceste, de viol, on s'unit par le malheur…
Mais quand on se libère de ce passé, de ce poids, on voit
alors que ce qui nous pousse à nous rassembler, n’est autre que la mémoire de
l’âme. Et comme la peur, la culpabilité, le sentiment de se sentir minable,
stigmatisé, brouille notre vision et notre compréhension, on interprète de travers.
Depuis hier, j’ai
envie de dire à tous ceux qui se droguent, à tous ceux qui souffre de
dépendances, que c’est une « chance » !
Que ça signifie que
l’individu a un potentiel immense, une âme d’une grande sagesse, d’une capacité
d’aimer énorme qui attend juste de s’exprimer et quand on se libère des
croyances négatives à propos de soi, tout va très vite, les dons et talents
reconnus sont « retrouvés ». Ils ont toujours été là mais en latence,
n’attendant que d’être reconnu et équilibrés sur le plan de l’incarnation, pour
devenir une puissance au service de soi-même avant tout et des autres, tout
naturellement.
Je bouillonne d’idées, de désir, de joie et le soin d’hier
a participé à cela. Les énergies de la Lune qui permettent d’intégrer le
féminin sacré, ont favorisé cette intégration et l’émergence de la femme
sauvage, libre, passionnée…
Je suis âmie avec Marie, sur Facebook et là encore, il y a
eu cette reconnaissance au niveau de l’âme qui m’a aidée à me rapprocher d’elle
sans aucune hésitation, comme si je retrouvais un membre de ma famille d’âme.
Puis, les messages que nous publiions en même temps, l’intérêt pour les mêmes
enseignements, l’énergie semblable, la bienveillance naturelle, l’enthousiasme
de l’enfant qui découle de la reconnaissance mutuelle de l’importance de
prendre soin de l’enfant intérieur et même le seul fait de le reconnaitre, nous
rapproche aussi au niveau de la personnalité.
Bref, j’ai pu accepter de
participer à ce cercle de guérison sans me poser de question.
Mais avec les
publications sur le blog, le « travail » sur soi, les choses du
quotidien, les autres invitations à des conférences et l’empreinte inconsciente
des programmes involutifs, qui bien qu’ils ne s’activent plus systématiquement,
continuent d’être là, j’ai complètement oublié mon « engagement » à
participer au soin.
Mais, comme je suis toujours mon cœur, les envies du moment,
sans opposer de résistance puisque je sais que c’est mon âme qui me guide,
cette dernière m’a amenée à aller sur Facebook juste ¼ d’heure avant l’heure du
rendez-vous.
Là encore, c’est un signe indubitable que mon âme m’inspirait pour
ce coup là.
J’ai lu vite fait les indications, la marche à suivre, puis j’ai
publié l’invitation sur le blog afin que vous puissiez vous joindre au cercle.
Je me suis relaxée sur le canapé et j’ai observé les réactions de la chienne et
de Bilou, la sauvageonne qui se sent de plus en plus à l’aise à la maison et
qui m‘indique, me reflète ma fréquence vibratoire. Elle ne fait pas que cela,
elle m’aide à ancrer le féminin, à l’équilibrer avec le masculin…mais ça n’est
pas le propos. J’en parle juste pour situer le contexte et rappeler que notre
environnement nous reflète nos états d’être au niveau énergétique et nous
indiquent si nous sommes centrés, si des énergies sont bloquées et si nous
sommes dans un état d’unité intérieure ou non.
Donc en voyant que ces deux
porteuses de l’énergie féminine étaient totalement relaxée, en confiance, je
suis allée m’allonger dans la chambre en ayant allumé une bougie offerte par un amie de confiance. Là encore, c’est important d’en parler parce que ça montre
l’importance d’avoir confiance pour aller vers les autres et de préparer le
terrain pour être réceptive. Chacun a ses petits rituels, ses repères, ses
gestes spécifiques et ils sont inspirés par le divin en nous.
Je me suis relaxée en respirant en profondeur et j’ai
laissé passer les pensées qui d’ailleurs n’étaient pas envahissantes ou
négatives, signe que l’inconscient se libère effectivement.
La chatte est venue
me rejoindre et je ne l’ai pas chassée en imaginant qu’elle venait me perturber
ou qu’elle me montrait que j’avais des résistances internes.
Je précise cela
parce que bien souvent on ne bénéficie pas de l’aide extérieure et du
divin en soi à cause de nos peurs, de ses pensées de doute qui vont nous faire croire
que le soin n’était pas efficace.
Et c’est vrai dans un sens parce que
l’énergie ne force pas, elle n’oblige pas et il est nécessaire que nous soyons
d’accord, du moins la guérison nécessite qu’on l’autorise à agir. Et ça demande
d’être en totale confiance. Si des pensées de peurs surviennent, en ne les
rejetant pas mais en sachant qu’elles se montrent naturellement, par l’effet
révélateur de la lumière, pour justement être libérées, elles ne font que passer.
Et ça se fait par le
fait d’accepter qu’elles se montrent.
On peut se dire, « bienvenue,
je t’autorise à retourner à la source, merci de t’être montrée,
exprimée… »
C’est une façon d’orienter le mental et d’affirmer son accord,
de dire au divin, "vas-y, je me laisse faire, je te fais confiance". Il ne faut
pas oublier la puissance de la pensée, qui est une extension de la conscience.
Donc, je n’étais pas dérangée par le mental et je lu ai
confié la mission de noter tous les ressenti, de les mémoriser. Là encore, c’est
une façon d’exprimer mon amour pour lui, de reconnaitre ses talents plutôt que
de se focaliser sur ces « défauts », qui favorise la guérison
puisqu’alors, l’amour circule librement en ce corps.
Au passage, c’est la même
chose avec « l’autre », quand on cesse de croire qu’il est un ennemi
ou qu’il nous veut du mal, et qu’on se focalise sur ses qualités plutôt que sur
ses défauts (de toute façon nous en avons tous et heureusement parce qu’ils
nous préservent de l’arrogance, amplifient l’énergie de l’humilité, de la
fraternité, l’idée que nous sommes tous égaux, valables, Un…) il exprimera le
meilleur de lui-même.
Je ne sais pas si je vais arriver à finir de raconter mon
histoire avec toutes ces digressions ! Mais en même temps, c’est tout
l’intérêt de ce témoignage.
Donc, relaxée, détendue mentalement, c'est-à-dire en
confiance, je me suis laissée guidée et j’ai observé. Je copie colle mes notes…
Notes du soin du 5 mars
Vérification des réactions de la chienne et de Bilou, les
deux sont affalées, tranquilles, donc tout est bien, c’est le moment, je suis
rassurée et vais m’allonger…puis Bilou me rejoint dans la chambre en ronronnant
très fort et se colle à moi étendue de tout son long à hauteur de mes épaules.
Je demande au mental de prendre note de ce qui se passe.
Je sens beaucoup
d’énergie dans les mains, un genre de vibration douce mais puissante. Comme
lorsque j’ai reçu le soin individuel de Laurent/Reiki…
Je me laisse guider, fais comme ça vient et pose mes mains;
une sur le cœur et une sur le ventre tout au long de la séance. Je ne me pose pas de questions, je fais.
Je m’entends dire « je suis une
femme » !
Bien que ça me fasse une drôle d’impression je n’interviens
pas.
Un tiraillement à la nuque se manifeste mais une paix équivalente à celle que je sens
lors des relaxations me rassure.
Je reste allongée calmement pendant plus d’une
heure et la faim qui s’était calmée juste avant le soin, se réveille à nouveau,
me poussant à me lever.
Pas de pensées négatives, de peur, de doute, ce que je
vis est « normal », naturel…
Je n’arrête pas de bailler et des larmes
coulent sans aucune émotion.
J’ai déjà remarqué que les bâillements venaient
dans des moments de détente ou de stress mais là, c’est plutôt signe de détente profonde mais aussi de résistance qui cèdent.
Les larmes sont de l’eau de Vie
qui coule, l’eau de guérison, de libération, comme j’aime l’appeler. Le système nerveux qui s'ajuste...
Je le comprend de cette façon parce qu'il n'y a aucune émotion et pas de pensées de plaintes, de peine, de victime.
Je réitérerais demain même
heure.
C’est peu de chose, il n’y a rien d’extraordinaire, de
spectaculaire dans cette expérience et c’est encore un signe que c’est le divin
qui agit et pas le mental, la raison ou l’ego.
Signe de guérison puisque ma
relation à l’autre a été fortement perturbée dans l'enfance, au point de me méfier de tout le
monde, hommes, femmes mais heureusement pas des enfants ni des animaux.
Mais ceci n’est pas non plus négatif puisque ça m’a
permis de chercher les solutions à l’intérieur, d’affirmer mon individualité,
mes différences et de me fier à mon ressenti plutôt qu'à l'extérieur, aux apparences, tout en m’évitant
de perpétuer les jeux de rôles, du moins de ne pas m’identifier à ces stratégies
humaines, naturelles, selon le mode de survie de ce monde et de celui du mental
inconscient de sa vraie nature.
Puis choses extrêmement importante, c’est de noter de suite
ce qui est vécu. Déjà, ça permet de ne pas ressasser, de ne pas se faire de
films, de ne pas fausser les choses et ça vide le mental. Et on peut voir,
étudier de près, ce matériel qui révèle autant les peurs que les inspirations
de l’âme…
L’écriture spontanée, l'expression de sont ressenti, est un outil efficace pour se connaitre en
profondeur.
Cependant, le mental n’aime pas ça. Non parce qu’il veut résister
ou cacher quelque chose mais plus parce qu’il ne comprend pas l’intérêt du truc.
Du moins tant qu’on ne le réintègre pas dans l’amour. Il agit en mode réflexe,
selon ce qu’il connait, avec l’intention de nous protéger, de préserver notre
intégrité et il n’y a donc pas à le considérer comme un ennemi mais juste à apprendre
à le connaitre.
J’insiste sur ce point parce que c’est capital ! Il est un
outil indispensable à l’expérience humaine mais il faut juste connaitre sa
vraie fonction. Puis en ne le rejetant pas, en l’amenant patiemment au cœur, en
lui donnant une « mission », c’est l’amour en soi qui amplifie et c’est
la guérison qui s’en suit.
De même que l’unité se réalise de cette façon, en
réintégrant chaque aspect de soi, par le portail du cœur, accès au divin
intérieur relié à la Source de toute vie. Cette unité retrouvée nous restitue notre
intégrité, notre pouvoir, notre individualité, qui peut alors se mettre au
service du Tout.
Mais sans le poids des énergies des jeux de rôle.
Le rôle de
sauveur contient tout un tas d’intention,
d’énergies déséquilibrées et c’est une stratégie pour obtenir de l’amour, la
reconnaissance de l’extérieur, ce qui nous fragilise, nous rend dépendant des
autres, nous fait renier des aspects de nous-même, nous prive de notre pouvoir
réel. C’est une forme de vampirisation énergétique ou les deux sont perdants
dans ce jeu de pouvoir.
Cependant, cette intention d’aider est l’énergie de l’amour,
mais elle est juste déviée.
En la ramenant en son cœur, en l’utilisant pour
soi-même, en laissant le divin intérieur l’harmoniser, l’équilibrer, elle sera
orientée premièrement vers nos corps subtils et quand le cœur débordera d’amour,
on n’aura pas d’autre choix que de la rayonner.
D’ailleurs on ne le choisit
pas, ça se fait tout seul, ça rayonne naturellement puisque notre essence
véritable, c’est l’amour et la lumière. L’amour qui guérit, restaure, unifie et
la lumière qui éclaire, révèle, enseigne…vont s’associer, s’unir et se
manifester par des gestes bienveillants envers les autres, des idées nouvelles
de partage, de solidarité, une irrésistible envie d’embrasser tout…
La volonté de la personnalité s’aligne sur la volonté du
divin en soi lorsqu’on aime le mental, l’ego, lorsqu'on reconnait ses capacités.
Il ne s’agit pas de se flatter,
de s’enorgueillir mais de s’accepter en totalité non par narcissisme mais par lucidité
et par la connaissance intime de soi.
Accepter ses « défauts » restaure
l’amour en soi par le biais de l’humilité et ainsi on pourra voir chez l’autre
ce qui est lumineux plutôt que de bloquer sur ce qui l’est moins. Puisqu’on comprend
que ça n’est qu’une question d’équilibre.
On sait aussi que chacun est indispensable
à l’évolution de l’ensemble quand on voit que ce sont nos présumés ennemis qui
nous révèlent à nous-même, qui nous poussent à chercher, à trouver, à grandir,
à nous élever…
Pour revenir au soin d’hier, j’ai vu que je comprenais les
choses selon mon état d’être et les erreurs de compréhension m’ont révélées pas
mal de choses. Bon je ne vais pas reprendre tout en détail sinon j’y passerais
la journée…
Ce que je retiens d’essentiel, c’est la confiance en soi, en mon
pouvoir de guérison par les mains qui m’est encore confirmé, l’intégration plus
en profondeur du féminin sacré, la confiance en soi amplifiée qui s’étend à la
confiance en l’autre, naturellement.
La certitude que l’union est une force
immense (reflet de l'unité intérieure), l’efficacité du lâcher prise, la légitimité et les bénéfices du fait
de suivre ses élans sans juger, ce qui augment encore la confiance en soi, en
la vie, envers les autres.
L’abandon des schémas bâtis sur la méfiance,
conséquence du lâcher prise.
La libération effective au niveau inconscient, le
fait d’être passée de la victime qui a besoin de guérison à l’individu qui est
prêt à créer en conscience.
La joie de vivre quasi permanente, l’enthousiasme à
agir, la vision qui s’éclaircit, s’élargit, apportant des "images" nouvelles et en
même temps, la réintégration des talents acquis dans d’autres vies, la confiance
totale en ma propre guidance mais aussi le détachement.
J’attends que Marie réponde à mes questions à propos du cercle
de guérison, (à savoir s’il est nécessaire d’être membre du groupe pour y
participer), pour remettre l’article que j’ai publié et retiré deux heures
après.
Vous aurez peut-être remarqué que j’ai ajouté des liens
vers d’autres sites.
C’est encore une conséquence de la confiance en soi et en
l’autre puis du lâcher prise de la peur. Peur de la concurrence qui n’est que le
reflet du manque d’assurance en ses propres capacités, talents.
Les différences
de personnalité, de vécu, de combinaison énergétique, d'expériences, font que chacun est précieux, unique et en ce sens, il
n’y a rien à craindre à « faire la promo » des autres soignants ou
enseignants.
J’en étais consciente mais au niveau inconscient, les programmes
de compétitions étaient bien ancrés.
En ce sens, s’unir aux autres, partager
les connaissances, les méthodes de soins, et donner accès aux sites des autres,
c’est un bénéfice réciproque. On se libère de la jalousie et par la même l'amour en soi amplifie, tout en affirmant son
caractère unique.
On dit qu’on ne peut pas plaire à tout le monde mais quand on
vibre l’amour, ça n’est plus un problème. On sait que ceux qui ont besoin d'aide et qui nous ressemblent,
nous "trouverons", que la loi de résonance agira. Que ce sont justement notre
façon d’être unique qui attirera des gens qui ont besoin de ces énergies
précisément et de la forme dans laquelle elles s’expriment.
Vous allez me dire mais pourquoi se pose-t-elle ce genre de
question puisqu’elle ne propose pas d’aide ? Simplement parce que je suis
convaincue depuis toujours que c’est ma voie, que tout ce que j’expérimente n’est
pas seulement pour moi-même. Et que ce qui m’empêchait de « passer à l’acte »
c’était juste le manque d’amour et de confiance en mes capacités, en Tout ce
que je suis.
Je ne sais toujours pas comment ça prendra forme mais ça commence
à ce préciser du moins, dans l’intention qui s’équilibre. Pour la forme, mon cœur,
mes élans et mon imagination, ma créativité, s’en chargeront lorsque la volonté
de ma personnalité sera totalement alignée à celle du cœur, à celle du divin
intérieur, de la conscience.
Bon, mes corps
physique et mental ont besoin de repos, on verra plus tard pour le repas, les
courses…J'ai faim! Faim de vivre d'être, d'aimer et de créer!
Photo prise ce matin, là encore, c’est une belle image
reflet ! On ne voit pas trop le jaune (sagesse) des fleurs de Mimosa mais
elles sont en pleine éclosion…Puis c'est la première fois que l'appareil fait une tache bleue, habituellement, c'est rose (amour) ou violet (liberté)...
Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci