mercredi 7 janvier 2015

« Le cœur a ses raisons que la raison ignore... »






Ce matin, j’ai une chanson en tête comme souvent et ce qui « m’agace », c’est qu’en général, il s’agit de morceaux enregistrés dans l’enfance, des airs que je trouve ringards ou moches mais que ma mémoire de l’époque a absorbés telle une éponge. Là, c’est « les palétuviers roses »… ! Jusqu'à maintenant, j'y voyais ma reliance à l’inconscient collectif puis je me dis que c'est peut-être l'enfant intérieur qui se réjouit d'être!

L’avantage immense de libérer la peur, c’est que ça permet d’avoir un regard plus objectif, lucide, moins dramatique. Comme on prend en charge ses propres émotions et pensées générées par la peur, on apprend à devenir responsable, à cesser de voir en l’autre, la projection de nos peurs et les croyances qu’elles forment. 

L’autre nous reflète notre inconscient, nos croyances et le premier réflexe, sera de l’accuser et c’est tout naturel puisqu’on ne sait pas gérer les énergies en soi. 
Quand les émotions nous submergent, on a l’impression de ne rien pouvoir contrôler, d’être manipulé de l’intérieur alors on va chercher à comprendre. 
Mais comme on se méfie de soi-même, on va chercher des réponses à nos questions, à l’extérieur, dans les livres, les religions, les philosophies. On essaiera de trouver une forme de cohérence intellectuelle et on va vite se heurter aux multiples points de vue qui sont en fait des croyances communes plus ou moins puissantes selon le nombre d’individus qui les nourrissent, qui adhérent à ces croyances.

mardi 6 janvier 2015

« Juste pour voir » & « La légende de Sarila » animation






(Écrit hier matin) Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir été immobilisée ces derniers jours mais j’ai beaucoup d’énergie ce matin ! J’ai commencé la journée en faisant du ménage ! En passant l’aspirateur ! C’est exceptionnel et assez représentatif de mon état d’esprit actuel. Simplifier au maximum les choses en suivant l’envie du moment.
J’ai quand même publié un article que j’ai lu hier soir, tellement j’ai été stupéfaite par la ressemblance de point de vue. Je n’ai pas lu son livre (Michael Brown) mais j’en ai entendu parler et les extraits qui ont été diffusés ont fortement résonné en moi.

Il est vrai que nous en venons aux mêmes conclusions tant qu’on se coupe d’un aspect intérieur de soi, on s’éloigne de son cœur et par la même de notre vraie nature. Puis en survolant les infos sur google+, chaque critique envers la société, chaque accusation me renvoie à ma façon d’agir, de gérer mon monde intérieur.
Le texte que j’ai publié à propos des liens toxiques qui peuvent être coupés a beaucoup de succès mais je me demande si ça n’est pas encore une forme de déni. 
Vouloir se couper de l’extérieur, de l’inconscient collectif c’est comme une façon de dire que nous refusons les conditions de l’incarnation, c’est encore se diviser, être en résistance vis-à-vis de soi et de la vie. C’est une fuite de la réalité qui nourrit encore l’inconscience, la peur, la dualité. Plus d’une fois, l’idée que ce comportement n’était pas juste et à la limite dangereux, m’est venu à l’esprit. Pas sous la forme d’une peur mais d’une évidence, d’un manque de discernement.

lundi 5 janvier 2015

« Ressentir est la responsabilité de notre Âme » par Michael Brown





(Encore une belle synchronicité...)
Beaucoup parmi nous ont participé par le passé à des méthodes de nettoyage émotionnel et n’ont pas atteint les résultats espérés. Notre douleur, notre colère et notre chagrin semblent sans fin. Nous avons donc commencé à nous demander si nous faisions quelque chose de manière incorrecte. 
Il se peut que l’une des raisons de notre manque de succès soit dû au fait que nous avons abordé le nettoyage émotionnel de façon réactive sans nous rendre compte que tout ce qui résulte d’un comportement réactif ajoute un déséquilibre supplémentaire. Cette discussion est destinée à transformer notre approche du nettoyage émotionnel afin que celui-ci puisse nous permettre de rétablir consciemment notre équilibre plutôt que d’augmenter inconsciemment notre mal-être.
Nous abordons tous inévitablement le nettoyage émotionnel de façon réactive car nous y sommes conduits par un sentiment d’inconfort. Il est peu probable que quelqu’un expérimentant le bien-être se sente appelé à purifier son corps émotionnel.

dimanche 4 janvier 2015

« Au hasard et en confiance »…





Voici les clefs de sagesse que je viens de piocher sur le site de Monique Mathieu. 
En général, elles font écho à mes pensées du moment ou elles mettent l’accent sur un point important, quelque chose qu’il me faut intégrer. "Intégrer" et pas forcément comprendre. Il ne s’agit plus trop de savoir si c’est vrai ou non, intellectuellement, mais de sentir comment ça vibre et de s’ouvrir à la compréhension du cœur. Elle vient alors comme une évidence, un flash, une image qui décrit un concept...

Clef 555
« Projetez tout l'Amour et la Lumière du Divin en vous sur les êtres de ce monde qui vous paraissaient les plus abjects car, même si cela vous révolte, ils font aussi partie du Plan Divin. Ils sont là pour faire changer ce monde, même si ce monde doit changer dans la douleur et la souffrance. Une renaissance à la Lumière passe toujours par une souffrance. 
Projetez toujours l'Amour et la Lumière sur tous les êtres destructeurs ».

Par exemple ici, si je laisse le mental traiter l’info, ce sera un « non » catégorique. Mais si je l’amène au cœur, je vais penser aux fois où j’agis avec violence puis en remontant à la cause de la violence, je vais y trouver une peur, un déni de soi…

« La difficulté à s’accepter entièrement »





J’ai carrément fait un blocage hier ! J’avais écrit puis au moment de publier, j’ai été remplie de critiques, d’une forme de lassitude générale à être dans l’introspection et le témoignage. Il y a le côté répétitif, l’impression de parler dans le vide, de vivre dans l’illusion permanente. 
Comme je constate que ma vision a pratiquement toujours été faussée, ça remet en question l’interprétation des faits et j’en arrive à me dire que je ne sais plus rien. Que toutes les théories auxquelles je me suis accrochée, se fondent sur des croyances élaborées depuis un corps souffrant et un esprit voilé par les traumas. Des croyances qui sont venues pallier mes peurs, mes besoins du moment, qui sont le fait du mental, de ses stratégies.
Le besoin de comprendre m’a fait interpréter le ressenti d’une façon subjective qui correspondait à ma difficulté à accepter ce que je suis, ce qui est. C’est encore une fuite face à la cruelle réalité de ce monde dans lequel je me sens étrangère. C’est très paradoxal parce que d’un côté, je me sens en famille et de l’autre, complètement décalée dans la façon de considérer l’amour, l’humain, le divin et de le manifester.

vendredi 2 janvier 2015

« Osez aller vers votre liberté » les guides de Sylvie





Dans la continuité, d’un enseignement renouvelé jusqu’à une prise de conscience du plus grand nombre d’enfants décidés à avancer, nous formulons et formulons encore nos plus importants conseils susceptibles de vous venir en aide.
Vous savez que la répétition finit par imprégner tous vos sens.
Cet éclairage, ainsi apporté, stimule vos perceptions, vos réflexions, afin d’amener jusqu’à vous, un nombre de plus en plus important d’idées à mettre en pratique, au plus vite, par l’action.
Il vous est, bien souvent, demandé de faire ceci ou cela ? L’accomplir sans un consentement total et profond ; c’est-à-dire mis en pratique, uniquement, parce que suggéré, ne peut avoir l’impact suffisant sur votre développement.
A présent, même si cela a pu vous aider un moment, il est, maintenant, implicitement demandé de vous écouter et de laisser jaillir vos propres idées, vos intentions liées à vos émanations afin d’en élever les vibrations.

« Pense juste à respirer »





Ces deux derniers jours au ralenti m’ont permis de constater encore une fois l’intelligence du corps physique et la solidarité qui se met en place quand une partie de ce corps est défaillante ou souffrante. 
Habiter son corps est une chose nouvelle pour moi et comme celui-ci a été géré à coup d’excitants et de calmants, je ne le connais pas vraiment. 
Il faut que j’aie mal quelque part pour être obligée de focaliser mon attention sur le corps physique, dans le présent ! Et cette observation montre que tous les muscles de la ceinture abdominale sont inter-reliés et interdépendants. Comme tout le bas de mon dos est fragilisé, ce sont les muscles du ventre qui prennent le relais. Mais comme ça n’est pas leur fonction initiale, ça perturbe l’ensemble de la zone. La faim est imperceptible à cause de la contraction musculaire, des abdominaux tendus. Comme je suis du genre à positiver, je me dis que ça n’est pas si mal de retrouver la ligne !
Puis en examinant mon monde intérieur, j’ai constaté que la raideur était généralisée. 
Je croyais détendre le corps physique en fumant de l’herbe mais en fait, ça me crispe encore plus. J’en suis au stade où je constate mes « erreurs », où je vois que j’ai confié ma vie à mon intellect et ça créé un genre de ras le bol. J’ai toujours agit de façon extrémiste, avec violence et je me rends compte que c’est cette façon d’être qui créé des souffrances.