vendredi 19 décembre 2014

« Les critiques sont des projections » par Fanny





Un jour où je croisais une femme, celle-ci se mit à critiquer violemment ses patrons. « Ils n’en n’ont rien à faire de leur fils, ils ne s’occupent pas de lui, ils ne se parlent plus… ». Je lui posais alors la question suivante: « Et comment va ton fils? ». Elle se mit à répondre: « Ah celui là, c’est un bon à rien, on ne veut plus le voir à la maison, il s’est disputé avec son père….. ». Qu’a fait cette femme en parlant de ces patrons? Elle parlait d’elle en réalité et des liens qu’elle avait avec son fils*.

Qu’est-ce qu’une projection?
Selon Carl Gustav Jung, « La projection comme une transposition inconsciente, non intentionnelle, non perçue, d’un état psychique subjectif vers le dehors, sur un objet extérieur ».
En psychiatrie et en psychanalyse, la projection a été définie par Freud, comme un mécanisme de défense psychologique: « Le sujet nie pour lui un désir intolérable et projette ce désir sur un autre ».
En somme, on projette inconsciemment notre vécu, nos pensées, nos expériences, nos émotions, nos sentiments sur d’autres personnes ou d’autres situations.

« Être en paix malgré tout »




 


Encore un réveil avant l’heure. Enfin l’heure, tout change tellement et rapidement que même l’horloge biologique interne peine à trouver son rythme. 
Comme rien n’est dû au hasard, selon ma foi et mon expérience, l’élan m’a amené une fois de plus à écouter le discours du ministre canadien qui parle des extra-terrestres. C’est le sujet qui intéresse fortement des aspects intérieurs, en ce moment. 
Je ne cherche plus à savoir si ça vient de l’ego ou du cœur puisque je pars du principe que tout est lié. 
La seule chose qui peut filtrer ce que l’on perçoit et donc le déformer, c’est la peur. 
Je peux constater que celle-ci n’est plus dominante en moi bien qu’elle continue d’exister. Je ne pense pas qu’on puisse vivre en étant totalement séparé de cette énergie qui n’a pas que des effets négatifs. Ce qui craint, c’est de s’identifier à elle, de la nourrir, de focaliser son attention sur elle en la considérant comme une ennemie.

Toute émotion a un sens et une utilité, même la peur. Si je ne craignais pas la mort, je pourrais me jeter dans le vide, me faire mal et je serais inconsciente, ignorante de la réalité. La peur libérée de sa cachette, équilibrée dans l’amour divin, est comme toute autre émotion, un indicateur, un appel à revenir au cœur, à la foi, à la paix intérieure, à l’harmonie, un potentiel en soi. 

jeudi 18 décembre 2014

« L’accueil de votre Âme, dans cette période si pénible pour beaucoup » Marie via Soraya




J’ai du lâcher les étiquettes et me fier à mon ressenti, mon élan, pour publier cet article. Après tout, peu importe l’origine du message, sa forme; les mots utilisés comme "amen", son auteur, ce qui compte c’est l’énergie que ça éveille en soi. Et en ce moment, les encouragements sont bienvenus ! C'est dans ces périodes mouvementées que je peux vérifier l'efficacité du lâcher prise. Le cadeau qui résulte du retour au cœur, LA PAIX intérieure. Puis cette énergie du message suivant attribuée à Marie peut tout aussi bien être la "voix" de la Terre Mère...la mienne, la vôtre...associées à celle de la conscience christique...



« Perte de repères, sans stress! »





Je suis encore tombée du lit à 3h30 du matin ! Le sevrage créé ce genre de réaction mais il n’y a pas que cela. Les énergies divines sont puissantes, en ce moment et leur intégration pas toujours évidente. Je pensais continuer de diminuer les doses puisque la douleur de la sciatique semble disparue, cette fois-ci, mais avec toutes les perturbations, l’heure est plutôt à la stabilité.
Apprendre à se connaitre dans des circonstances pareilles n’est pas facile parce que tout s’entremêle mais comme l’essentiel est d’amplifier la confiance, je lâche prise aussi là-dessus. 
Après tout, ça n’a pas de sens de continuer de tenter de définir qui je suis, le truc c’est plutôt d’être ce que je suis vraiment, dans l’instant. Continuer de sortir des anciens schémas, en suivant l’inspiration, retirer les masques, sans chercher à se modeler et appeler les énergies de tendresse, de douceur et de fluidité pour avancer sans violence, en confiance et sans s’identifier aux nombreuses peurs qui font surface.

mercredi 17 décembre 2014

« Clefs de sagesse du jour » trouvées sur le site de Monique Mathieu





J’ai encore envie d’écrire ce matin euh, après-midi ! Je ne vois pas le temps passer ! 
La nuit tombe si vite qu’on a l’impression de manquer de temps. 
Il va falloir que j’accueille la peur de ne pas arriver à m’organiser quand je ferais le stage, pour libérer la pression que ça commence à me coller ! 
La gestion du temps n’est pas un problème quand je suis à la maison parce que je suis l’élan mange quand j’ai faim…mais dans le cadre du travail, ça risque d’être un sacré challenge. 
Toute l’appréhension que je peux avoir se tempère lorsque je vois ce que je peux libérer en pareille situation. Envisager les choses en termes d’énergie, facilite drôlement la vie. Quand on cesse de juger et qu’on regarde objectivement, les choses apparaissent tout autrement. Ce futur travail fait émerger les émotions liées aux croyances et égrégores qu’y s’y rattachent et c’est l’occasion de les libérer, de les épurer et de les ajuster. 
Ce travail alchimique se réalise en soi et le contexte extérieur, considéré comme un miroir n’a pas besoin de revêtir une forme particulière. 
Peu m’importe les situations puisque chacune d’elles m’invite à revenir au cœur, à me centrer et à entrer en communion avec le divin. Puisque mon objectif, c’est de vivre dans l’amour, l’harmonie, la liberté d’être et la paix et que ça se cultive depuis le cœur de son être, dans la relation à soi-même, et que ça rayonne vers l’extérieur, peu importe le métier, les conditions de vie…

« Animal Totem 2015 : L’Ours Polaire » par Caroline Leroux






Wow... Lorsque j’ai vu cette photo (Voir l'image sur le site: Nationalgeographic.fr), j’en ai eu le souffle coupé.
Pour moi, c’est l’image même de l’abandon, de la grâce d’un être qui est normalement tout en lourdeur et en puissance...
Et le voici totalement harmonieux parce qu’il est dans l’eau (le monde émotionnel)!

C’est avec cette métaphore que j’ouvre la porte en grand à notre invité de l’année à venir, j’ai nommé l’Ours Polaire, Animal Totem pour 2015!
J’ai reçu, de façon très claire, l’image de l’Ours Polaire en Août (ce qui est rapide, je trouve) et, au fil des derniers mois, ses énergies se sont concrétisées en moi.
Je suis contente de pouvoir les partager avec vous, car tant que je n’écris pas, les dites énergies s’intensifient... 
Et, vous en conviendrez, quel contraste avec Dame Papillon notre Animal Totem 2014. La légèreté créative vs la lourdeur ancrée. L’aérien éthérique vs le terrien aquatique.

À l’image même de l’année qui se termine, voici un bel exemple des extrêmes que nous avons côtoyés toute l’année...

« Je peux dès à présent, vivre dans un monde de paix et d’amour »





Depuis deux nuits, Féliz, mon chat préféré, qui est beaucoup plus qu’un animal de compagnie, m’a fait l’honneur de dormir avec moi. Je respecte sa liberté mais j’apprécie quand il est près de moi. Bien que ça signifie aussi qu’un équilibrage énergétique est nécessaire. J’ai commencé à ressentir à nouveau la douleur aux reins et sa présence tout comme l’appel à l’aide à ma présence divine, l’ont cessé net. Il a vraiment le don de réguler les énergies, d’apaiser, de vibrer l’amour inconditionnel et d’enseigner par l’exemple, ce même amour qui n’enferme pas, respecte les différences, le lâcher prise, la souplesse, bref, des attributs essentiels au bien-être et à l'épanouissement.
La lecture du témoignage de l'extra-terrestre et surtout ce qu’il a partagé faisant écho à de nombreux messages spirituels, concernant l’histoire « réelle » du monde, m’a bien chamboulé mais j’ai pu constater que cette fois-ci, les dégâts ont été moindres puisque les émotions générées ont été libérées au fur et à mesure. 
Je me suis sentie coincée, perdue mais au lieu de sombrer, j’ai senti que c’était le moment de formuler clairement mon intention, que je n’avais pas à nourrir l’impuissance mais qu’au contraire, je devais manifester mon pouvoir de co-créatrice, par le verbe.
Je me suis sentie isolée face à la folie du monde, comme prisonnière dans un environnement hostile et peu à peu, je suis revenue au centre de moi-même et j’ai pensé, "puisque je ne peux pas changer le monde, puisque je suis responsable uniquement de mon propre monde, je peux choisir ce que je veux vivre en dedans".