mercredi 17 décembre 2014

« Je peux dès à présent, vivre dans un monde de paix et d’amour »





Depuis deux nuits, Féliz, mon chat préféré, qui est beaucoup plus qu’un animal de compagnie, m’a fait l’honneur de dormir avec moi. Je respecte sa liberté mais j’apprécie quand il est près de moi. Bien que ça signifie aussi qu’un équilibrage énergétique est nécessaire. J’ai commencé à ressentir à nouveau la douleur aux reins et sa présence tout comme l’appel à l’aide à ma présence divine, l’ont cessé net. Il a vraiment le don de réguler les énergies, d’apaiser, de vibrer l’amour inconditionnel et d’enseigner par l’exemple, ce même amour qui n’enferme pas, respecte les différences, le lâcher prise, la souplesse, bref, des attributs essentiels au bien-être et à l'épanouissement.
La lecture du témoignage de l'extra-terrestre et surtout ce qu’il a partagé faisant écho à de nombreux messages spirituels, concernant l’histoire « réelle » du monde, m’a bien chamboulé mais j’ai pu constater que cette fois-ci, les dégâts ont été moindres puisque les émotions générées ont été libérées au fur et à mesure. 
Je me suis sentie coincée, perdue mais au lieu de sombrer, j’ai senti que c’était le moment de formuler clairement mon intention, que je n’avais pas à nourrir l’impuissance mais qu’au contraire, je devais manifester mon pouvoir de co-créatrice, par le verbe.
Je me suis sentie isolée face à la folie du monde, comme prisonnière dans un environnement hostile et peu à peu, je suis revenue au centre de moi-même et j’ai pensé, "puisque je ne peux pas changer le monde, puisque je suis responsable uniquement de mon propre monde, je peux choisir ce que je veux vivre en dedans".

Bien que ce ne soit pas nouveau, jusqu’à maintenant, je me focalisais sur les guérisons mais à mesure que les libérations s’effectuaient, peu à peu, l’idée même de guérison changeait. 
Bien qu’il soit évident que des traumas aient été vécus, en accueillant ce qui est dans l’instant, en ayant du recul, recul qui s’effectue au mieux dans le cœur, au centre de soi, la fluidité énergétique revient avec la force tranquille résultant de la non réaction à ce qui est. La sensation de paix indique l’efficacité du processus, la réalité des énergies autrefois refoulées, qui sont dissoutes, absorbées, équilibrées dans cette contemplation active, dans le sens où ça demande de choisir comment on va répondre à ce qui se présente en soi.

Les révélations qui sont faites par l’extra-terrestre m’ont amenées à faire la part des choses et à revenir à l’essentiel. Je suis absolument convaincue que le seul fait de lire ses infos et de ne pas entrer en réaction, c'est-à-dire de ne pas protester, de ne pas se positionner en victime, suffit à libérer des énergies bloquées depuis des siècles. Notamment le rôle de bourreau et plus précisément les conséquences d’un comportement egotique dépourvu de sentiment, la façon d’envisager l’humain en dehors de tout ressenti, en le considérant comme un objet. 
Il semble que j’aie eu ce genre de vision, de pensées et de comportement dans des temps lointains et que ceci ait engendré beaucoup de souffrances dues à la culpabilité, la honte et les remords. 
En toute logique, tout ce que nous avons vécu, été, demeure en potentiel énergétique en soi, que ce soit en positif ou négatif, ces énergies s’activent selon notre attitude d’aujourd’hui, et selon notre façon de les gérer, elles nous servent ou nous handicapent.

Quoi qu’il en soit, en amenant au cœur tous ces reliquats du passé encore vivants en nous, on libère non seulement l’énergie associée aux émotions qui émergent mais aussi le passé, le mode de fonctionnement prédateur, violent et donc inconscient. 
C’est cela élargir sa conscience; amener l’inconscient à la lumière, intégrer les aspects refoulés et par l’alchimie émotionnelle, le centrage, réaliser ainsi le passage de l’ego au cœur. 
Ce mouvement a pour effet d’amplifier l’amour en soi et d’ouvrir le cœur. Plus on effectue ce retour au cœur et plus on affirme sa volonté d’être amour, plus on inscrit en profondeur le nouveau mode de fonctionnement et comme le cœur s’ouvre, le divin, son énergie s’installe de plus en plus dans les corps. 
Elle ne se limite plus au cœur mais pénètre toutes les dimensions de l’être jusqu’au cœur des cellules qui bénéficient de ce nettoyage lumineux réalisé par l’amour inconditionnel de soi, en soi. Ce contact permet l’activation de l’énergie de Vie en chaque cellule.

J’ai tourné en rond pendant un moment avec des pensées d’impuissance, de confusion quant à la façon dont l’humain a été créé, mais à chaque fois, la sensation que l’énergie qui a initié cette aventure, n’est pas emprunte de négativité, revenait. 
Je n’arrive pas à voir les choses de façon malsaine. Même si les manipulations génétiques ont été réalisées, je n’ai vraiment pas le sentiment que nous ayons été manipulé mais que nous avons accepté l’expérience. Et même que nous y avons participé.

Quand on décide de lâcher la notion de bien et de mal, on voit alors les choses dans leur globalité. Il y a des façons artificielles de voir avec objectivité et les dogues appelées « dures », ont ce potentiel. Le problème, c’est qu’elles déshumanisent si on s’identifie au personnage qu’elles font émerger. Le sentiment de puissance peut amener à manipuler l’autre et si le cœur n’est pas ouvert, les dégâts seront considérables parce qu’effectivement on considérera l’autre comme un objet. 
Le monde du show business est l’illustration parfaite des dérives qu’entrainent la prise de la cocaïne, d’héroïne, de ce genre de produits et tous les médicaments qui en sont tirés, et ils sont nombreux. Du sirop contre la toux aux anxiolytiques, la plupart sont composées de dérivés d’opium, la substance dont on fabrique la morphine, l’héroïne, la codéine, la codéthyline…
L’aspect positif de ces opiacés, c’est la détente physique, psychologique, mais comme le détachement à la matière est réalisé de façon artificielle, sans conscience, on va au contraire imprimer le manque et le besoin avec plus d’intensité.
Les traders, le show business, les médias, tous les métiers qui vendent du rêve, du vent, de l’illusion, baignent dans une soupe chimique qui rend cynique et il n’est pas étonnant de constater leur comportement prédateur. Le stress que subissent les traders, est ingérable et les drogues sont quasiment obligatoires pour ceux qui veulent tenir la route.

Les nazis usaient de ce genre de produits, beaucoup des dirigeants étaient héroïnomanes et quand on connait l’effet de ces drogues, on comprend comment il est facile de sombrer dans la folie. 
Comme ça coupe des émotions, il n’y a plus de repères, de sensations qui pourraient mettre en garde contre les abus de pouvoir. Il n’y a plus d’empathie puisque le ressenti est faussé, puisque le cœur est isolé, recouvert d’indifférence. 

Les émotions nous aident à nous situer, à être en inter-action, à pouvoir comprendre ce que l’autre ressent et ainsi à rectifier son comportement, à l’ajuster. 
Il ne s’agit pas d’agir selon les attentes de l’autre mais de savoir quand nous dépassons les limites du respect, de l’espace vital, vis-à-vis de l'autre mais de nous même aussi. 

Sans émotions, on ne peut pas sentir ce qui se vit en soi ni quand nous devons revenir au cœur. Peu de gens sont capables de se couper de leurs émotions naturellement, en général, c’est l’accumulation de souffrances qui a amené l’individu à fermer son cœur. Cette séparation engendre une sensation de vide, d’isolement qui amènera à manipuler les autres, à prendre leur énergie, à dominer, à chercher le pouvoir en dehors de soi. 
Puis l’accoutumance rend facilement manipulable et il est tout à fait logique que des personnes qui ont des postes de responsabilités rendent dépendants leurs employés. 

L’humain est manipulable par ses peurs, ses émotions refoulées et on tombe vite dans le piège quand notre cœur est en souffrance et qu’on découvre les effets de ces drogues.
Personnellement, j’y ai vu un moyen de prendre du recul justement par le fait que le corps émotionnel était calmé. Bien que je croyais en la "puissance" du produit, j’ai toujours su que ça n’était pas la voie de la guérison ni du bien-être. C’est ce qui m’a préservé de la chute mortelle. 
Maintenant que je peux aborder mes émotions sans trembler et sans juger ni commenter,  il m’est plus facile de lâcher le geste. Mais c’est en ayant de la tendresse, de la patience et de l’attention à ce qui se manifeste en dedans que ceci se réalise pas à pas.

Pour revenir au sujet concernant la façon de se situer face à la folie du monde, aux révélations tous azimut, il m’est apparu clairement que mon pouvoir se situe dans la capacité à gérer mon propre monde en appliquant à l’intérieur de celui-ci, ce que je veux voir et vivre à l’extérieur.
Puisque la pensée et l’émotion sont créatrices et comme l’inconscient a été allégé des énergies excessives ou trop extrêmes, et qu’il ne vient plus saboter l’intention, il est l’heure de formuler mon souhait. 
Puis en sondant mon cœur, j’en suis venue à me dire que le rêve que je nourris depuis l’enfance, celui qui a le plus de valeur, d’importance, c’est de vivre l’amour inconditionnel l'harmonie et la paix, et je peux déjà le vivre aujourd’hui, maintenant
En commençant par gérer mes corps et leurs différences, avec respect, en vivant à partir de mon cœur, en communiant avec le divin peu importe sa forme, son nom et ses intentions. 

L’expérience me montre que seul l’amour sans conditions est réel, nourrissant et bienfaisant, que tout est régit par cette énergie source et qu’elle est ce qui m’anime, me pousse à agir, suscite le désir, l'élan à aller vers l’autre, à reconnaitre la lumière en toutes choses.  
Quand on lâche la notion de bien et de mal, et qu’on veut être dans la neutralité, ça créé une sorte de confusion quant à la façon d’interpréter ce qui est. Puis peu à peu, on s’aperçoit que c’est justement le fait d’étiqueter qui nous coupe de la réalité, crée des attentes et trouble la paix, nous maintient dans le passé, nous sort de l’instant présent. 
Il y a un moment où on cesse de qualifier pour voir ce qui est, pour appréhender le monde depuis le point zéro. Et cette période qui révèle l’illusion est troublante pour la personnalité mais en venant en son cœur, même si on ne sait pas encore comment tout va se mettre en place, comment les choses vont évoluer, on sait sans raisonnement logique, que tout est bien, que tout est parfait et que même si on ignore le plan divin, on peut lui faire confiance.   
En m’adressant au divin intérieur, j’ai bloqué sur la façon appropriée de le nommer puis j’ai fini par appeler l’amour inconditionnel, la tendresse, la douceur, la fluidité, toutes ces énergies qui font du bien au corps physique, à la personnalité et à l’âme. 
Même si ma définition de l’amour change, l’idée de le qualifier précisément laisse la place à l’envie irrésistible de vivre dans ces énergies de bien-être et d’expansion. Et la meilleure façon de la vivre, c’est de venir en son cœur en toutes circonstances.

De cette façon il n’y a pas besoin de projection, de visualisation, puisque lorsqu’on se place sur la fréquence de l’amour sans conditions, au quotidien, en disant "Oui" à ce qui se présente, lorsqu’on fait confiance à son cœur et qu’on suit l’élan du moment, on créé notre futur, on donne le ton de ce qu’il sera et de ce qu’il est déjà.
La foi en la bienveillance du divin intérieur, en sa puissance et sa présence, son accompagnement permanent, grandit au fur et à mesure de ces expériences d’accueil. 

Je sollicite son aide de plus en plus, avec plus d’assurance d’être entendue et soutenue dans mon désir de vivre dans les énergies de la source, d’aligner ma volonté à la sienne. 
Il ne s’agit plus de se plier aux injonctions de l’ego spirituel ou pour ceux qui croient en un dieu extérieur à eux-mêmes, d’obéir par crainte, par soumission, par un simulacre de respect qui dissimule les peurs enfouies, mais de faire l’expérience de l’amour en soi, de se laisser nettoyer, soigner, réconforter par le divin en soi, par ces énergies qui s’expriment dès lors qu’on lâche prise, qu’on cesse de vouloir contrôler, juger, accuser.

Selon le karma, les nombreuses vies passées, il est naturel d’avoir commis des erreurs puisque l’apprentissage se réalise par une succession d’échec et de réussite et il est nécessaire de comprendre l’importance du non jugement intimement relié au fait que nous soyons UN et multiples à la fois.
Quand on décide de vivre en suivant l’élan du moment, en totale confiance, on comprend que le jugement nous enferme dans la vision duelle et que lorsque nous accusons l’autre, nous nous accusons nous-même. Puis concernant les libérations karmiques, il apparait de plus en plus clairement que toute rencontre est l’occasion de faire la paix avec le passé.

Je vois bien qu’à chaque fois que je suis dans une situation désagréable quelque chose de profond demande à être vu, considéré depuis le cœur afin d’être libéré et qu’en acceptant de ne pas réagir, en revenant au centre, c'est-à-dire en faisant table rase des références passées, en gérant ce qui se manifeste avec amour, compassion, sans rejet, la libération, la guérison s’effectue naturellement et facilement.   
Puis lorsque c’est une situation récurrente, ça veut tout simplement dire que c’est incrusté profondément et que ça demande un total lâcher prise. 
La voisine qui me renvoyait régulièrement l’image de la victime ne me fait plus aucun effet. 
Peu à peu, je suis passée de la critique à l’acceptation de ce qu’elle est, à mesure que j'ai reconnu que je portais aussi ce masque et que j'acceptais cette "faiblesse" ou "tricherie", que je réalisais que je n'étais responsable que de moi-même, de ma façon de réagir... 
En accueillant les émotions de ce personnage de victime, j’ai lâché le rôle. 
Il est clair que j’ai ralenti le processus et amplifié la souffrance en résistant par la critique ou l’accusation, tant envers elle qu'envers moi-même.
Selon le karma, je me suis dit qu’elle avait peut-être été victime de mes agissements passés. Même si ça n’est pas le cas, il est évident que nous n’avons qu’un aperçu très limité de ce qui est. Il est clair que le contrôle est impossible et si on continue de refouler, de nier, de rejeter ce qui se manifeste en soi, on résiste au courant de la vie tout en se coupant du divin intérieur.
Plus nous allons résister à ce qui est et plus les énergies bloquées vont interférer nous donnant l’impression d’être manipulé. 
Mais cette sensation nous la créons par le fait de résister à l’amour qui veut remplir tous les espaces de l’être. Nous sommes tant attachés à l’idée que nous avons de l’amour qu’on ne le reconnait pas. 
En ayant le désir sincère de tomber les masques, de vivre en conscience, nous autorisons le divin à agir mais pour qu’il puisse le faire, il nous faut être en totale confiance.
Il va donc nous montrer comment nous fonctionnons, quels masques et donc quelles blessures nous portons et la seule chose que nous ayons à faire, c’est d’accepter, de reconnaitre les faits. Concrètement ça se réalise en ne jugeant pas ce que l’on voit. Le mental va commenter, se rebeller éventuellement mais si on accepte cela sans y porter de critiques, la libération s’effectue.

J’accepte beaucoup mieux l’idée d’être un canal et je me suis même surprise à dire : « ok, envoie les énergies à transmuter tandis que je me connecte à la terre ». 
Quand je parle de canal, je me réfère à la constitution énergétique de l’être. 

Nous sommes tous des canaux qui produisons, émettons et recevons des énergies. 
Nous sommes sans arrêt traversé par toutes sortes d’énergies dont il est impossible et donc inutile de savoir d’où elles proviennent. Enfin ça, c’est quand on cesse de juger et de vouloir comprendre, que ça devient une évidence. 
La seule chose que nous ayons à faire, c’est de les harmoniser, enfin de le vouloir et on le fait en acceptant d’être traversé par elles. En cessant de vouloir se conformer aux projections et aux attentes mentales, en écoutant notre corps physique, ses messages, ses élans, en ayant confiance en son intelligence.
Ce corps qui ne nous appartient pas, qui nous est prêté par la terre Mère, et qui possède sa propre intelligence, qui est autonome, qui communique sans arrêt, nous envoie des messages. 
Il nous appartient de le respecter en tant que véhicule terrestre et d’apprendre son langage, de le connaitre de l’intérieur, de s’en faire un allié et de permettre la libre circulation énergétique entre tous les corps subtils, les organes, les cellules.


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci