mercredi 17 décembre 2014

« Animal Totem 2015 : L’Ours Polaire » par Caroline Leroux






Wow... Lorsque j’ai vu cette photo (Voir l'image sur le site: Nationalgeographic.fr), j’en ai eu le souffle coupé.
Pour moi, c’est l’image même de l’abandon, de la grâce d’un être qui est normalement tout en lourdeur et en puissance...
Et le voici totalement harmonieux parce qu’il est dans l’eau (le monde émotionnel)!

C’est avec cette métaphore que j’ouvre la porte en grand à notre invité de l’année à venir, j’ai nommé l’Ours Polaire, Animal Totem pour 2015!
J’ai reçu, de façon très claire, l’image de l’Ours Polaire en Août (ce qui est rapide, je trouve) et, au fil des derniers mois, ses énergies se sont concrétisées en moi.
Je suis contente de pouvoir les partager avec vous, car tant que je n’écris pas, les dites énergies s’intensifient... 
Et, vous en conviendrez, quel contraste avec Dame Papillon notre Animal Totem 2014. La légèreté créative vs la lourdeur ancrée. L’aérien éthérique vs le terrien aquatique.

À l’image même de l’année qui se termine, voici un bel exemple des extrêmes que nous avons côtoyés toute l’année...

« Je peux dès à présent, vivre dans un monde de paix et d’amour »





Depuis deux nuits, Féliz, mon chat préféré, qui est beaucoup plus qu’un animal de compagnie, m’a fait l’honneur de dormir avec moi. Je respecte sa liberté mais j’apprécie quand il est près de moi. Bien que ça signifie aussi qu’un équilibrage énergétique est nécessaire. J’ai commencé à ressentir à nouveau la douleur aux reins et sa présence tout comme l’appel à l’aide à ma présence divine, l’ont cessé net. Il a vraiment le don de réguler les énergies, d’apaiser, de vibrer l’amour inconditionnel et d’enseigner par l’exemple, ce même amour qui n’enferme pas, respecte les différences, le lâcher prise, la souplesse, bref, des attributs essentiels au bien-être et à l'épanouissement.
La lecture du témoignage de l'extra-terrestre et surtout ce qu’il a partagé faisant écho à de nombreux messages spirituels, concernant l’histoire « réelle » du monde, m’a bien chamboulé mais j’ai pu constater que cette fois-ci, les dégâts ont été moindres puisque les émotions générées ont été libérées au fur et à mesure. 
Je me suis sentie coincée, perdue mais au lieu de sombrer, j’ai senti que c’était le moment de formuler clairement mon intention, que je n’avais pas à nourrir l’impuissance mais qu’au contraire, je devais manifester mon pouvoir de co-créatrice, par le verbe.
Je me suis sentie isolée face à la folie du monde, comme prisonnière dans un environnement hostile et peu à peu, je suis revenue au centre de moi-même et j’ai pensé, "puisque je ne peux pas changer le monde, puisque je suis responsable uniquement de mon propre monde, je peux choisir ce que je veux vivre en dedans".

mardi 16 décembre 2014

« A propos du témoignage de Matilda O'Donnel MacElroy »*






Je suppose que la lecture de ce témoignage sèmera le trouble puisque beaucoup de thèmes abordés demandent à être développés tellement ça révolutionne nos croyances. Personnellement, je suis au courant des infos qui circulent à propos des aliens, de la mise en quarantaine de la terre, des guerres galactiques…mais jusqu’à maintenant, je ne voulais pas en entendre parler parce que je manquais de foi en ma vraie nature et la peur avait encore trop d’impact sur moi pour que j’ose m’aventurer sur ce terrain.

Non seulement la peur mais comme j’avais besoin de m’accrocher à mes croyances, je ne pouvais pas prendre le risque de tout balayer d’un coup. 
Puis envisager les guerres galactiques comme une réalité me maintenait dans le défaitisme, l’impuissance et le désespoir. Si même en dehors de notre planète, le « ciel » est encore un champ de bataille, où est l’issue de secours ? Où peut se trouver la paix ! 

Il a fallu que je sois certaine de la trouver en mon cœur, que je le vive concrètement et quotidiennement, que j’apprenne à gérer les émotions pour vérifier cette vérité. Dès lors, les autres, l’extérieur, les pensées dérangeantes, les peurs, les besoins et les manques sont relativisés.

« Entretien avec l'extraterrestre » témoignage de Matilda O’Donnel MacElroy (partie 1/4) traduit par Hélios*





"Copies de deux Lettres, des Transcriptions militaires Top Secret, et des Notes Finales de Matilda O’Donnell MacElroy, infirmière dans l’US Army Air Force, affectée au 509ème Escadron de Bombardiers, sur la Base Militaire Aérienne de Roswell, au Nouveau-Mexique, en 1947. Dans ses Lettres, Matilda O’Donnell MacElroy affirme que les transcriptions sont un enregistrement exact d’une série d’entretiens qu’elle a conduits avec un extraterrestre, dans l’exercice de ses fonctions d’infirmière de vol au sein de l’US Army Air Force. En Juillet et en Août 1947, Matilda a interrogé le pilote d’un vaisseau qui s’est écrasé à proximité de Roswell, Nouveau-Mexique, le 8 Juillet 1947."

Voilà les quelques lignes d'introduction à ce livre dont le titre anglais est "Alien interview", publié par Lawrence Spencer. 
Matilda O'Donnel MacElroy a gardé pendant 60 ans les documents concernant cet entretien et les a envoyés à un éditeur en 2007. Elle était âgée de 83 ans et savait qu'elle quitterait bientôt cette terre.

« Entretien avec l’extra-terrestre » 2ème partie




(...)
QUESTION – "Pourquoi votre vaisseau s'est-il écrasé ?"
RÉPONSE – IL A ÉTÉ PRIS DANS UNE DÉCHARGE ÉLECTRIQUE DE L'ATMOSPHÈRE QUI NOUS A FAIT PERDRE LE CONTRÔLE.
QUESTION – "Pourquoi votre vaisseau se trouvait-il dans cette zone ?"
RÉPONSE – POUR ENQUÊTER SUR LES "NUAGES QUI BRÛLENT/RADIATIONS/EXPLOSIONS.
QUESTION – "Comment vole votre vaisseau ?"
RÉPONSE – ON LE CONTRÔLE PAR "L'ESPRIT". RÉPOND À DES "COMMANDES MENTALES".

"Esprit" ou "commandes mentales" sont les seuls mots anglais qui me sont venus pour décrire l'idée. Leurs corps, et je le pense, le vaisseau, sont reliés à eux directement par une sorte de "système nerveux" électrique qu'ils contrôlent par la pensée.

« Entretien avec l'extraterrestre » (3ème partie)




[Note d'Hélios : je résume le chapitre 6 et le début du chapitre 7 : Airl a très rapidement appris l'anglais, mais Matilda pense qu'elle connaissait déjà plus de choses sur les cultures et l'histoire de la Terre qu'elle n'a voulu l'admettre en démarrant son apprentissage.
15 jours après son arrivée à la base, elle était bien plus cultivée que Matilda et ce fut elle qui devint le professeur et Matilda l'élève. Le 24 juillet, elle déclara qu'elle était prête à parler.]

(TRANSCRIPTION OFFICIELLE DE L'ENTRETIEN)

TOP SECRET
Transcription officielle de l'US Army Air Force Roswell, 509ème Escadron de Bombardiers
SUJET : INTERVIEW DE L'EXTRATERRESTRE, 24 juillet 1947
"De quoi aimerais-tu parler, Airl ?" demandai-je.

"Je fais partie de la Force d'Expédition du Domaine dans ce secteur de l'espace depuis plusieurs milliers d'années. Je n'ai cependant pas eu de contact intime avec les êtres de la Terre depuis 5965 avant cette ère. Ce n'est pas ma première fonction d'interagir avec les habitants des planètes au sein du Domaine. Je suis officier, pilote et ingénieur, avec de nombreuses tâches à remplir. Bien que parlant couramment 347 autres langues du Domaine, je n'ai néanmoins pas été exposée à votre langue, l'anglais.

« Entretien avec l'extraterrestre » (4ème et dernière partie)






J'ai (Hélios du site BistroBarBlog) traduit un autre passage où l'extraterrestre évoque la civilisation des pyramides et développe la notion d'emprisonnement des "IS-BE".

Extrait du chapitre 9, 'Une chronologie des événements terrestres'.

"La véritable histoire de la Terre est très bizarre. Elle est tellement dénuée de sens qu'elle apparaît improbable au Terrien qui tente de l'étudier. Il y manque une myriade d'informations vitales. On y a arbitrairement introduit des quantités d'anachronismes et de mythologies. La nature instable de la Terre elle-même recouvre, noie, mélange et détruit les preuves physiques au fur et à mesure de ses cycles.
Ces facteurs, associés à une amnésie et à des suggestions post-hypnotiques, à de fausses apparences et à une manipulation secrète rend la reconstitution des origines factuelles des civilisations terrestres et leur histoire virtuellement indéchiffrables. Tout chercheur, même brillant, est condamné à s'enliser dans un bourbier de suppositions peu concluantes, d'hypothèses impraticables et de perpétuels mystères.