dimanche 14 décembre 2014

« L’intégration des énergies » les êtres de lumière via Monique Mathieu





« Certains de vous ressentent parfois une sensation de froid. L’intégration des énergies très puissantes de transition, de transformation profonde, peut créer cette sensation de froid intense.
Pour ne pas ressentir ce froid intérieur, il faut que vous vous libériez des anciennes énergies. Comment ? 
Encore une fois en lâchant prise, en n’étant pas trop dans des colères intérieures, (les colères intérieures ne sont parfois pas toujours perceptibles), en ne vous faisant pas trop de soucis pour ce que vous vivez, pour ceux qui vous entourent, en essayant d’être le plus positif possible afin de pouvoir intégrer sans difficulté ces magnifiques énergies de transformation, de transition.
Ce qu’il faudrait également, c’est restituer les énergies puissantes que vous intégrez, c’est-à-dire les redonner à la Terre, à vos frères humains, à tout ce qui vit. 
Que les thérapeutes essaient d’en faire profiter les êtres qui les entourent s’ils en ont besoin.
Faites souvent des prises de terre pour rééquilibrer vos propres énergies avec les énergies très puissantes que vous recevez, ayez conscience de tout ce que vous intégrez et acceptez-le.

« Il y a des mots qui sont magiques » par Daniel Meurois






Le mot Amour, par exemple.
C’est même sans doute le plus magique d’entre les magiques. On a l’impression en effet qu’il renferme en lui les arcanes de ce qui guérit tout et qu’il est donc le baume ultime à toutes les dissensions humaines et à toutes les plaies de l’âme. Son aura est si universelle que même les personnes qui, à nos yeux, sont parmi les plus sombres de notre espèce n’hésitent pas à l’utiliser.
En réfléchissant à cela aujourd’hui, j’en suis venu à me demander le pourquoi réel de cette magie. La réponse n’est pas si évidente qu’on le croit. Il me semble en fait qu’elle peut considérablement varier d’une personne à l’autre, en fonction du niveau de conscience de celle-ci, autrement dit de sa perception de la vie… puis d’elle-même au cœur de cette vie.
Oui, plus j’y songe, plus il me paraît certain que l’Amour ne signifie pas la même chose pour tout le monde. Selon certains dictionnaires, il serait une disposition affective à l’égard de ce qui paraît être bon… 

C’est justement là que commence le flou ! Au sein exact de l’idée du "bon".
Qu’est-ce qui est bon, au juste ? Le « juste » ? Sûrement pas… 

Toutes les guerres résultent d’une mésentente sur ce qu’on décrète juste ou injuste. Les Croisés n’ont-ils pas trouvé bon de massacrer au nom du Christ ? Certaines civilisations précolombiennes ne croyaient-elles pas en la justesse des sacrifices humains pour obtenir les faveurs célestes et prouver ainsi leur amour envers la Divinité ? Chacun sait que la liste de ce genre d’aberrations pourrait s’étirer à l’infini. 

« Dépendance : mécanisme et méthode » vidéo d'Elan Sarro





Réveillée à 4h30 par le froid, la faim, je me suis levée sans colère vis-à-vis de mon corps physique. Je sais que ce sont des sensations « normales » liées au sevrage et ma non-réaction à ce qui avant me faisait fuir dans l’oubli, est le signe de l’efficacité du processus de lâcher prise, de guérison. 
Car la guérison se situe là, dans la capacité à ne pas suivre l’ego lorsqu’il déclenche la stratégie de fuite. L’observation bienveillante de son comportement et la compréhension des stratégies de l’ego, permettent de voir quand ça panique en soi et de ne pas s’identifier au processus naturel de défense. 
Le recul effectué en ayant conscience de ce phénomène, en voyant comment il se met en place, permet de ne pas s’identifier à l’ego. Chaque fois qu’on revient en son cœur, en son corps physique et qu’on laisse l’émotion s’exprimer, sans la juger, sans vouloir la refouler, on est simplement conscient de ce qui se vit en soi et la lumière de la conscience, l’amour manifesté par l’acceptation de ce qui est, restaurent la libre circulation énergétique. La santé mentale s’établit dans cette mise en lumière de nos comportements addictifs. Le fait de ne plus s’identifier à l’ego libère de la peur et de l’inconscient individuel mais aussi collectif.

samedi 13 décembre 2014

« De l'ego vers le cœur » III Jeshua via Pamela Kribbe





Le lâcher-prise de votre ancien « vous »
Comme nous l'avons vu, la transition d'une conscience fondée sur l'ego à une conscience fondée sur le cœur progresse selon les étapes suivantes :
1) Être insatisfait de ce qu'une conscience fondée sur l'ego peut offrir, aspirer à « autre chose » : Le début de la fin.       
2) Prendre conscience de ses attaches à une conscience fondée sur l'ego, reconnaître et se libérer des émotions et des pensées qui les accompagnent : Le milieu de la fin.
3) Laisser mourir en soi les vieilles énergies fondées sur l'ego, se débarrasser du cocon, devenir son nouveau soi : La fin de la fin.
4) L'éveil d'une conscience fondée sur le cœur, motivée par l'amour et la liberté ; aider les autres à faire la transition.

Nous allons maintenant parler de la troisième étape. Mais avant cela, nous souhaitons insister sur le fait que cette transition ne s'effectue pas selon un cheminement strict et linéaire. Par moments, il se peut que vous retombiez à un stade que vous aviez déjà dépassé. Mais cette régression peut aussi vous mener plus tard à un grand pas en avant. Ainsi, certains détours peuvent s'avérer être des raccourcis. 
Et le chemin spirituel de toute âme est unique et individuel. 
Donc, voyez ce résumé en quatre étapes que nous vous proposons comme une simple manière d'éclaircir certains moments décisifs du processus. Les résumés et les catégories sont de simples instruments pour rendre visible une réalité qui ne peut être saisie par votre mental.

« L'amour......... »





Le sujet qui me trotte en tête aujourd’hui, c’est encore et toujours l’amour. Je ne parle pas de romantisme mais pour le moment, je me contente de libérer toutes croyances à ce sujet, d’observer, de ressentir. 
Je sais que c’est une énergie qui anime toute vie, qui créé, guérit, magnifie. 
Nous l’avons associée aux émotions, aux vertus, aux sentiments, à ce qui nous semblait juste, bien et beau. 
Je sais que c’est mon essence primordiale, qui se manifeste dans la densité, au travers du désir, de l’élan créatif. Et on l’associe dans sa version la plus sensationnelle, à la sexualité puisqu’alors, elle imprègne les corps subtils, le mental, l’émotionnel, en même temps que le corps physique et le cœur. C’est cet alignement qui semble créer l’état de bien-être intérieur dans les premiers temps d'une relation à deux. 
Déjà, si on laisse les émotions de côté, l’amour, enfin ce que nous qualifions ainsi, perd de son intensité. La passion s’éteint et on peut constater que les sentiments étaient liés aux émotions agréables. Si en plus on libère les croyances auxquels on associait l’amour, on se rend compte que sa force était alimentée par celles-ci.

vendredi 12 décembre 2014

« Les fleurs de Bach » vidéo de Gérard Wolf





Aujourd’hui, j’ai envie de rendre hommage aux fleurs. Elles ont tant à offrir, à enseigner même. Outre leur beauté, leur parfum, leur symbolique, leur géométrie sacrée, elles sont aussi une aide précieuse en matière de soin. Leurs essences peuvent soulager, réconforter, soigner l’humain au niveau psychologique et énergétique. J’ai eu recours à cette forme de thérapie, à plusieurs reprises, selon l’inspiration du moment. 
Je contemplais les photos de fleurs qui se succédaient sur mon écran, hier soir, en pensant que c’était une forme de méditation qui élève le taux vibratoire. Ou le maintient sur les fréquences de l’harmonie, de la beauté, de la cohérence et de la joie. 
Elles nous montrent que l’éphémère et l’éternel peuvent co-exister puisque lorsque la fleur fane, le fruit se forme, la graine porteuse d’éternité se constitue pour croitre et fleurir à nouveau. Le cycle de la vie est inscrit en cette création divine qui donne au monde ses couleurs.

« La fleur de l’être » en mots en en images par Alain Degoumois







Il y a en chacun d'entre nous une fleur de grâce,
Qui ne demande qu'à éclore dans le présent,
Et se déployer d'offrande dans le monde.
 
C'est la fleur de l'Être qui s'éveille,
A l'aurore du monde tel un soleil.
 
Et voici que le monde participe à cette naissance,
Et danse de reconnaissance.