jeudi 11 décembre 2014

« Les Énergies Diamants et les 13 Chakras » selon la guidance de Patrice




Voici donc l’article dont je parle dans le message précédent. Bien que cette info ne circule pas sur les sites « spirituels » habituels, elle correspond à ma façon de voir les choses. C’est peut-être le besoin de nouveauté qui motive ma démarche mais ça me semble tout à fait approprié d’actualiser les « connaissances ». J’ai été touchée par la façon de recevoir et de partager de cet homme tout autant que par son propos. Je vous laisse vous faire votre propre opinion. Selon mon expérience, l'intérêt de savoir que nous sommes composés de différents corps subtils c'est de mieux se connaitre afin de mieux s'aimer et lâcher les croyances basées sur la peur et la séparation.

Patrice
  
Je viens vous écrire ces quelques mots pour vous parler de ce qui se passe en ce moment, aussi bien pour moi que pour ce qui va se passer dans l’avenir.
Au commencement, au début de janvier 2014 pendant un de mes nombreux travaux que j’effectuais sur moi ; en fin d’exercice, je reçus en moi et en visualisation un « Diamant bleu » entouré d’une énergie de même couleur, comme le ferait un brouillard. De plus, le Diamant donnait l’impression de tournoyer légèrement sur lui-même. Cette vision resta longtemps devant moi, puis mes yeux s’ouvrirent automatiquement et je restais avec la pensée de ce Diamant. Comme après chaque travail effectué en ma personne, une énergie et des sensations de bien-être se cumulaient autour et à l’intérieur de moi.
Pourquoi ce Diamant ? À quoi sert-il ? Pourquoi est-il apparut ? 

« L'amour n'est pas un objet, une émotion ou une sensation, c'est l'énergie du vivant ».





Aujourd’hui semble être un jour "avec". La stabilité émotionnelle vient toujours quand on s’autorise à être libre, à être soi-même, complètement. Le mode « observation » permet de libérer en douceur, les énergies bloquées et c’est très reposant de faire confiance à tous ses corps, à ses élans du moment. 
Accepter ce que nous sommes, ici et maintenant, active les énergies de liberté et de guérison, en soi, d’une façon remarquable. 
Se regarder en face libère les énergies bloquées qui déformaient la vision et la transparence révèle la beauté de l’être multidimensionnel que nous sommes. Les multiples facettes de la personnalité, réunifiées, réintégrées dans l’alchimie émotionnelle, l’acceptation de ce qui est, s’harmonisent offrant l’image d’un diamant rayonnant. 
A ce propos, j’ai reçu un mail en début de semaine qui est venu au bon moment, comme une réponse à mon questionnement à propos de la constitution des corps subtils, des chakras.
J’ai toujours eu un mouvement de recul face aux phénomènes de mode et l’attrait pour les religions "exotiques" me semble correspondre au besoin de changement mais il se manifeste dans la forme alors que le propos est plutôt de revisiter tout afin d’aller à l’essentiel, en se débarrassant des étiquettes, des apparences, des conditionnements pour toucher l’être véritable. Pour se voir tels que nous sommes en vérité et cesser de projeter vers un idéal, pur fruit de notre imagination, de nos peurs, de nos croyances à propos de ce qui est bien ou mal, correct ou pas….

mercredi 10 décembre 2014

« Clefs de sagesse du jour » reçues par Monique Mathieu





J’aime bien aller piocher des clefs de sagesse sur le site de Monique Mathieu parce que j’y trouve toujours un écho, un soutien et parfois une nouvelle piste réflexion. Non pas que ce soit nouveau pour eux mais perçu différemment à mesure que j’élargis ma conscience. En tous cas, c’est devenu un jeu qui nourrit ma foi, ma relation au monde invisible et qui développe ma faculté à ressentir les énergies extra-terrestres et en même temps mon intuition. 
C’est un des premiers sites qui a publié des messages des êtres de lumière reçus en français et qui reste mon favori puisque je suis en parfaite résonance avec ce que j’y trouve. 
Mais ça n’a pas toujours été le cas, bien souvent ma compréhension était limitée par mes croyances à propos de l’amour et je trouvais certains messages un peu trop sévères. Malgré tout, je ne remettais pas en question leur discours puisque le ressenti intérieur m’en confirmait l’exactitude.
C’est en avançant sur le chemin de l’amour sans conditions, celui qui mène au cœur, que j’ai pu voir la fragilité de mes croyances et l’obsolescence de la plupart d’entre elles. 
Je publie rarement ceux qui parlent de l’avenir parce que j’apprends à vivre dans le présent puis vu l’état du monde, selon sa logique, le chaos va amplifier naturellement.

« Patience et confiance nourrissent la foi, l’amour vrai de soi »





Plus je découvre qui je suis et plus je me rends compte de la complexité de l’humain divin. La lumière qui révèle l’ombre permettant ainsi de trouver l’équilibre, élargit l’horizon et toutes les croyances apparaissent comme des cadres de références qui forment des repères tout autant que des limites. Mais les limites elles-mêmes ne sont plus vues comme des barrières mais comme des garde fou. Elles permettent d’évoluer dans un espace « protégé » et lorsqu’on en a fait le tour, on peut alors les sublimer ou les élargir. 

Quoi qu’il en soit, elles appellent à être vues et acceptées afin d’être reconsidérées. 
En amenant une croyance au cœur, au point zéro, en la considérant sans la juger, on en voit les bénéfices et les inconvénients puis l’alchimie intérieure qui se réalise en libérant le surplus énergétique va la rafraichir, l'actualiser. On s’en détachera sans pour autant la considérer comme nulle mais on n’en fera plus une absolue vérité.

La croyance est l’interprétation mentale des énergies divines en soi, de l’intuition et de l’interaction entre nous et l’autre, l’extérieur. Elle n’est pas indispensable pour celui qui ne doute plus de sa vraie nature et qui veut suivre l’élan du moment. 
Cependant elle est très utile lorsqu’on on est en quête de sens, pourvu qu’elle demeure une marche de l’escalier qui nous ramène au cœur. 

« Cet indispensable amour de soi »





S’aimer soi-même ne va pas forcément de soi. Notre image est pourtant fondamentale pour structurer notre comportement. Et, à travers lui, notre rapport aux autres.
Isabelle Yuhel
Si Dieu devait dicter ses commandements à Moïse aujourd’hui, il ajouterait certainement aux dix existants : « Tu t’aimeras toi-même, autant sinon plus que ton prochain, tu prendras soin de toi, tu veilleras à ton bien-être, etc. » !
A l’ère de l’individualisme triomphant, de la valorisation tous azimuts du "moi" et de ses formidables potentialités, l’amour de soi prend figure de devoir. Il apparaît même, pour 69 % des Français, comme la condition sine qua non de l’amour d’autrui (in “Francoscopie”, G. Mermet, Larousse 1999).

L'importance de s'aimer
A première vue pourtant, l’idée de s’aimer soi-même paraît futile, ridicule comme s’il n’y avait rien de plus important dans l’existence ! – ou très prétentieuse. 
Traditionnellement et culturellement, c’est sur la capacité d’aimer autrui qu’est mis l’accent. 

mardi 9 décembre 2014

« Le chant de la Grâce » par Alain Degoumois





Au-delà des apparences visibles se tient quelque chose qui n’est pas visible avec les yeux.
Au-delà du langage se tient quelque chose qui n’est pas accessible avec les mots.
Au-delà de l’écriture se tient quelque chose qui échappe aux phrases.
Au-delà de tous les enseignements de sagesse se tient une sagesse qui échappe aux enseignements.
Au delà de tout ce que l’on peut dire, lire, croire ou répéter, réside quelque chose qui est de l’ordre de la Grâce.
La Grâce ne nous appartient pas. Elle ne peut être ni saisie ni asservie. Elle arrive comme un voleur…
Ce qui nous appartient uniquement, c’est notre façon d’être présent à nous-mêmes, de nous écouter et de nous pardonner. Laisser tout ce qui remonte à nous s’exprimer, avec compassion, sans attachement. Laisser nos nébulosités remonter à la clarté de notre conscience.
Être tout simplement le spectateur compatissant et attentionné de soi-même.
Accepter et pardonner, s’accepter et se pardonner.
Apprendre à nous connaître en nous autorisant nos imperfections, nos colères, nos peurs et nos rancœurs.
Car c’est en autorisant nos rancœurs que notre cœur se rend à nous…

« On est libre, dès lors qu’on dit « Oui » à ce qui est »






Tout comme hier, l’envie d’écrire n’est pas prédominante. Il y a comme une lassitude générale à parler de mon quotidien et la sensation que l’heure est plutôt au silence. Comme si quelque chose se tramait en profondeur, un genre de germination dont je n’ai aucune idée du résultat. En lâchant certaines croyances, les anciens repères qu'ils formaient, n’ont plus de sens et ça créé une sensation de perte, de vide, que je ne crains pas parce que je ne suis plus dans l’attente mais plutôt dans la confiance. Ce n’est pas non plus vraiment un vide mais un espace nouveau se créé en moi comme pour accueillir le nouveau. 
Par définition, c’est un parfait inconnu il est donc inutile d’anticiper. Il s’agit plutôt de continuer de maintenir la paix en dedans, d’observer ce qui est et de s’offrir la liberté d’être. A ce niveau, les résistances tombent en même temps que les masques.

Cette liberté que je pensais trouver en dehors, pour laquelle je pensais devoir me battre, que je revendiquais, est en fait un état d’être que je peux m’autoriser à vivre, à chaque instant, simplement en suivant l’élan du moment.