mardi 2 décembre 2014

« Ne nourrissez pas vos peurs ! » Les êtres de lumière via Monique Mathieu





"Nous allons de nouveau vous parler des peurs. Il y a longtemps que nous ne vous avons pas parlé de cette émotion, de cette vibration qui est en vous, que vous devez transcender par la Lumière et l'Amour mais qui est encore bien enracinée au plus profond de la conscience, au plus profond de chacun des êtres humains. Certains s'en rendent compte, d'autres non, mais cette vibration demeure.
Les peurs sont tout à fait l'opposé de la vibration Amour. A partir du moment où vous les reconnaissez, où vous les éclairez, où elles n'ont plus ni importance ni influence sur votre vie, il y en aura de moins en moins et vous élèverez votre fréquence vibratoire.

Vos freins sont les peurs, les doutes, le non lâcher-prise, la non acceptation de ce que vous êtes et de ce que vous vivez. A partir du moment où vous arrivez à lâcher au niveau de vos peurs, à les comprendre, à les transcender, à lâcher au niveau de toutes les expériences qui sont mises sur votre chemin mais que vous avez programmé, vous dégagez de plus en plus les voiles qui obscurcissent votre conscience. Donc essayez de reconnaître les peurs qui sont en vous.

« Libérer la dualité, le conflit interne »





Ce matin, quelque chose me trotte en tête concernant le « mal ». J’étais tentée de rechercher des infos à ce sujet puis je suis tombée sur un article qui parle des égrégores. 
Il n’y a pas de hasard et je remercie mon âme de m’avoir guidé et inspiré quelques réflexions au sujet de ce que je veux considérer d’un point de vue énergétique, sans étiquettes, sans nom et sans images. 
Le problème, c’est que l’image est trompeuse, du moins elle ne donne qu’un aperçu, une part infime de la réalité. Elle conditionne et limite, tout comme le fait de nommer l’énergie, de la personnifier. 
On ne peut échapper aux conditionnements mentaux à moins de devenir conscient et encore, on va observer son comportement et constater le processus qui se met en place automatiquement et c'est en acceptant ce qui est, que l'alchimie s'opère dans le creuset du cœur. 
Un nom porte une énergie, se situe dans un camp, porte des idéaux, nourrit des croyances, provoque une réaction selon notre propre conditionnement culturel, familial, nos propres croyances…
La quête de vérité au travers des enseignements, des livres, des maitres spirituels, ne peut pas amener à une réponse objective, neutre. Déjà parce que la personnalité de celui qui enseigne est elle aussi marquée par ses conditionnements, ses croyances, sa culture…et puis même si cette personne est ancrée en son cœur, elle manifeste sa propre vision au travers de son ego, de son mental. On va me dire que je n’ai jamais rencontré de maitre sinon j’aurais senti combien ils sont puissant, spirituels…

lundi 1 décembre 2014

« Vague émotionnelle puis, la paix »





Le ciel est encore bien sombre ce matin mais la pluie a enfin cessé. J’irais voir jusqu’où est montée la rivière dont la force du courant, amplifiée par la montée des eaux, produit un bruit assourdissant. Comme chaque matin je me suis laissée guidée sur la toile et j’ai effectué la méditation suivante*. On trouve beaucoup de vidéos qui proposent des méditations guidées mais elles ne m’attirent pas puisque je préfère agir selon l’inspiration, utiliser mon imagination, mes acquis et privilégie le contact directe. 
Cependant au bout de quelques secondes d’écoute, comme les larmes ont commencé à couler, je suis allée au bout de celle-ci. Je n’ai pas suivi à la lettre cette guidance que j’ai effectuée en laissant les pensées me guider à partir des suggestions du narrateur. 

Au moment de visualiser la terre lorsqu’elle n’était pas encore peuplée, je me suis retrouvée dans la « peau d’un arbre », un chêne peut-être. J’ai vu défiler des oiseaux, des êtres venant s’abriter de la pluie ou des rayons du soleil, les saisons qui se suivaient, le vent qui dansait dans mes branches... 
En même temps, le sentiment de force, de stabilité mais aussi de légèreté, de finesse, sont apparus. Les larmes ont coulés pendant 20 minutes, comme un nettoyage intérieur, un équilibrage du système nerveux et l’expression de la douleur, de la peur, relatives à la sciatique.

dimanche 30 novembre 2014

« Lâchez tout sentiment de culpabilité ou de honte » Saul, transmis par John Smallman





L'Unicité de TOUT ce qui existe est la Vérité dont tous doivent devenir conscients, et cette vérité (« v » minuscule, car actuellement elle a tendance à être une sorte de conscience scientifique, une conscience logique découverte par un effort intellectuel, et pas encore une connaissance qui vient de votre cœur, bien que cette connaissance soit toujours disponible pour vous parce qu’elle réside éternellement en vous.) commence à circuler dans la conscience collective. 
C’est comme si un glacier avait commencé à fondre, et qu’en fondant son contenu s’étale partout, trempant tout sur son passage. Et, bien sûr, vous êtes tous sur son passage. La conscience s’écoule et grandit partout dans le monde, elle ne peut rester plus longtemps inconnue, elle peut seulement être niée.
En raison des souffrances et des trahisons que vous avez vécues depuis des âges — souffrances et trahisons bien trop douloureuses pour que vous puissiez les admettre et vous en souvenir — vous avez presque tous à résoudre des problèmes que vous aviez niés depuis très longtemps. Et pour beaucoup d'entre vous ces problèmes vous font sentir très intensément leur présence en ce moment. Subitement vous fondez en larmes, et souvent sans aucune raison identifiable. Laissez couler les larmes ! C’est une forme de libération nécessaire et très efficace.

« Ne rien faire quand ça remue en dedans »







Près de 48 heures de pluie et ça continue ! De temps en temps, l’idée que les chemtrails sont à l’origine du dérèglement climatique, fait son apparition, mais comme j’ai décidé de cesser de juger, même si c’est folie pour l’ego, ça passe tout seul quand je reviens au cœur. 
Je sais aussi combien il est facile de nourrir la peur en laissant le mental développer toute une série d’arguments qui sont logiques en apparence mais qui n’ont pas de sens lorsqu’on ne doute pas de ses origines divines et de la puissance de l'amour. 
Non seulement le fait de juger, de critiquer, me sort de mon cœur mais si je suis le fil tricoté par l’ego, je me retrouve prisonnière de son raisonnement, de la peur, de la culpabilité et du découragement.
Repérer les moments où je me laisse manipuler par la peur me permet de comprendre ce qui reste encore dans l’ombre et en appelant la source divine en moi, en lui demandant d’équilibrer les forces internes, déjà, la paix revient et je ne tombe pas dans l’auto-accusation, la dévalorisation, le déni. Ce qui est, n’est pas à remettre en question mais c’est la façon d’interpréter et surtout de rejeter qui créé des barrières et bloque le flux de l’énergie de vie.

vendredi 28 novembre 2014

« Le soleil est toujours là, malgré les nuages, la nuit même »





Depuis hier soir, le temps est à l’orage, il faisait 18° vers 23h, quand j‘ai sorti la chienne ! J’ai eu la bonne idée de faire tourner une machine à 5h30 alors qu’il tombe des cordes ! Voilà le problème du jour ! Comparé aux problèmes du monde, ça n’est rien du tout et je peux remercier mon âme pour son choix d’incarnation. Plus je vieilli et plus je me rends compte de la correspondance entre mes conditions de vie et ce que je suis profondément. 

Il m’apparait de plus en plus clairement que la phase qui précède l’incarnation est une étape où l’âme étudie les potentialités et combine ses acquis avec ses besoins. Comme elle est capable d’avoir des sentiments, des émotions, elle peut définir avec l’aide de l’esprit, ce qui favorisera le retour à la source, sera le plus porteur d’épanouissement et de guérison. Son point de vue élargit et sensible ajouté à celui de la présence divine permet de manifester un corps de chair dotés de tous les attributs nécessaires pour développer l’amour et la lumière intérieurs. 
Je suppose qu’elles fusionnent, se logent dans l’ADN et s’incarnent dans une cellule mère qui se divise et se multiplie. Ce n’est pas le fait de savoir à quel moment précisément l’âme s’incarne mais le principe de division/multiplication qui m’intéresse ici. Je laisse le sujet aux polémistes religieux qui tentent de déterminer si l’avortement est criminel ou non.

jeudi 27 novembre 2014

« Accepter ce qui est, oui, mais la douleur ? »






Libérer, libérer, libérer………….
Se libérer parce que finalement, nous avons tout pouvoir sur notre monde intérieur. 
Mais comment l'exerçons nous ? 
Nous sommes le scénariste de notre vie et en tant que spectateur, nous révisons continuellement le film. 
La vie nous présente des images que nous allons interpréter selon notre degré d’ouverture et comme nous regardons au travers de l’ego qui divise, nous louchons continuellement. 

Nous voyons tout ce qui est de façon partielle et jugeons à partir de ce postulat. 
Il semble alors logique que notre vision soit déformée, tronquée. 

Face à ce constat, on se dit qu’il serait bon d’élargir sa vision alors on le fait en révisant ses croyances, en faisant des choix qui vont amplifier l’amour.

Nous menons tous des combats internes et chacun se construit ses propres ennemis intérieurs en se focalisant sur « le problème », sur la chose qui nous cause le plus de difficultés. 
La première erreur est là puisque nous amplifions ce sur quoi nous focalisons notre conscience. 
Paradoxalement, plus on va vouloir se libérer de quelque chose qui nous dérange, plus on va y penser et plus cet aspect de soi va devenir monstrueux puisque nous le nourrissons continuellement.