lundi 24 novembre 2014

« Le cœur foyer de la paix, de l’unité, de l'équilibre »





Drôle de nuit, drôle de réveil ! J’aime casser la routine bien que les repères soient utiles et rassurants. C’est encore une contradiction interne qui s’équilibre d’elle-même tout comme l’envie de fumer. Le choix de faire avec, d’accepter cet aspect intérieur qui galère à gérer le quotidien me permet de voir les choses de façon neutre et de nouvelles idées émergent.

C’est vraiment la seule façon de changer son regard et donc son attitude
Plus on lutte contre quelque chose et plus on lui donne corps. 
En libérant la notion de jugement je prends le risque de l’excès mais je constate déjà les bienfaits de ce choix. Non seulement l’envie a fortement diminuée mais des mécanismes se mettent en place naturellement afin d’être dans l’équilibre.

L’acceptation de ce qui est, ramène les énergies au point zéro et crée une détente intérieure qui favorise la libre circulation de l’énergie. L'énergie de rébellion a été absorbée par l'acceptation, freinant le geste compulsif et permettant l'observation neutre. 
La sciatique a pratiquement disparu et je me suis réveillée sans aucune douleur. 
Si j’observe ce que j’ai modifié dans mon quotidien, je peux constater que c’est le fait de m’être autorisée à lâcher prise, à neutraliser mon regard au niveau de la dépendance et des élans compulsifs qui a créé une détente intérieure et pas l'usage du produit
La détente s'effectue lorsque je dis oui, avant même d'agir.

« Cours de préparation pour le futur » Les êtres de lumière via Monique Mathieu







« Ce qui, pour vous, est illusion aujourd’hui, sera réalité demain parce que vous aurez totalement changé de perceptions, de plan de conscience et de fréquence vibratoire.
Nous vous donnons un exemple : nous sommes auprès de vous. Nous vous certifions qu’auprès de vous il y a beaucoup plus d’êtres que vous le supposez. 

Il y a nous, vos frères de Lumière, il y a vos guides respectifs et aussi ceux qui ont l’autorisation de venir en ce lieu et qui vous ont aimés, mais qui ne se manifestent pas tout le temps pour ne pas perturber ce que nous avons à vous dire. 
Si, dans la seconde, vos perceptions changeaient et que vous puissiez nous voir, cela occasionnerait beaucoup plus de dégâts que de profits pour votre évolution. Lorsque votre centre de force émotionnel sera suffisamment stable, les choses seront différentes pour vous.
Pour arriver à cette stabilité émotionnelle, il faut acquérir la maîtrise 
Ce que nous vous conseillons surtout, car c’est maintenant possible, c’est de demander de l’aide à l’Être extraordinaire que vous êtes, l’Être de Lumière, l’Être Divin lorsque vous êtes déstabilisés au niveau de l’émotionnel. 
Soyez certains que plus vous lui parlerez, plus il vous répondra et plus il vous aidera.

dimanche 23 novembre 2014

« Amour » ?





Je ne regrette pas d’avoir suivi l’envie folle à priori, de dire "Oui" à l’élan, quel qu’il soit. Non seulement ça créé une détente psychologique mais en plus physiquement, c’est beaucoup plus calme. 
Je ne me reconnais plus du tout, je change à plusieurs niveaux et mon corps physique est en pleine mutation. Il y a l’âge, le cycle de la préménopause, le sevrage, mais quelque chose d’autre semble participer à ce processus.  J’ai lu que le corps dans son évolution passait d’une structure carbonique (ou carbone, je ne sais plus) à une autre plus raffinée, cristalline.

Cela semble logique puisque le « travail » actuel consiste à nettoyer, épurer, rendre transparents les filtres que constituent le mental, l’émotionnel. Il semble que j’intègre l’amour universel, impersonnel et paradoxalement, ça se réalise par l’acceptation de tout ce que je suis.
Je dis paradoxalement parce que l’amour vrai de soi suppose un retournement, un centrage, une focalisation sur les pensées, le comportement, une introspection et on pourrait penser que c’est une forme de nombrilisme. 
En fait, en libérant l’amour de tout ce que la personnalité croyait qu’il était, en abandonnant le jugement, il devient une énergie sereine, sans émotions.   

samedi 22 novembre 2014

« Tu te mets trop la pression » !





J’ai commencé la journée par une séance de relaxation pour diminuer la gêne occasionnée par la sciatique. Ce n’est pas franchement douloureux mais ça tiraille tout le temps depuis une semaine. C’est aussi ce qui a motivé mon choix de faciliter le sevrage en fumant de l’herbe. C’est vrai que ça aide à lâcher prise mais le risque c'est de se foutre de tout. Puis comme ça nuit à la concentration, ça m’oblige à être encore plus attentive. Du coup, je fais les choses une par une au lieu d’attaquer plusieurs chantiers à la fois. La gestion du quotidien est plus facile mais ça met en évidence le besoin de récompense ou peut  être tout simplement d’équilibre. Comme si j’avais besoin d’une carotte pour avancer.
Le fait d’avoir reconnu et accepté d’être arrivée à la limite du supportable m’a libéré d’un poids immense. 
Quand on veut se libérer d’une habitude, d’un comportement destructeur, on a tendance à faire du contrôle. On pense que la force de volonté suffira mais comme pour toute réalisation, il est nécessaire d’activer les vertus associées de l’amour inconditionnel, de la sagesse et de la volonté pour changer.

vendredi 21 novembre 2014

« Lâcher la notion de jugement face aux stratégies de l’ego »






Après avoir pas mal culpabilisé et cogité, j’ai cédé à l’envie de fumer de l’herbe. J’ai aussi hésité à en parler ici pour plusieurs raisons et le seul fait d’en faire la liste m’a montré ce qui devait être encore libéré.
Mon objectif étant de tomber les masques, j’ai résisté à l’envie en me disant que j’ajouterais encore un filtre déformant, que c’était une fuite…
Puis, en revenant au cœur, j’ai laissé parler toutes les voix et une fois le brouhaha apaisé, j’ai vu les choses d’un tout autre œil. La tentation de calmer le mental l’a emporté sur le jugement et les peurs de mal faire. Comme j’en suis à lâcher le jugement, voir ce « problème » à partir du cœur pourrait m’aider à m’en détacher. Bien que la démarche soit une folie pour le mental, je fais confiance au cœur, à l’amour.
Il est logique de vouloir compenser puisque je diminue les doses de médicaments. Puis, j’ai appliqué le raisonnement qui m’aide à relativiser les choses dans la recherche de pureté au niveau alimentaire et environnemental. 
Rien n’est plus vraiment naturel, l’eau, l’air, la terre, les sources, tout est pollué sans parler de la nourriture falsifiée et trafiquée. Face à ce constat, que faire ? Minimiser l’effet poison en choisissant des produits les plus purs possibles. Appeler les énergies de la source à purifier tout ce que l’on consomme et puis garder à l’esprit que cette vie est éphémère, que nous finirons tous par mourir. 

mercredi 19 novembre 2014

« Besoin d’ancrage, d'être présente »






Je suis réveillée depuis deux heures et des petits signes de début de sciatique se font sentir. J’ai lu ce que dit Lise Bourbeau à ce sujet et ça semble coller. C’est une peur quant à l’avenir, une culpabilité d’être attaché aux biens matériels et la peur de manquer. Je n’ai pas envie de chercher la cause réelle de cette douleur naissante parce que je doute de plus en plus de la valeur des interprétations. Je me contenterais d’essayer d’être présente, attentive à ce qui se manifeste en dedans. Les interprétations sont subjectives et elles naissent à partir de croyances. Voyant comment celles-ci peuvent être changeantes, je me dis que c’est encore une illusion de plus que de s’accrocher à l’une d’entre elles. Je ressens un changement profond immense mais pour le moment tout semble chercher à s’harmoniser à l’intérieur, à s’équilibrer.
Le détachement semble être le programme actuel à intégrer. Au niveau de la personnalité, il y a des peurs récurrentes et naturelles qui surgissent et comme tout s’écroule, comme les anciennes croyances ne font plus sens, même celles qui envisagent le corps physique comme multidimensionnel sont encore trop associées à des images, des concepts, qui faussent l'interprétation, ça créé un sentiment de perte et de confusion. 
Du coup, à 10h, je n’ai toujours pas pris de médicaments. Je ne sais pas si c’est le fait de l’écrire mais une bouffée de chaleur monte doucement mais sûrement. Là, le lien semble évident entre bouffée et angoisse. Je n’ai même pas la force de réagir et même si c’est une « bonne » chose selon mon désir de lâcher prise, c’est plus une forme de lassitude générale qui en est à l’origine.

mardi 18 novembre 2014

« Vouloir contenir la Vie, c’est un projet insensé, impossible ! »






Les jours se suivent et ne se ressemblent pas ! Voilà le constat du jour qui n’est pas pour me déplaire. Réveillée à 6h par la chaleur et certainement le besoin de produit puisque j’ai encore diminué les doses hier. J’apprécie grandement de ressentir à nouveau les émotions parce que ça ne me revient plus avec violence et parce que ça n’est pas non plus à longueur de journée. Je ne me dis plus que mon bonheur dépend de cette libération à la dépendance puisque celle-ci a son sens. Elle manifeste les croyances de séparation et d’enfermement que je libère peu à peu en accueillant les émotions qui leurs sont associées. 
Ce processus n‘a pas pour objectif de me séparer de la douleur mais plutôt de m’aider à ne pas la rejeter systématiquement ce qui a pour effet de l’amplifier.
C’est une première étape qui nécessite d’agir progressivement et patiemment et le sevrage est en fait un excellent moyen de réintégrer mon corps physique, d’accueillir le vivant, de libérer mon âme de ses blessures, en me familiarisant avec mes émotions, tout en douceur.