Reçu le 5 juin 2012 par Simon
Leclerc
Salutations à vous chers enfants de la Terre,
Nous sommes ravis de revenir vers vous en ce jour et de partager un nouveau volet de nos éclairages, afin de vous présenter de nouvelles perspectives concernant votre vie en collectivité.
L’un des principaux défis que rencontrent vos sociétés est celui du manque et de la peur qui y est associée. Beaucoup d’êtres humains ne se permettent pas de vivre la légèreté et la joie parce que la peur du manque est trop préoccupante. Ils s’interdisent de jouer parce que la vie est sérieuse et qu’ils doivent prioritairement assurer leur sécurité. «Ce n’est pas le temps de jouer, il y a les responsabilités».
Dans vos sociétés occidentales, tout le concept des responsabilités est devenu un moyen de justifier l’absence de joie si répandue. La joie est perçue par plusieurs comme une récompense que les Êtres s’offrent une fois qu’ils auront bien travaillé et assumé leurs responsabilités alourdissantes. Ils peuvent alors s’autoriser à vivre la joie, car ils le méritent enfin. Mais comme un mirage, cette joie n’est jamais atteinte, car les responsabilités sont toujours de plus en plus contraignantes.
Nous sommes ravis de revenir vers vous en ce jour et de partager un nouveau volet de nos éclairages, afin de vous présenter de nouvelles perspectives concernant votre vie en collectivité.
L’un des principaux défis que rencontrent vos sociétés est celui du manque et de la peur qui y est associée. Beaucoup d’êtres humains ne se permettent pas de vivre la légèreté et la joie parce que la peur du manque est trop préoccupante. Ils s’interdisent de jouer parce que la vie est sérieuse et qu’ils doivent prioritairement assurer leur sécurité. «Ce n’est pas le temps de jouer, il y a les responsabilités».
Dans vos sociétés occidentales, tout le concept des responsabilités est devenu un moyen de justifier l’absence de joie si répandue. La joie est perçue par plusieurs comme une récompense que les Êtres s’offrent une fois qu’ils auront bien travaillé et assumé leurs responsabilités alourdissantes. Ils peuvent alors s’autoriser à vivre la joie, car ils le méritent enfin. Mais comme un mirage, cette joie n’est jamais atteinte, car les responsabilités sont toujours de plus en plus contraignantes.