Ce matin encore debout de très tôt, je profite du silence
extérieur et du calme intérieur pour laisser ma pensée s’exprimer sans retenue.
En général, après une nuit de voyages, d’enseignements, à côtoyer des êtres de
l’invisible, au plus près de ma vraie nature, je suis remplie d’énergie divine et très ouverte aux contacts avec
ces mondes.
Mon mental étant très protecteur, je ne me rends pas toujours compte de ces échanges, ces communications avec l’invisible, de jour.
Comme j’ai choisi d’envisager chaque aspect de qui je suis, comme légitime et utile, même indispensable à l’expérience de l’incarnation, je ne vois pas l’ego comme un ennemi, un empêcheur de s’éveiller ou de trouver le bonheur.
Mon mental étant très protecteur, je ne me rends pas toujours compte de ces échanges, ces communications avec l’invisible, de jour.
Comme j’ai choisi d’envisager chaque aspect de qui je suis, comme légitime et utile, même indispensable à l’expérience de l’incarnation, je ne vois pas l’ego comme un ennemi, un empêcheur de s’éveiller ou de trouver le bonheur.
Mon avidité à chercher la raison d’être ici, ma boulimie de lecture spirituelle, la puissance de ma foi au divin intérieur, en sont la preuve.
Si le mental voulait rester
aux commandes, il ferait en sorte de ne pas accorder de crédit à tout ce qui
est spirituel, il ne se remettrait pas en question ni n’écouterait la voix du cœur.
Puis le fait d’avoir un certain discernement, de ne pas attribuer uniquement aux guides, aux anges…mes pensées sensées, me préserve de l'idée d'une autorité extérieure et donc du sentiment d'impuissance.
Là aussi, c’est une question d’équilibre.
Ne pas croire du tout aux énergies subtiles et leur "forme" de manifestation, serait se mentir mais tout miser sur elle, serait une démission, une forme de déni du "je" et du jeu de l'incarnation.
L’équilibre me semble être un mouvement perpétuel entre l’intérieur et l’extérieur, un balancement entre une vision à partir du "je" et une vision à partir du coeur où on perçoit en tant que "nous".
Je me promène entre ces deux mondes en cherchant à les unifier de façon à être un dans l’UN, consciemment.
Puis le fait d’avoir un certain discernement, de ne pas attribuer uniquement aux guides, aux anges…mes pensées sensées, me préserve de l'idée d'une autorité extérieure et donc du sentiment d'impuissance.
Là aussi, c’est une question d’équilibre.
Ne pas croire du tout aux énergies subtiles et leur "forme" de manifestation, serait se mentir mais tout miser sur elle, serait une démission, une forme de déni du "je" et du jeu de l'incarnation.
L’équilibre me semble être un mouvement perpétuel entre l’intérieur et l’extérieur, un balancement entre une vision à partir du "je" et une vision à partir du coeur où on perçoit en tant que "nous".
Je me promène entre ces deux mondes en cherchant à les unifier de façon à être un dans l’UN, consciemment.