mardi 8 avril 2014

"Guérison, auto-guérison"... vidéos "Être à l'écoute de vos anges" de Doreen Virtue





Ce matin encore debout de très tôt, je profite du silence extérieur et du calme intérieur pour laisser ma pensée s’exprimer sans retenue. En général, après une nuit de voyages, d’enseignements, à côtoyer des êtres de l’invisible, au plus près de ma vraie nature, je suis remplie d’énergie divine et très ouverte aux contacts avec ces mondes. 
Mon mental étant très protecteur, je ne me rends pas toujours compte de ces échanges, ces communications avec l’invisible, de jour. 
Comme j’ai choisi d’envisager chaque aspect de qui je suis, comme légitime et utile, même indispensable à l’expérience de l’incarnation, je ne vois pas l’ego comme un ennemi, un empêcheur de s’éveiller ou de trouver le bonheur. 

Mon avidité à chercher la raison d’être ici, ma boulimie de lecture spirituelle, la puissance de ma foi au divin intérieur, en sont la preuve. 
Si le mental voulait rester aux commandes, il ferait en sorte de ne pas accorder de crédit à tout ce qui est spirituel, il ne se remettrait pas en question ni n’écouterait la voix du cœur.  

Puis le fait d’avoir un certain discernement, de ne pas attribuer uniquement aux guides, aux anges…mes pensées sensées, me préserve de l'idée d'une autorité extérieure et donc du sentiment d'impuissance. 
Là aussi, c’est une question d’équilibre. 

Ne pas croire du tout aux énergies subtiles et leur "forme" de manifestation, serait se mentir mais tout miser sur elle, serait une démission, une forme de déni du "je" et du jeu de l'incarnation

L’équilibre me semble être un mouvement perpétuel entre l’intérieur et l’extérieur, un balancement entre une vision à partir du "je" et une vision à partir du coeur où on perçoit en tant que "nous"
Je me promène entre ces deux mondes en cherchant à les unifier de façon à être un dans l’UN, consciemment.


La capacité à utiliser son discernement dépend de l’amour et de la confiance en soi qui s’acquièrent par la reconnaissance de tout ce qui nous constitue, l’acceptation éclairée de tout ce qui fait que nous sommes un individu à part entière. 
Je repensais tout à l’heure à la façon dont j’ai changé et à ce qui a permis cette transfiguration. 
Indubitablement, c’est le traitement de la peur, son intégration, le fait de la reconnaitre et de l'amener dans le coeur, qui en permet le processus. 
Même si c’est encore dans des petits détails que c’est perceptible, c’est du concret et ça va croissant. 
Je dis intégration parce que ça n’est pas en niant, en refoulant ni même en libérant la peur, comme si on voulait l’éjecter de soi mais en "l’embrassant", que la guérison survient. 

Ce qui est libéré, c’est l’énergie de la source qui circule alors librement puisque les blocages, les tensions sont dissouts. La charge énergétique de la peur est ramenée au cœur et s’exprime alors avec neutralité puisque elle n’est plus située au pôle « négatif » mais ramenée au centre, au point zéro.

J’ai écouté hier soir, quelques chapitres du livre audio de Doreen Virtue, à propos des anges. Tout et n’importe quoi est dit au sujet des monde invisibles et il me semble que beaucoup de visions relèvent de la projection mentale, des croyances personnelles.

Je trouve cette façon de séquencer en chapitre plutôt ingénieuse parce que les infos sont nombreuses. personnellement, les chants me dérangent un peu et j'ai dû y aller à petites doses. Cette écoute peut être utile pour mettre à jour ses croyances et s'ouvrir sur une autre façon de "voir" les choses puis d'user de discernement en apprenant à se fier à son cœur, son ressenti...Je suis allée jusqu'à la vidéo 5 (chapitre quatre dans le livre)

Doreen Virtue: "Être à l'écoute de vos anges"
Introduction 3mn (vidéo 1)


 "Qui sont les anges?" 14mn (vidéo 2)

 "A propos de nos proches disparus" 11mn (vidéo 3)

 "Messages des enfants du ciel" 7mn (vidéo 4)

"Comment savoir s'il s'agit vraiment de vos anges?" 14mn (vidéo 5)


"Comment sentir vos anges" 28mn (vidéo 6)


"Comment connaitre et recevoir des idées divines" 20mn (vidéo 7)

"Comment entednre vos anges" 6mn (vidéo 8)


"Comment voir vos anges" 27mn (vidéo 9) 


"Recevoir des messages de vos anges" 22mn22 sec (vidéo 10)


Je crois que ces audios datent d'une vingtaine d'années au moins, ce qui explique la façon d'aborder le thème relativement au contexte de l'époque. A chacun de prendre ce qui lui sert, résonne et de laisser ce qui n'entre pas dans son cadre de références ou ne fait pas écho. J'ai voulu tout mettre pour regrouper les vidéos mais je ne les ai pas toute écoutées. Ce qui veut dire que je ne suis pas sûre d'adhérer à tout ce qui est dit mais vous êtes "grands" et n'avez pas besoin de mon avis pour vous faire votre opinion. 
Tout ceci est à prendre à la légère et peut être aussi considéré comme un moyen de faire le tri, de déceler des conflits intérieurs...La vidéo 9 semble contredire mon propos mais je suis curieuse et l'écouterais quand même...






Par définition, l’énergie est une essence qui n’est pas figée, qui est en mouvement et s’imaginer qu’elle puisse s’arrêter à une forme précise me semble un peu réducteur. 
Plus la vibration est élevée et moins la forme sera densifiée. J’ai plutôt l’impression que ce que l’on voit, est le fruit de notre imagination, de nos croyances, de notre degré d’ouverture de conscience. 
Mais en même temps, l'imagination, l'intention, sont des énergies et elles existent dans des plans parallèles.

Je ne doute pas qu’il y ait des formes puisque j'ai un corps physique mais je pense plutôt que nous avons tout en nous, que nous sommes potentiellement toutes les « formes ». 

Même la présence divine intérieure, je ne l’imagine pas ayant une forme définie mais plutôt que la conscience capte l’énergie qu’elle met en image afin de pouvoir concevoir ce qui l’entoure, selon son mode de fonctionnement, de raisonnement.

Ce qui me fait supposer ça, c’est le fait que tout le monde ne voit pas les mêmes choses dans l’invisible. D’une part, comme pour s’expliquer ce qui est vu, il faut que le mental le conçoive donc l’interprète pour lui-même par des concepts et d’autre part, il est nécessaire de le traduire en mots pour en témoigner. 

La vision passe par le filtre de l’intellectualisation et du langage verbal, ce qui réduit considérablement les choses. 
La vision n’est donc qu’une interprétation de ce qui est ressenti, une façon de conceptualiser, de nommer. 
Avec tous les pièges que ça comporte, il me semble plus « juste » de peaufiner son ressenti, d’ouvrir son cœur de façon à amplifier sa confiance au divin et à unifier le mental, à associer tous les corps, à les fusionner même de façon à ce que le ressenti, l’énergie soit intégrée et éventuellement interprété avec pureté et transparence.

Nous avons besoin de traduire le ressenti, d’interpréter les énergies pour témoigner du divin. Mais d’un côté comme de l’autre, le risque de tomber dans la manipulation et l'attachement sont assez conséquent. 
Une fois que nous sommes parfaitement convaincus, que nous en faisons l’expérience, de l’intérieur, par la vibration, le ressenti, il faut lâcher toute idée de représentation pour vivre au quotidien,  à chaque instant notre foi, pour manifester l’amour que nous sommes dans nos gestes, nos paroles.

L’image est une représentation issue du mental, une traduction de l’énergie qui n’est pas objective et le fait de figurer les énergies amène à l’idolâtrie, la division, les religions diverses et variées qui s’approprient le divin. Le fait de représenter en image ce que l’on ressent est un leurre, un réflexe du mental issu de la peur et du besoin de contrôle. Mais comme l'énergie est vivante, comme la création s'exprime en différents formes, densités...les mondes invisibles sont une réalité qu'il faut sentir et éviter de s'attacher à leur forme.





Pour toutes ces raisons, je cherche l’équilibre intérieur, la réunification de toutes les dimensions que je porte, afin que leurs points de vue ne fassent qu’un, qu’ils s’accordent à la même fréquence et de ne pas me laisser aveugler ou séduire par l’ego. 

Non pas qu’il cherche à me nuire mais plutôt que son mode de fonctionnement est justement de figurer, de caser, d’étiqueter, d’interpréter les vibrations perçues par le corps, parce qu’il est là pour le protéger et donc identifier d’éventuels dangers.

Une fois qu’il est associé au cœur, il est déjà plus confiant et le besoin de se rassurer disparait à mesure que les peurs sont équilibrées. Les personnages intérieurs sont unis dans la paix du cœur et chacun apporte sa contribution spécifique à l’être tout entier. 

Puis ces personnages sont aussi de l’énergie qui s’est accumulée selon une vibration commune qui se traduit par une vertu, une qualité ou un défaut selon qu’elle est polarisée ou non.

Ce qui me parait de plus en plus évident c’est que tant que la vision est interprétée par le mental encore soumis à la croyance en la dualité, tout ce qui est perçu sera faux, déséquilibré. La perception même est totalement illusoire, subjective tant que les yeux du cœur ne sont pas activés. 

Parée de tous ces pensées, je vais pouvoir aborder la suite des vidéos de Doreen Virtue, avec assez de recul pour ne pas prendre de risque. Je le vois comme un exercice qui peut m'ouvrir la conscience puis comme une façon de s'ouvrir aux opinions des autres, d'apprendre à écouter ce que l'autre pense. D'ailleurs, tout ce raisonnement est issu d'une peur au départ, celle d'être manipulée mais plutôt que de bloquer dessus, je la laisse argumenter et utilise ce qui peut me servir à user de discernement.  

La meilleure façon de savoir si les êtres des mondes invisibles existent, c'est de nettoyer les filtres du mental, de l'émotionnel afin de recevoir ses propres visions. Elles seront toujours subjectives mais au moins, venant de l'intérieur, elles apparaissent pour une raison précise, celle d'amplifier la foi en soi et de savoir que nous sommes multidimensionnels, que certains aspects de nous existent simultanément dans d'autres dimensions et surtout que c'est un soutien.

Concernant la guérison et l’auto guérison puisque c’est le titre de cet article, d’ailleurs, je dois préciser que je choisis un titre de façon très intuitive, selon ce que m’évoque la relecture lorsque je l’édite, un mélange entre ressenti et résumé mental. Parfois, c’est le ressenti qui est plus fort et le titre peut sembler loin du thème abordé. 
Donc, par rapport à la guérison, même si j’en ai déjà parlé en ces termes, comme je publie les vidéos de Doreen Virtue, je tiens à élaborer un peu sur le sujet. 





Je suis absolument convaincue de la réalité de l’auto-guérison puisque j’ai vécu un « miracle » qualifié de guérison spontanée par la médecine, au moment de mon baptême quand j’ai cru sans aucun doute à l’amour de Jésus Christ envers moi.  
 Là aussi, c’est ma version des faits, qui s’appuie sur le vécu et la comparaison, la différence des résultats des analyses de mon foie avant et après ma prise de conscience, mon ouverture du cœur à l’amour divin. 
Les faits sont indubitables, avant de croire en Jésus Christ, j’avais deux hépatites et des taux très excessifs de gamma GT et autres nom barbares et après, tout était revenu à la « normale », et il n’y avait plus de virus mais juste la trace de leur passage. 

Ensuite, il y a l’interprétation qui diffère selon les croyances de chacun. Toujours est-il que cette connaissance, ce potentiel de guérison a été fortement imprimé en moi, en tous mes corps ou peut-être que l’événement l’a réveillé, activé.

Dans ce domaine, je n’ai plus aucun doute puisque j’expérimente ce potentiel de guérison par l’énergie d’amour, par sa libre circulation,  en et entre tous mes corps, au quotidien, par mes choix. 

Je constate que lorsque je choisi de voir les choses à partir du cœur, tout s’ajuste à la fréquence de l’amour et les guérisons s’inscrivent jusque dans le corps physique. Ponctuellement, des petites guérisons surviennent et c’est surtout au niveau de mon état psychologique que c’est carrément révolutionnaire. 
Mais comme tout est issu de nos croyances, de notre foi et que la santé résulte de l’harmonie intérieure, celles-ci se manifeste jusque dans la matière. 

En changeant ses croyances, son mode de pensée, on porte d’autres énergies ou disons plutôt qu’on se situe sur une fréquence accordée à celle de l’amour, du cœur,  de la source et la vibration émise manifeste une réalité correspondante, dans la matière.

Dans le parcours d’auto-guérison, il y a des étapes essentielles dont on ne peut se passer. Aller vers l’autre, être en interaction afin d’amplifier l’énergie de guérison est indispensable.
L’énergie étant vivante et en mouvement constant, pour que celle-ci soit amplifiée, il faut qu’elle circule dans tous les sens. 

Par l’amour de soi, on guérit jusqu’à un certain point mais il arrive un moment où cette énergie doit être partagée, échangée, pour ne pas qu’elle s’étiole et parce que c'est dans sa nature de rayonner. 

Les blocages, les traumas sont générés dans des situations avec l’extérieur. 
L’énergie d’amour a été coincée, l’ego a enclenché des mécanismes de défense en créant un mur autour du cœur afin de préserver la personnalité de la souffrance.  

Par l’amour de soi, on rétablit la circulation énergétique en soi mais c’est un processus qui doit s’étendre vers l’extérieur à moins de vouloir s’isoler du reste du monde. 
Même si les situations traumatisantes révélaient des blocages internes, comme elles ont été déclenchées par l’extérieur, il faut guérir sa relation à l’autre puisque la confiance a été mise à mal. C’est là qu’il faut se tourner vers l’autre et suivre son intuition afin de se laisser guider vers les personnes qui permettront de restaurer la confiance en l’autre. 






Tant qu’on n’a pas acquis suffisamment d’amour de soi, on se trouvera face à des gens qui nous pousserons à le faire, les relations seront conflictuelles à l’image de ce que nous vivons en dedans, inconsciemment ou consciemment, jusqu’à ce que nous décidions de nous aimer, de nous respecter, en posant des gestes concrets comme une rupture. 

Une fois que la confiance est rétablie, que la paix est instaurée à l’intérieur, les rencontres seront le reflet de cette amélioration. On tombera alors sur des gens qui sont sur la même longueur d’onde et le processus de restauration de la confiance en l’autre pourra être enclenché. 

C’est ce que j’ai fait en contactant Laurent. Le moment était venu d’oser faire confiance et de lâcher prise vis-à-vis de l’extérieur. Tant que je m’identifiais au rôle de victime, coincée dans le triangle victime, bourreau, sauveur, je ne pouvais pas prendre le risque d’aller vers l’autre, de demander une aide extérieure puisqu’elle m’aurait maintenue dans l’attente d’un sauveur extérieur et en même temps dans le rôle de la victime, dans ma peur d’être abusée et c’est ce qui se serait passé puisqu’on attire ce à quoi on croit. 

Il m’a fallu équilibrer les énergies, associer le mental et le cœur pour faire confiance tout en gardant mon pouvoir. Pour trouver le juste milieu entre lâcher prise et attention. 
Ça ne s’est pas fait d’un claquement de doigt non plus, il a fallu dialoguer, s’entendre, pour que les barrières tombent une à une, permettant l’ouverture de cœur et l’accueil des soins.

Il est évident que l’on peut appeler les énergies de guérison soi-même mais quand on fait intervenir une tierce personne dans le processus, il est amplifié. 
Non seulement le fait de vivre une expérience relationnelle bienveillante amplifie l’énergie d’amour en soi, donc l'énergie de guérison mais elle rétablit la confiance en l’autre. 

C’est une occasion de faire la part des choses, de mieux se connaitre, d’user de discernement tout en suivant son intuition, comme dans toute interaction. 
Un moyen de faire le bilan concernant sa vision de l’amour vis-à-vis de l’extérieur et plus particulièrement vis-à-vis des hommes.  

Le fait de rencontrer un homme qui croit en l’amour, vit à partir du cœur et partage la même foi, a naturellement déclenché des scénarii, des projections mentales et ce fut aussi l’occasion de reconnaitre ces mécanismes. De comprendre comment le mental interprète les manifestations énergétiques et exprime les croyances inconscientes à propos de l’amour romantique. Comment le corps émotionnel s’associe au mental et vient nourrir les croyances interprétant les mouvements énergétiques intérieurs.

L’énergie d’amour est reconnue par chacun des corps selon son point de vue et si ceux-ci s’accordent, s’ils perçoivent conjointement l’amour dans l’autre, on pensera être amoureux. 

Il me semble que les relations à l’autre, entre personnes du sexe opposé ou pas d’ailleurs, soient des occasions de guérison tant que l’on est pas autonome affectivement. 
Selon ce que je pense, pour qu’une relation soit vécue de façon sacrée, pour qu’elle soit épanouissante et élève les partenaires, il est indispensable d’être capable de transparence, de dire ses émotions, son ressenti, d'être capable de répondre à ses propres besoins affectifs. De savoir gérer ses émotions, revenir au coeur dès qu'on se sent mal et ne pas avoir d'attente illégitime envers l'autre. En bref d'être vrai, libre et autonome.

On n’est jamais totalement libérée de la peur mais quand on ne la craint pas, quand on sait l’accueillir parce qu’elle porte un message, elle nous permet de ne pas tomber dans l’excès et devient un outil de discernement.

Bien souvent, on a peur de tomber amoureux parce qu’on ne sait pas gérer ses émotions et on associe l’intensité émotionnelle à l’amour ce qui fausse les choses. 
Mais quand on sait apaiser ce corps, on n’a plus vraiment de préférence. Je me demande bien ce que peut-être l’amour sans émotion ? Est-ce qu'on peut encore aimer une personne en particulier, enfin "plus" que les autres? C’est tout le propos de l’incarnation de comprendre ce qu’est l’amour et c’est aussi ce qui lui donne son charme, son intérêt.






Le ciel est bien gris et ça n’arrange pas mes plans ! J’ai apprécié de pouvoir aller au jardin hier et j’ai bien l’impression que pour aujourd’hui, c’est compromis. J’attends de ne plus avoir à chauffer pour attaquer le ménage de printemps mais il semble que ce soit prématuré ! 
Ça me fait penser à mon désir d’ouvrir le cœur, de vivre à partir de ce centre 24h/24 et il semble à l’image des nuages dans le ciel, qu’il me faille encore libérer des émotions afin de pouvoir le vivre. Que j’aie encore besoin de chaleur extérieure ou artificielle avant de pouvoir arriver à l’autonomie affective, celle qui permet d’aimer et d’être aimée librement, sans attente…
Je crois à la grâce divine et j’ai bien l’impression que toutes les croyances, les projections, le fait de vouloir guérir, soient des besoins du mental mais d’un autre côté, tant qu’il existe, cohabite avec l’être, le faire sera toujours ce qui favorise l’équilibre, le maintient au point zéro.  


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci