Une belle nuit remplie de rêves, de voyages intra-terriens,
d’enseignements de rencontres et de partage, qui me laisse toute souriante et détendue au réveil.
Féliz, « mon chat préféré », a dormi à mes pieds et ce rituel est
chargé de sens, et très utile au niveau énergétique, dans le travail d'équilibre que je réalise en ce moment (enfin en tout temps...). Je tique sur ces trois mots entre parenthèse et ressens le besoin de l’expliquer. Déjà, « mon », c’est très possessif et je l’utilise de façon
ironique bien que je sache que l’amour vrai n’enferme pas. Puis "préféré" est très sélectif mais là aussi, accepter ce qui est tout en sachant que ça n'est pas "juste", permet de restaurer les déséquilibres intérieurs. Et ça n’est pas
par hasard que je les prononce puisque s’autoriser à être ce que l’on refoule,
est un moyen de libérer les fausses croyances et d'intégrer l'amour vrai de soi.
D’autant plus que ce chat m’apprend
justement à lâcher le besoin de posséder quelqu’un lorsqu’on ressent un amour
particulier envers un être. Par son caractère indépendant et sa détermination à
être libre, à refuser de se laisser corrompre, à donner son amour seulement quand
il en a l’élan, il m’enseigne le détachement, l’amour libre, sincère et spontané.
Les chats, selon certains messages reçus par Caroline Leroux , ne semblent pas avoir d’émotions.
Cette caractéristique
leur permet de vivre l’amour d’une façon très spéciale. On préfère souvent les chiens
pour leur capacité à pardonner et j’avoue que c’est en grandissant (je ne dis
pas vieillissant parce que je n’ai pas du tout cette impression d’autant plus
que nous sommes en l’an 2, de cette ère nouvelle…), que j’apprécie de plus en
plus leur personnalité indépendante.