Friedrich Hechelmann |
C’est un peu dans la brume intérieure et extérieure que j’écris
ce matin. Il a plu vers 6 heures et ça m’a bercé pendant ma deuxième phase de
sommeil de5h30 à 8h. A mon premier réveil, vers trois heures, j’étais assez énergique
mais je n’ai pas eu envie d’écrire. Comme j’essaie d’agir uniquement par désir en suivant l’élan,
un mélange d’action qui est mue par l’âme mais aussi par la personnalité humaine,
par ce qui me caractérise en tant qu’individu tant humain que divin, je
retrouve la fraicheur et la joie de vivre. Lâcher les devoirs, les obligations,
les motivations nées de la peur, amène à vivre libre. A y regarder de plus
près, la notion de devoir nait très souvent de la peur, de l’ignorance de ce
que nous sommes en vrai et répond à un code moral institué par ceux qui veulent
dominer. Que ce soit en dehors de soi-même ou au dehors. Je préfère me référer
aux lois universelles, à la nature et surtout à ce que la vie me montre, au
travers des expériences, pour faire des choix. Mais comme pour le moment, mon
objectif est la guérison complète et définitive, il est nécessaire de passer
par une phase de remise à zéro des compteurs, un reset, une mise à jour des programmes,
croyances et comportements. Agir par contrainte amène obligatoirement un
conflit intérieur, un des aspects de la personnalité se trouve frustré et c’est
souvent l’enfant en nous qui fait les frais de nos comportements violents,
basés sur la peur.