mercredi 26 mars 2014

"Les Êtres de Lumière nous parlent du sommeil" via Monique Mathieu


Jerry Kirk


 
- Vous avez différentes phases de sommeil.
Vous pouvez avoir des phases de sommeil très courtes pendant lesquelles il se passe des choses très importantes, pendant lesquelles vous êtes enseignés. Dans une même nuit, vous pouvez donc faire énormément de travail tout en ayant l'impression que vous n'avez pas dormi. Si vous n'êtes pas fatigués le matin au réveil après ce genre de nuit sans sommeil, c'est le signe que vous avez été enseignés et que pendant vos courts laps de temps de perte de conscience vous avez vécu des choses extraordinaires.

Le temps sur la terre et le lieu où vous allez durant votre sommeil, n'ont pas la même réalité. Une heure sur la terre peut équivaloir à plusieurs années d'expériences sur d'autres plans de vie hors de la matière avec votre corps astral ou votre corps spirituel.

Vous pourrez avoir des périodes où vous aurez besoin de beaucoup de sommeil. A ce moment-là ce sera votre corps de matière qui le réclame. Il faut que votre corps de matière soit dans l'endormissement le plus profond pour faire un travail différent.

"Vivre selon la loi de l'UN"



Shahar Keren



Pour la troisième fois, j’ai passé une courte nuit mais j’ai lu un message des êtres de lumière, reçu par Monique Mathieu, hier, qui m’a confortée dans mes impressions, donc tout est bien. Je n’ai même pas parlé de mon rendez vous avec l’assistante sociale ! C’est plutôt significatif et très bon signe ! Je n’ai pas eu de stress trois jours avant comme l’année dernière, ni trop de colère comme il y a quelques mots, j’étais plutôt neutre. J’ai bien fait une petite crise de rébellion hier matin mais ça n’a pas duré. Je lui ai fait part de mon intention de me soigner avant d’envisager quoi que ce soit et le rendez-vous a pris un ton confidentiel. J’ai vraiment de la « chance » d’être tombée sur quelqu’un d’humain, compréhensive, très lucide qui en plus n’est pas du tout fermée à la foi et qui a même tenté la méditation za-zen. Je lui ai parlé de respiration consciente sans oublier de lui dire un détail très important, c’est le fait d’expirer par la bouche, afin de bien détendre le corps. Elle m’a parlé de sa vie avec une sincérité qui m’a beaucoup touchée. Rien de plaintif mais ça nous a sorties de la relation d’assistanat.

mardi 25 mars 2014

"Laisser renaître l’enfant intérieur" par Lise Bourbeau





De plus en plus d'individus ont oublié leur enfant intérieur.
Dès notre naissance, les adultes dans notre vie nous forcent à être "normal" comme eux. Avec le temps, nous adoptons une personnalité pour répondre aux demandes des adultes. Devenus adultes, nous oublions donc (ou presque) notre individualité première, notre "Je suis". En observant le comportement des adultes vis-à-vis les enfants qui insistent à être eux-mêmes, il est facile de constater comment l'enfant intérieur de ces adultes a lui aussi été profondément refoulé. Ce refoulement de l'enfant intérieur écrase la spontanéité, la joie de vivre, la créativité, l'authenticité, la capacité de s'exprimer, la confiance en l'Univers, la capacité d'être naturel ainsi que le respect de soi.

En effet, dès le très jeune âge, les adultes font la morale en ce qui a trait au bien, au mal, au correct, au pas correct, au supposé, au pas supposé, au normal, au pas normal, etc...

L'enfant pur qui n'est pas encore affecté ou influencé par le monde des adultes, ne s'inquiète pas devant ces critères arbitraires, élaborés par le mental. Il "est" ce qu'il est. 
Il n'analyse pas ce qu'il est pour faire, dire ou ressentir quoi que ce soit; il est spontané, il ne se juge pas ou ne se critique pas même s'il se trompe; il admet son erreur sans se juger.

"Créer des ponts entre les mondes".






« Pendant l’été 71* après une boucherie sans nom, un vieux militant communard, écrivit cette chanson. Ça nous semble aujourd’hui bien ringard de chanter encore ces idées. C’est dans le sang qu’ils traçaient leurs mots et de leur mort naissait l’espoir…c’est la lutte finale, Groupons nous et demain, l’internationale sera le genre humain, c’est la lutte finale groupons nous et demain, l’internationale sera le genre humain… »
Effectivement, ça nous semble encore aujourd’hui bien ringard mais cette chanson dont l’introduction est de François Béranger n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd pour certains qui l’ont récupéré et on fait de ces « concepts », leur force et leur objectif.  Tandis que les gens de pouvoir ont assis leur dominance, en se serrant les coudes, en se nourrissant mutuellement, le chacun pour soi est devenu la loi du monde dit moderne et si c’est une bonne chose d’avoir perdu l’esprit de clan, d'avoir fait sauter les frontières et cassé les murs, « l’humanité Une » reste encore une belle utopie, même dans les rangs de ceux qui parlent de la loi de l’Un. 

C’est la nouvelle mode dans les milieux spirituels, le nouvel étendard qui reste une idée très lointaine, qui s’applique à la reconnaissance de sa filialité avec les êtres d’intelligence supérieure, les maitres et les extra-terrestres qui surpassent l’humain par leur technologie, leur capacité psychiques...Pourquoi sont-ils si intéressés par l’humain ? Parce que nous sommes des êtres qui possédons un cœur, un corps émotionnel, un corps physique, une âme remplie d’expériences uniques, parce que nous portons en nous plusieurs dimensions et que nous avons la possibilité de les fusionner.

Je ne blâme personne puisque je suis la première à focaliser sur mon nombril, à chercher le centre et du coup, à ne plus trop me tourner vers le monde. Chacun tente de s’affirmer, de faire sa place et l’esprit de compétition règne encore en maître. Trouver le juste milieu entre spiritualité et matérialité, reste encore à définir et surtout à vivre.

lundi 24 mars 2014

« Tout en vous est digne d’être aimé » par Hilaïhi


Cathy Mc Clelland



Je viens vers vous depuis la dimension centrale, pour vous expliquer que rien en vous n’est inférieur à moi, que tout en vous est digne d’être aimé. Bien entendu, vous vous jugez parfois comme non méritant, à cause d’hier, d’une erreur que vous avez commise et de la culpabilité qu’elle entraîne. 
Sachez que, même cela, ce que vous vous reprochez, je l’aime, car cet aspect fait partie intégrant de Qui vous êtes. 
C’est aussi une énergie qui à l’origine vient du Père-Mère que, par l’incarnation, par votre chemin de vie, par vos expériences, vous avez habillée de ce que vous croyez ombre. 
En vérité, c’est de la lumière qui attend d’être révélée par votre acceptation, par le lâcher prise de ce que vous n’êtes pas. 
Est-ce donc si difficile de lâcher tout cela? Dans le principe, c’est pourtant très simple.
Vous pouvez consciemment vous dire que vous acceptez votre passé, que dorénavant vos demandez à vivre pleinement et dans les valeurs de Qui vous êtes. C’est effectivement un premier pas, mais surtout une démarche essentielle et indispensable qui vous conduira nécessairement vers vous-mêmes.
Cependant, n’oubliez pas que vous êtes un être multidimensionnel et que pour qu’une décision soit totalement applicable dans votre existence, elle demande que tous vos plans soient dans l’acceptation de cette décision. 

15 Conseils qui vous permettront d’améliorer votre vie par Luminita D. Saviuc et un 16ème essentiel!






Au cours de notre existence, nous adoptons des habitudes et des comportements qui nous causent de la douleur et du stress. Nos vies ne commencent à s'améliorer que lorsque nous nous rendons compte de l'absurdité de ces attitudes, et que nous prenons des mesures pour les abandonner. Voici une liste de quinze conseils qui vous permettront d’améliorer votre vie et de vous rendre plus heureux:

1/ Abandonnez votre besoin d’avoir toujours raison
Certains d’entre nous ne peuvent supporter l’idée d’avoir tort, et parfois, ils mettent en péril des relations avec des personnes importantes pour eux. Pourtant, cela n’en vaut jamais la peine. Au moment où vous sentez que vous voulez prouver que vous avez raison, demandez-vous: « Est-il plus important que j’aie raison, ou que je sois sympa ? »

2/ Abandonnez votre besoin de contrôle
Laissez tomber votre désir de contrôler toutes les situations, les choses et les personnes autour de vous. Laissez-leur la possibilité d’être tels qu’ils sont réellement et vous vous sentirez bien mieux.

"Tout est mouvement"...vidéos chansons...






Debout depuis 3h du matin, j’ai passé 5 heures à écouter de la musique, principalement des chanteurs français de ma jeunesse, ceux qu’on désigne comme les chanteurs  à « voix » et à texte. J’ai commencé par Serge Lama, « je suis malade » puis écouté la version de Dalida. Ce ne sont pas les artistes qui me plaisent le plus d’ailleurs, à l’adolescence, je les trouvais ringards, mais il faut reconnaitre qu’ils étaient de bons interprètes. J’ai pu distinguer le genre de frissons et l’endroit où ils se situent quand j’écoute des chansons qui suscitent des émotions et quand je me connecte à la Terre Mère. Je n’avais jamais trop fait attention à cela parce qu’en général, quand je réagissais émotionnellement, j’étais vite embarquée par les vagues. Mes propres souffrances s’ajoutaient au ressenti et ça pouvait carrément influencer ma journée. C’est dans ce genre de situation que je mesure maintenant, combien le nettoyage du corps émotionnel est utile et efficace.
Quand je me connecte à la Terre Mère, je ressens quelque chose au niveau de la colonne vertébrale, tout le long de cet axe, qui a tendance à me faire tressaillir. Là, en écoutant ces chansons poignantes, mes poils se sont dressés sur les membres et rien au niveau du ventre. C’est assez significatif parce que lorsque j’étais prise émotionnellement, je sentais comme un étourdissement dans le ventre, un tourbillon qui pouvait m’amener dans les profondeurs.  J’ai même l’impression que j’étais accrochée à cette sensation, comme si elle me donnait l’impression d’être vivante. Idem quand j’ai écouté la chanson « je suis malade », j’ai pensé que j’avais nourri cet état pendant toute ma vie. Que j’étais attachée à mes douleurs, que ça donnait du relief à ma vie, une personnalité « colorée », une vie teintée de drame.