Il est 4h et je suis debout depuis 3 heure du matin ! Je me
suis levée reposée malgré la journée chargée d’hier mais comme je n’ai rein
retenu émotionnellement, la fatigue n’était que physique. Je me suis laissée
guider sans réfléchir et suis tombée sur une vidéo qui m’a parlé et permis de
faire un exercice de tendresse vis-à-vis de mon ego protecteur, un retour
éclairé et amoureux sur le passé, comme pour y apporter une énergie nouvelle,
de guérison, de purification. Il est vrai que revenir sur des événements douloureux
peut être perçu comme une forme de régression et même replonger dans la douleur
et maintenir dans l’état de victime, enfermer dans des énergies lourdes, mais
quand on sait accueillir ses émotions et qu’on a connaissance du pouvoir de l’amour,
ça peut être une grande libération. Je ne l’ai pas fait dans l’idée de
décortiquer les choses mentalement parce
que ce « travail » est déjà fait et qu’il ne résout pas grand-chose au
contraire, être conscient de ses souffrances et de leur origine peut ajouter au
mal être, donner l’impression d’être coincé dans le temps. Prendre conscience de ce qui est caché en soi est important mais c'est une première étape. Chaque fois que je
vois l’amour de mon ego pour ma personnalité, même si sa façon de me protéger a créé de lourds
handicaps relationnels, je suis remplie d’une douce énergie par le constat que
cette part de moi, contre laquelle je me bats encore parfois, a plus besoin de reconnaissance
que de critiques.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
dimanche 23 mars 2014
samedi 22 mars 2014
"Se confronter à ses émotions" Fabrice Midal
Dans son nouveau livre « Frappe le ciel, écoute le
bruit », Fabrice Midal nous explique le but de la méditation. Il ne s’agit pas
de faire le vide dans sa tête ni de se détacher de tout, mais d’observer nos
pensées et nos émotions afin d’entrer en rapport avec la réalité de ce qui
surgit en nous.
« Après quelques mois de pratique quotidienne, j’ai eu l’envie d’aller plus
loin. Je suis parti, au mois de mars 1990, dans un petit village de la Suisse
italienne où était organisée une retraite d’un mois. Nous devions être une
trentaine de personnes venues de toute l’Europe. Le matin, nous nous levions à
6h30, la pratique commençait à 7 heures. Nous prenions ensuite le petit
déjeuner de manière méditative, en suivant un très beau rituel venu du zen où
l’on mange selon des gestes précis qui nous aident à être plus attentifs. Nous
avions ensuite une petite pause avant de reprendre la méditation jusqu’à
l’heure du déjeuner.
Une interruption s’ensuivait, puis la pratique occupait toute l’après-midi. Entre deux méditations assises, nous effectuions une méditation en marchant, où au lieu de porter l’attention sur le souffle, nous étions attentifs au mouvement du corps et à la sensation des pieds qui se posent sur le sol.
Après le dîner, nous pratiquions encore jusqu’à ce qu’il soit l’heure d’aller nous coucher.
Tous les trois ou quatre jours, je rencontrais, pour un entretien individuel, un enseignant avec lequel j’abordais les difficultés de ma pratique.
Quand, aujourd’hui, je décris ce programme, je suis frappé par son exigence et par la façon dont j’ai alors sauté à pieds joints dans la pratique. Mais à l’époque, cela ne m’est pas du tout apparu ainsi. J’ai simplement répondu à un appel profond. Puisque la pratique de la méditation me semblait une réponse réelle, autant m’y engager pour de bon.
Une interruption s’ensuivait, puis la pratique occupait toute l’après-midi. Entre deux méditations assises, nous effectuions une méditation en marchant, où au lieu de porter l’attention sur le souffle, nous étions attentifs au mouvement du corps et à la sensation des pieds qui se posent sur le sol.
Après le dîner, nous pratiquions encore jusqu’à ce qu’il soit l’heure d’aller nous coucher.
Tous les trois ou quatre jours, je rencontrais, pour un entretien individuel, un enseignant avec lequel j’abordais les difficultés de ma pratique.
Quand, aujourd’hui, je décris ce programme, je suis frappé par son exigence et par la façon dont j’ai alors sauté à pieds joints dans la pratique. Mais à l’époque, cela ne m’est pas du tout apparu ainsi. J’ai simplement répondu à un appel profond. Puisque la pratique de la méditation me semblait une réponse réelle, autant m’y engager pour de bon.
"Drôle de journée!"
J’ai la patate ce matin, malgré le temps gris ! Peu
importe, je n’ai pas à me laisser influencer par l’extérieur. Je suis créatrice
de ma vie alors je me lance dans cette œuvre avec enthousiasme ! En
commençant la journée dans des énergies élevées par la connexion à la terre et
au ciel, une façon de renouveler mon intention de servir la vie, l’amour, la
lumière, la Terre Mère, le Ciel Père, d’être Tout ce que je suis, dans
l’équilibre, l’harmonie. J’ai allumé un beau feu pour que l’humidité ne gagne
pas l’appart mais la température est vraiment printanière. Musique, danse,
chant, créativité à fond. J’adore accompagner les morceaux que j’écoute, c’est
comme si je jouais avec eux. La magie de la technologie, une de ses magnifiques
applications. Comme pour toute chose, l’important, c’est de trouver l’équilibre.
Libérer la notion de bien et de mal est
essentiel, parce que tant qu’on diabolise quelque chose, on ne peut en voir l’aspect
« positif ». On est comme borgne si on considère les choses comme
séparées, uniformes. Je suis de plus en
plus convaincue que Tout contient les deux polarités, qu’en chaque chose, il y
a un aspect positif et négatif dans le sens énergétique, en dehors de toute
morale, de tout jugement.
"L'attachement et la peur du pouvoir" le Collectif Ashtar via Simon Leclerc
Reçu le 29 octobre 2009 par Simon
Leclerc
Salutations à vous chers enfants de la Terre,
Recevez notre amour maintenant. Ressentez cette présence amoureuse familière autour de vous. Chères Âmes, il est intéressant qu’à cette étape de votre parcours terrestre, vous soyez conscients des guidances autour de vous qui vous accompagnent.
Cette impression de marcher seul ne vous sert plus aussi bien qu’avant. Très souvent, plus vous réalisez qu’il y a cet accompagnement, et plus un aspect de vous se juge de ne pas être à la hauteur, comme si vous aviez peur en quelque sorte d’être pris en défaut avec vos comportements parfois plus ombrageux. Un aspect de vous a l’impression que plus vous êtes accompagnés, plus vous risquez de recevoir des reproches.
Il est intéressant d’observer ceci d’un point de vue humain, mais pour nous, cela n’a aucune résonance réelle. Vous êtes des Êtres de lumière qui ont choisi d’aller vivre une expérience impliquant l’ajout de quelques voiles vous cachant la vérité sur qui vous êtes en réalité. Il est donc tout à fait naturel que vos choix, vos attirances, vos mouvements sur Terre correspondent à une réalité différente de celle des Êtres qui vivent dans un monde où la sensation d’union est continuellement au rendez-vous. Dans ce contexte, cela ne fait aucun sens de comparer les réalités et d’utiliser les différences pour ensuite vous juger. Vous faites des choix différents qui appartiennent à votre réalité et dans notre monde, d’autres choix sont faits qui appartiennent à la nôtre.
Recevez notre amour maintenant. Ressentez cette présence amoureuse familière autour de vous. Chères Âmes, il est intéressant qu’à cette étape de votre parcours terrestre, vous soyez conscients des guidances autour de vous qui vous accompagnent.
Cette impression de marcher seul ne vous sert plus aussi bien qu’avant. Très souvent, plus vous réalisez qu’il y a cet accompagnement, et plus un aspect de vous se juge de ne pas être à la hauteur, comme si vous aviez peur en quelque sorte d’être pris en défaut avec vos comportements parfois plus ombrageux. Un aspect de vous a l’impression que plus vous êtes accompagnés, plus vous risquez de recevoir des reproches.
Il est intéressant d’observer ceci d’un point de vue humain, mais pour nous, cela n’a aucune résonance réelle. Vous êtes des Êtres de lumière qui ont choisi d’aller vivre une expérience impliquant l’ajout de quelques voiles vous cachant la vérité sur qui vous êtes en réalité. Il est donc tout à fait naturel que vos choix, vos attirances, vos mouvements sur Terre correspondent à une réalité différente de celle des Êtres qui vivent dans un monde où la sensation d’union est continuellement au rendez-vous. Dans ce contexte, cela ne fait aucun sens de comparer les réalités et d’utiliser les différences pour ensuite vous juger. Vous faites des choix différents qui appartiennent à votre réalité et dans notre monde, d’autres choix sont faits qui appartiennent à la nôtre.
vendredi 21 mars 2014
"Mener ta voie par Amour" par Michèle ERENA
Ami/e bien-aimé/e, comment mener ta voie avec Amour, par amour de l’Amour, et dans l’Amour ?… Comment te situes-tu face à l’Amour ?… Où est-il ?… Comment le ressentir ?… C’est un dilemme, qui se joue sur de nombreux tableaux, en de nombreuses facettes de ta personnalité, de ton espace intérieur, en ce qui vibre au fond de toi…
Ce dilemme, actuel et sans appel, te démontre que tu es une force à part entière, une énergie, que celle-ci joue le jeu de la Vie, qu’elle te pousse à transcender les a priori et croyances en la négation, en la peur, en le manque…
Tu es mené/e, guidé/e, conduit/e vers ce qui devient de plus en plus transparent en toi, la vraie Vie en Dieu…
Cette « Vie en Dieu » ne soudoie pas, n’oblige pas, elle ne demande ni agenouillement, ni prière, ni incantation, ni soumission à une quelconque autorité, elle ne te prive d’aucune joie, elle est ce que l’ÊTRE ESSENTIEL est en toi, elle est la Puissance de l’Amour…
Or, qui dit Amour dit-il Besoin ?…
Certainement pas, car l’Amour est un état de paix, de bien-être, n’attend rien, ne quémande rien, n’a besoin de rien… Il EST, il DEMEURE la Puissance de la Vie au service du beau, du bon, à ton service, à celui de l’ensemble des énergies utilisables ici-bas et ailleurs…
"Patience, persévérance et assurance"
![]() |
Karol Bak |
S’éveiller à soi-même, c’est prendre conscience de ces
blocages tout autant que de l’aspect divin, éternel. C’est se
voir vraiment dans toutes ses peurs, ses faiblesses, en n’ayant pas de culpabilité face à ce
constat, que l’amour en soi peut grandir, que le cœur peut libérer cette
énergie. Les protections, les barrières créées par l’ego sont des stratégies qui
se manifestent par l’agressivité, la révolte, la colère, des sentiments qui
montrent notre degré de fermeture à l’amour en soi. Ce qui nous permet de nous
"protéger" de l’extérieur nous empêche aussi d’accueillir l’amour que nous
sommes.
Notre cœur se ferme et ainsi on ne peut pas être blessé mais on ne peut
pas non plus être touché par l’amour divin intérieur. A moins de vivre une
situation qui nous oblige à lâcher totalement prise, on n’arrivera pas à
s’ouvrir complètement et ainsi à pouvoir bénéficier de la guérison que créé la
libre circulation de l’énergie de la source. C’est là où la patience envers
soi, l’acceptation de notre état, la compréhension que cette fermeture de cœur
est une protection/barrière dans les deux sens, mais que c’est la seule façon
que nous ayons trouvé pour continuer d’exister sans trop souffrir, laisse
passer un peu de l’énergie guérissante. Cet acte de reconnaissance et le fait
de ne pas s’en vouloir, de ne pas s’accuser d’avoir des résistances, constitue
en soi, un acte d’amour.
jeudi 20 mars 2014
"La peur ou l'amour" et "Accepter? oui mais" de Lise Bourbeau
Je me suis encore fait avoir par mes propres peurs, mon critique intérieur !
Petit à petit, la rancœur a gagné du terrain et ce n’est qu’en me rappelant que
c’est un jour de diminution de la dose de médicaments, (je réduis de 0,01mg tous
les trois à cinq jours), que j’ai pu "revenir au centre".
J’ai l’impression plus que jamais, que
cette expression veut aussi dire de cesser de croire que l’extérieur est
responsable de son mal être.
Chaque fois que je suis indignée, je perds mon
équilibre en me tournant vers l’extérieur au lieu de revenir à moi. Aux raisons
qui me perturbent en dedans plutôt que de m’égarer en dehors. J’ai beau le
savoir, y croire, ça n’est pas encore un réflexe. Il a fallu que l’ordinateur
se mette à délirer alors que je venais de lire un texte à propos de la
dépendance, du fait d’accepter ce qui est, ses limites, pour que je me rende
compte que le jugement intérieur qui s’est exprimé ce matin, vis-à-vis de l’extérieur,
créait une disharmonie intérieure.
J’ai encore beaucoup de mal à accepter cette
dépendance et en lisant l’article de Lise Bourbeau à ce sujet, j’ai ressenti de
la culpabilité que j’ai vite accueillie.
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